L'Agence algérienne de promotion des exportations (Algex) a élaboré un certain nombre d'actions urgentes à entreprendre pour stimuler les activités exportatrices des entreprises. Il s'agit notamment d'accompagner une cinquantaine d'entreprises spécialisées dans l'exportation, de créer un fonds destiné aux exportateurs, et enfin de soutenir les entreprises (financièrement et matériellement) appelées à prendre part aux foires et manifestations économiques et commerciales à l'étranger. Selon le directeur général de l'Algex, Mohamed Bennini, les entreprises ayant de fortes capacités exportatrices, notamment celles intervenant dans l'industrie agroalimentaire, l'agriculture et les produits manufacturés, sont ciblées par ces mesures. Le programme de l'Algex, appelé «Optimexport» et doté d'un montant de 2,5 millions d'euros, offre l'occasion aux entreprises algériennes de se placer sur le marché français. Il vise également à assurer une formation aux métiers de l'exportation et instaurer un système d'informations basé sur la collecte de données à caractère commercial, ainsi que la prospection de marchés extérieurs. Ainsi, les marchés arabe et africain sont actuellement les mieux prisés par les sociétés algériennes pour écouler leurs marchandises et biens de consommation. Une mission économique et commerciale algérienne a séjourné à Ouagadougou (Burkina Faso) du 12 au 15 mars conformément aux recommandations de la commission mixte intergouvernementale algéro-burkinabé. Cette visite de travail a pour objectif essentiel de renforcer les relations économiques et commerciales entre les deux pays. Elle permettra également aux opérateurs économiques algériens de développer des relations d'affaires directes avec les entrepreneurs de ce pays. Par ailleurs, l'aAsociation générale des entrepreneurs algériens (AGEA) a récemment initié un projet de création d'un comptoir de produits algériens à Yaoundé (Cameroun), avec l'appui et l'accompagnement de l'Algex. Ce comptoir donne la possibilité aux entreprises algériennes de promouvoir leurs produits sur le marché camerounais et dans les autres marchés africains de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC). Les entreprises algériennes adhérentes pourront aussi commercialiser leurs produits, établir des relations d'affaires avec les opérateurs camerounais. Selon le DG d'Algex, un fonds destiné à l'appui financier des exportateurs sera créé prochainement avec le concours et la contribution de la Banque Mondiale pour assister les entreprises à l'exportation sur la base d'une participation et d'un partage équitables des frais et des dépenses entre les exportateurs algériens et cette institution financière internationale. Concernant l'apport financier des banques dans les opérations d'exportation et d'accompagnement, Bennini estime que «les banques algériennes ne jouent pas convenablement leur rôle et a dénoncé les réticences et les méthodes bureaucratiques des établissement financiers, arguant l'inexistence de mise à niveau des entreprises sollicitant des crédits financiers à l'exportation». Afin de soutenir les exportateurs, la Banque d'Algérie a déjà assoupli les règles relatives au rapatriement des devises et accompagne actuellement des entreprises à l'étranger tout en installant des représentations d'entreprises algériennes à l'étranger pour la vente de leurs produits. L'accord sur la zone arabe de libre-échange que l'Algérie a signé pourrait constituer un espace privilégié pour l'écoulement des marchandises et des produits agricoles des exportateurs algériens, notamment avec les accords bilatéraux de libre-échange et les conventions avec la Tunisie et la Turquie qui seront signées avant juin prochain. L'Agence algérienne de promotion des exportations (Algex) a élaboré un certain nombre d'actions urgentes à entreprendre pour stimuler les activités exportatrices des entreprises. Il s'agit notamment d'accompagner une cinquantaine d'entreprises spécialisées dans l'exportation, de créer un fonds destiné aux exportateurs, et enfin de soutenir les entreprises (financièrement et matériellement) appelées à prendre part aux foires et manifestations économiques et commerciales à l'étranger. Selon le directeur général de l'Algex, Mohamed Bennini, les entreprises ayant de fortes capacités exportatrices, notamment celles intervenant dans l'industrie agroalimentaire, l'agriculture et les produits manufacturés, sont ciblées par ces mesures. Le programme de l'Algex, appelé «Optimexport» et doté d'un montant de 2,5 millions d'euros, offre l'occasion aux entreprises algériennes de se placer sur le marché français. Il vise également à assurer une formation aux métiers de l'exportation et instaurer un système d'informations basé sur la collecte de données à caractère commercial, ainsi que la prospection de marchés extérieurs. Ainsi, les marchés arabe et africain sont actuellement les mieux prisés par les sociétés algériennes pour écouler leurs marchandises et biens de consommation. Une mission économique et commerciale algérienne a séjourné à Ouagadougou (Burkina Faso) du 12 au 15 mars conformément aux recommandations de la commission mixte intergouvernementale algéro-burkinabé. Cette visite de travail a pour objectif essentiel de renforcer les relations économiques et commerciales entre les deux pays. Elle permettra également aux opérateurs économiques algériens de développer des relations d'affaires directes avec les entrepreneurs de ce pays. Par ailleurs, l'aAsociation générale des entrepreneurs algériens (AGEA) a récemment initié un projet de création d'un comptoir de produits algériens à Yaoundé (Cameroun), avec l'appui et l'accompagnement de l'Algex. Ce comptoir donne la possibilité aux entreprises algériennes de promouvoir leurs produits sur le marché camerounais et dans les autres marchés africains de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC). Les entreprises algériennes adhérentes pourront aussi commercialiser leurs produits, établir des relations d'affaires avec les opérateurs camerounais. Selon le DG d'Algex, un fonds destiné à l'appui financier des exportateurs sera créé prochainement avec le concours et la contribution de la Banque Mondiale pour assister les entreprises à l'exportation sur la base d'une participation et d'un partage équitables des frais et des dépenses entre les exportateurs algériens et cette institution financière internationale. Concernant l'apport financier des banques dans les opérations d'exportation et d'accompagnement, Bennini estime que «les banques algériennes ne jouent pas convenablement leur rôle et a dénoncé les réticences et les méthodes bureaucratiques des établissement financiers, arguant l'inexistence de mise à niveau des entreprises sollicitant des crédits financiers à l'exportation». Afin de soutenir les exportateurs, la Banque d'Algérie a déjà assoupli les règles relatives au rapatriement des devises et accompagne actuellement des entreprises à l'étranger tout en installant des représentations d'entreprises algériennes à l'étranger pour la vente de leurs produits. L'accord sur la zone arabe de libre-échange que l'Algérie a signé pourrait constituer un espace privilégié pour l'écoulement des marchandises et des produits agricoles des exportateurs algériens, notamment avec les accords bilatéraux de libre-échange et les conventions avec la Tunisie et la Turquie qui seront signées avant juin prochain.