Ce Fonds vient s'ajouter à celui accordé la semaine dernière par l'Union européenne d'une valeur de 40 millions d'euros pour la mise à niveau des PME. Ce Fonds vient s'ajouter à celui accordé la semaine dernière par l'Union européenne d'une valeur de 40 millions d'euros pour la mise à niveau des PME. Un accord d'investissement d'une valeur de 11 millions d'euros a été accordé par la Banque Mondiale en faveur des PME d'Afrique du Nord, dont «une part conséquente est destinée à soutenir les petites et moyennes entreprises activant en Algérie», a annoncé la Banque Mondiale dans un communiqué publié jeudi dernier. Ce Fonds accompagnera les Petites et moyennes entreprises réalisant de bonnes performances en constituant un portefeuille diversifié d'entreprises industrielles et commerciales, issues de secteurs tels que l'industrie pharmaceutique, les télécommunications, les matériaux de construction, les biens de consommation, l'industrie agro-alimentaire, l'industrie plastique et les équipements automobiles, selon la même source.«L'Afrique du Nord a besoin de capitaux privés comme source importante de financement externe, notamment en faveur de sociétés enregistrant une croissance rapide », a souligné Mme Heidi Célena, Directrice de l'établissement international de financement, filiale de la Banque Mondiale pour les Fonds spéciaux. Les investissements de l'établissement renforceront la compétitivité des PME régionales en assurant notamment la fluidité des capitaux, a-t-elle ajouté. Ainsi, ce fonds d'aide aux PME s'inscrit dans une stratégie visant à soutenir le segment des PME en ce sens qu'il constitue un vecteur de développement. Ce fonds vient s'ajouter à celui accordé la semaine dernière par l'Union européenne d'une valeur de 40 millions d'euros pour la mise à niveau des PME à la faveur de la visite Mme Bénita Ferrero-Waldner, Commissaire européenne chargée des relations extérieures. Reste à savoir si toutes ces enveloppes financières en faveur du développement des PME serviront, in fine, à relancer l'appareil productif et par conséquent, augmenter le volume des exportations qui est resté confiné à un seuil marginal. En sachant que le tissu industriel compte 95 % de PME. De son coté, le ministre de la PME a annoncé récemment qu'une enveloppe financière de l'ordre de 1 milliard de dinars par an allait être allouée par l'Agence nationale de développement de la petite et moyenne entreprise ( AND-PME) pour mener à bien le programme de mise à niveau des PME durant la période 2007-2011. Cette subvention est accordée aux PME ayant deux années d'existence et jouissant d'une bonne stabilité financière, A cet égard, M. Zaïm Bensaci, président du Conseil national consultatif pour la promotion des PME (CNC/PME) avait souligné dans une conférence de presse animée au centre de presse d'El Moudjahid les «insuffisances» du programme de mise à niveau des PME (MEDA I). Il avait déploré, à cet effet, que ce programme «n'ait touché que les entreprises qui se trouvaient déjà en bonne santé, négligeant ainsi celles qui devraient être prises en considération». Ces divers financements ne s'inscrivent-ils pas dans cette même démarche ? Cependant, en terme de financement de la PME, M. Bensaci opte, de son côté, pour une stratégie de mise à niveau des PME visant à consacrer 1à 2% du PIB ou encore la création de banques spécialisées ou de caisses mutualistes. Un accord d'investissement d'une valeur de 11 millions d'euros a été accordé par la Banque Mondiale en faveur des PME d'Afrique du Nord, dont «une part conséquente est destinée à soutenir les petites et moyennes entreprises activant en Algérie», a annoncé la Banque Mondiale dans un communiqué publié jeudi dernier. Ce Fonds accompagnera les Petites et moyennes entreprises réalisant de bonnes performances en constituant un portefeuille diversifié d'entreprises industrielles et commerciales, issues de secteurs tels que l'industrie pharmaceutique, les télécommunications, les matériaux de construction, les biens de consommation, l'industrie agro-alimentaire, l'industrie plastique et les équipements automobiles, selon la même source.«L'Afrique du Nord a besoin de capitaux privés comme source importante de financement externe, notamment en faveur de sociétés enregistrant une croissance rapide », a souligné Mme Heidi Célena, Directrice de l'établissement international de financement, filiale de la Banque Mondiale pour les Fonds spéciaux. Les investissements de l'établissement renforceront la compétitivité des PME régionales en assurant notamment la fluidité des capitaux, a-t-elle ajouté. Ainsi, ce fonds d'aide aux PME s'inscrit dans une stratégie visant à soutenir le segment des PME en ce sens qu'il constitue un vecteur de développement. Ce fonds vient s'ajouter à celui accordé la semaine dernière par l'Union européenne d'une valeur de 40 millions d'euros pour la mise à niveau des PME à la faveur de la visite Mme Bénita Ferrero-Waldner, Commissaire européenne chargée des relations extérieures. Reste à savoir si toutes ces enveloppes financières en faveur du développement des PME serviront, in fine, à relancer l'appareil productif et par conséquent, augmenter le volume des exportations qui est resté confiné à un seuil marginal. En sachant que le tissu industriel compte 95 % de PME. De son coté, le ministre de la PME a annoncé récemment qu'une enveloppe financière de l'ordre de 1 milliard de dinars par an allait être allouée par l'Agence nationale de développement de la petite et moyenne entreprise ( AND-PME) pour mener à bien le programme de mise à niveau des PME durant la période 2007-2011. Cette subvention est accordée aux PME ayant deux années d'existence et jouissant d'une bonne stabilité financière, A cet égard, M. Zaïm Bensaci, président du Conseil national consultatif pour la promotion des PME (CNC/PME) avait souligné dans une conférence de presse animée au centre de presse d'El Moudjahid les «insuffisances» du programme de mise à niveau des PME (MEDA I). Il avait déploré, à cet effet, que ce programme «n'ait touché que les entreprises qui se trouvaient déjà en bonne santé, négligeant ainsi celles qui devraient être prises en considération». Ces divers financements ne s'inscrivent-ils pas dans cette même démarche ? Cependant, en terme de financement de la PME, M. Bensaci opte, de son côté, pour une stratégie de mise à niveau des PME visant à consacrer 1à 2% du PIB ou encore la création de banques spécialisées ou de caisses mutualistes.