Mohamed Abdelaziz a renouvelé son appel aux Marocains pour qu'ils fassent preuve de « bon sens » et de «clairvoyance ». Mohamed Abdelaziz a renouvelé son appel aux Marocains pour qu'ils fassent preuve de « bon sens » et de «clairvoyance ». En marge de l'élection du président du Parlement de la république arabe sahraouie démocratique (RASD), Mohamed Abdelaziz a renouvelé son appel aux Marocains pour qu'ils fassent preuve de «bon sens» et de «clairvoyance» et «reconnaître que leur politique de fuite en avant ne mènera à aucune solution». «Pis, les atermoiements des autorités marocaines ne font qu'aggraver la situation et ne conduiront inéluctablement qu'à des solutions extrêmes, ce que nous ne souhaitons pas». Dans ce contexte, il a réaffirmé la disponibilité du Front Polisario à participer au quatrième round des négociations, prévu dans la deuxième quinzaine de ce mois, «avec une volonté sincère de paix sur la base de la légalité internationale et nous défendrons jusqu'au bout notre droit à l'indépendance». Evoquant la situation de ses compatriotes dans les territoires occupés, le président de la RASD tire la sonnette d'alarme, prenant à témoin la communauté internationale sur les violations systématiques des droits de l'Homme par l'occupant marocain qui a « transformé, ces territoires en une immense prison où se pratiquent les pires et différentes formes de violation des droits de l'Homme». Dans ce contexte, il a lancé un appel «urgent» aux Nations unies pour intervenir, a-t-il précisé, afin de mettre fin à ces «violations», lever l'embargo imposé aux populations de ces territoires, ouvrir le champ aux organisations internationales indépendantes et aux médias et protéger ces populations. Félicitant le président du Parlement, Mohamed Abdelaziz n'a pas raté l'occasion de s'adresser aux nouveaux élus les exhortant à «défendre avec plus d'acharnement la cause sahraouie» et «être dignes de la confiance placée en eux par leurs concitoyens lors des dernières élections» qui se sont déroulées dans une transparence totale et une parfaite organisation. Dans ce cadre, il s'est félicité du taux de représentativité réalisé par la femme sahraouie, relevant que ce taux qui dépasse les 34 % répond aux ambitions de la commission électorale qui a recommandé à au moins « 30% la représentation des femmes dans les institutions politiques élues ». Enfin, il a rendu hommage, en ce 32e anniversaire de la RASD ; aux pays frères et amis qui soutiennent le combat du peuple sahraoui pour le recouvrement de ses droits légitimes, en citant notamment l'Algérie et l'Afrique du Sud, un pays qui vient de nommer un ambassadeur extraordinaire auprès de la RASD. Mahfoud Ali Beïba, ancien président du Parlement de la RASD et néanmoins chef de la délégation sahraouie aux négociations avec le Maroc, a été réélu par ses pairs pour un autre mandat à la tête de cette institution. Dans son discours d'investiture, Beiba a lancé un appel au Conseil consultatif marocain afin de sensibiliser le peuple marocain pour lui dire que « le peuple sahraoui n'est pas un ennemi ». « Bien au contraire, nous somme les victimes d'une injustice qui nous prive de nos droits les plus légitimes, à savoir le droit de vivre légitimement et libres dans notre chère patrie ». Par ailleurs, et évoquant le rôle de l'institution législative sahraouie, renouvelée à plus de 61%, Beiba a souligné qu'outre sa mission de légiférer et de contrôler l'action de l'Exécutif, elle se doit de militer pour l'instauration et l'approfondissement du concept de la démocratie, du respect des droits de l'Homme, du développement, la société civile, de la diplomatie parlementaire et de soutenir la place de la femme dans la société. Le président de la RASD a procédé dans le territoire libéré de Tifariti, dans le cadre du repeuplement de cette zone, à la pose de la première pierre pour la construction de plusieurs infrastructures. On peut citer le barrage d'une capacité de 3.000 M3, 10 logements, un complexe sportif et un hôpital. En marge de l'élection du président du Parlement de la république arabe sahraouie démocratique (RASD), Mohamed Abdelaziz a renouvelé son appel aux Marocains pour qu'ils fassent preuve de «bon sens» et de «clairvoyance» et «reconnaître que leur politique de fuite en avant ne mènera à aucune solution». «Pis, les atermoiements des autorités marocaines ne font qu'aggraver la situation et ne conduiront inéluctablement qu'à des solutions extrêmes, ce que nous ne souhaitons pas». Dans ce contexte, il a réaffirmé la disponibilité du Front Polisario à participer au quatrième round des négociations, prévu dans la deuxième quinzaine de ce mois, «avec une volonté sincère de paix sur la base de la légalité internationale et nous défendrons jusqu'au bout notre droit à l'indépendance». Evoquant la situation de ses compatriotes dans les territoires occupés, le président de la RASD tire la sonnette d'alarme, prenant à témoin la communauté internationale sur les violations systématiques des droits de l'Homme par l'occupant marocain qui a « transformé, ces territoires en une immense prison où se pratiquent les pires et différentes formes de violation des droits de l'Homme». Dans ce contexte, il a lancé un appel «urgent» aux Nations unies pour intervenir, a-t-il précisé, afin de mettre fin à ces «violations», lever l'embargo imposé aux populations de ces territoires, ouvrir le champ aux organisations internationales indépendantes et aux médias et protéger ces populations. Félicitant le président du Parlement, Mohamed Abdelaziz n'a pas raté l'occasion de s'adresser aux nouveaux élus les exhortant à «défendre avec plus d'acharnement la cause sahraouie» et «être dignes de la confiance placée en eux par leurs concitoyens lors des dernières élections» qui se sont déroulées dans une transparence totale et une parfaite organisation. Dans ce cadre, il s'est félicité du taux de représentativité réalisé par la femme sahraouie, relevant que ce taux qui dépasse les 34 % répond aux ambitions de la commission électorale qui a recommandé à au moins « 30% la représentation des femmes dans les institutions politiques élues ». Enfin, il a rendu hommage, en ce 32e anniversaire de la RASD ; aux pays frères et amis qui soutiennent le combat du peuple sahraoui pour le recouvrement de ses droits légitimes, en citant notamment l'Algérie et l'Afrique du Sud, un pays qui vient de nommer un ambassadeur extraordinaire auprès de la RASD. Mahfoud Ali Beïba, ancien président du Parlement de la RASD et néanmoins chef de la délégation sahraouie aux négociations avec le Maroc, a été réélu par ses pairs pour un autre mandat à la tête de cette institution. Dans son discours d'investiture, Beiba a lancé un appel au Conseil consultatif marocain afin de sensibiliser le peuple marocain pour lui dire que « le peuple sahraoui n'est pas un ennemi ». « Bien au contraire, nous somme les victimes d'une injustice qui nous prive de nos droits les plus légitimes, à savoir le droit de vivre légitimement et libres dans notre chère patrie ». Par ailleurs, et évoquant le rôle de l'institution législative sahraouie, renouvelée à plus de 61%, Beiba a souligné qu'outre sa mission de légiférer et de contrôler l'action de l'Exécutif, elle se doit de militer pour l'instauration et l'approfondissement du concept de la démocratie, du respect des droits de l'Homme, du développement, la société civile, de la diplomatie parlementaire et de soutenir la place de la femme dans la société. Le président de la RASD a procédé dans le territoire libéré de Tifariti, dans le cadre du repeuplement de cette zone, à la pose de la première pierre pour la construction de plusieurs infrastructures. On peut citer le barrage d'une capacité de 3.000 M3, 10 logements, un complexe sportif et un hôpital.