Tout porte à croire que les différents projets initiés dans le cadre des fameux programmes CNEP/APC et autre social-participatif étant en vogue aux débuts des années 1990, baignent dans une situation pour le moins inexplicable, d'autant que leur attribution semble poser problème. En effet, un peut partout et particulièrement au niveau des différentes communes relevant de la daïra de M'chedallah, sise à une quarantaine de kilomètres à l'est de Bouira, les projets initiés ont «pondu» des logements abandonnés, et ce, dans le cas où ils ne sont pas exposés aux aléas du temps et/ou livrés à la merci des apprentis squatters pour qui l'absence de l'Etat semble ouvrir des brèches appétissantes. Cela se produit au même moment où les honnêtes demandeurs de logements depuis la fin des années 1980, ne savent plus à quel saint se vouer devant cette situation qui ne manque pas de les incommoder. Ainsi, le cas des 42 logements de la commune de M'chedallah illustre la gravité de la situation, et ce, d'autant qu'avant que ces derniers ne fussent squattés de la façon la plus simple qui soit, ils ont été tout bonnement laissés à l'abandon. On y trouve des F5 qui n'ont rien à envier à ceux qu'on trouve dans les quartiers huppés de la capitale, mais par la force des choses, pour ne pas dire du laisser-aller, ils se retrouvent dans un état des plus dégradés qui soient. Leur attribution n'est pas pour demain, apprend-on, car leur statut n'étant pas réglé. L'on note que parmi ceux qui ont procédé au squat, certains sont demandeurs de logement et d'anciens fonctionnaires. A noter qu'à un certain moment, il était question de l'attribution de ces habitations aux fonctionnaires de la wilaya. La même situation est relevée au niveau de la commune de Chorfa, à l'extrême est de la wilaya de Bouira, où 26 logements sont actuellement en attente d'attribution. Les raisons demeurent toujours les mêmes, puisque ceux-là aussi avaient fait l'objet d'une décision de transfert au profit de la wilaya, mais sans que cela soit fait, au moment où des demandeurs de logement attendent leur attribution. C'est pour cela d'ailleurs qu'un groupe de citoyens de cette localité ont adressé dernièrement une lettre au président de l'APW, pour lui demander d'intervenir afin de distribuer ces logements dont les affectations avaient été faites durant les années 1990. Ces derniers, animés par le besoin pressant d'acquérir un toit décent, se disent prêts à payer le prix si les autorités de wilaya accèdent à leur vœu d'acheter ces habitations tant attendues. Cela dit, des mesures adéquates doivent être prises par les responsables compétents et, par là, trouver une issue qui arrange tout le monde, surtout que ce même problème se pose dans plusieurs endroits de la wilaya. Tout porte à croire que les différents projets initiés dans le cadre des fameux programmes CNEP/APC et autre social-participatif étant en vogue aux débuts des années 1990, baignent dans une situation pour le moins inexplicable, d'autant que leur attribution semble poser problème. En effet, un peut partout et particulièrement au niveau des différentes communes relevant de la daïra de M'chedallah, sise à une quarantaine de kilomètres à l'est de Bouira, les projets initiés ont «pondu» des logements abandonnés, et ce, dans le cas où ils ne sont pas exposés aux aléas du temps et/ou livrés à la merci des apprentis squatters pour qui l'absence de l'Etat semble ouvrir des brèches appétissantes. Cela se produit au même moment où les honnêtes demandeurs de logements depuis la fin des années 1980, ne savent plus à quel saint se vouer devant cette situation qui ne manque pas de les incommoder. Ainsi, le cas des 42 logements de la commune de M'chedallah illustre la gravité de la situation, et ce, d'autant qu'avant que ces derniers ne fussent squattés de la façon la plus simple qui soit, ils ont été tout bonnement laissés à l'abandon. On y trouve des F5 qui n'ont rien à envier à ceux qu'on trouve dans les quartiers huppés de la capitale, mais par la force des choses, pour ne pas dire du laisser-aller, ils se retrouvent dans un état des plus dégradés qui soient. Leur attribution n'est pas pour demain, apprend-on, car leur statut n'étant pas réglé. L'on note que parmi ceux qui ont procédé au squat, certains sont demandeurs de logement et d'anciens fonctionnaires. A noter qu'à un certain moment, il était question de l'attribution de ces habitations aux fonctionnaires de la wilaya. La même situation est relevée au niveau de la commune de Chorfa, à l'extrême est de la wilaya de Bouira, où 26 logements sont actuellement en attente d'attribution. Les raisons demeurent toujours les mêmes, puisque ceux-là aussi avaient fait l'objet d'une décision de transfert au profit de la wilaya, mais sans que cela soit fait, au moment où des demandeurs de logement attendent leur attribution. C'est pour cela d'ailleurs qu'un groupe de citoyens de cette localité ont adressé dernièrement une lettre au président de l'APW, pour lui demander d'intervenir afin de distribuer ces logements dont les affectations avaient été faites durant les années 1990. Ces derniers, animés par le besoin pressant d'acquérir un toit décent, se disent prêts à payer le prix si les autorités de wilaya accèdent à leur vœu d'acheter ces habitations tant attendues. Cela dit, des mesures adéquates doivent être prises par les responsables compétents et, par là, trouver une issue qui arrange tout le monde, surtout que ce même problème se pose dans plusieurs endroits de la wilaya.