Le président de la République a longuement fait l'éloge de la Centrale syndicale, depuis sa création en pleine Révolution algérienne, embrassant alors la cause algérienne, jusqu'à aujourd'hui dans sa lutte pour les droits des travailleurs. Le président de la République a longuement fait l'éloge de la Centrale syndicale, depuis sa création en pleine Révolution algérienne, embrassant alors la cause algérienne, jusqu'à aujourd'hui dans sa lutte pour les droits des travailleurs. Les travaux du 11e Congrès de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) ont commencé hier, sans surprise, puisque les congressistes et les différents participants se sont accordés, d'emblée, à ce que Sidi Saïd succède à lui-même à la tête de la Centrale syndicale. Les assises ont été rehaussées par la présence du Chef du gouvernement, du président de l'APN, de la majorité du staff exécutif, du patronat ainsi que des organisations de travail internationales. Dans un message lu par son conseiller Mohamed Ali Boughazi, le président de la République a longuement fait l'éloge de la Centrale syndicale, depuis sa création en pleine Révolution algérienne, embrassant alors la cause algérienne, jusqu'à aujourd'hui dans sa lutte pour les droits des travailleurs et l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. «L'UGTA restera un pilier dans la stabilité sociale», a affirmé le chef de l'Etat, énumérant au passage les efforts consentis par la Centrale syndicale, notamment dans la sauvegarde de la République et sa grande contribution dans le développement économique national. A ce titre, il a évoqué «la contribution concrète» de l'UGTA dans l'élaboration du pacte économique et social, signé avec le gouvernement et les organisations patronales en septembre 2006, des différentes conventions de branches et des statuts particuliers, mais aussi la nouvelle grille des salaires qui sera effective dans quelques jours. Cependant, Abdelaziz Bouteflika a tenu à préconiser plus de persévérance dans les efforts de la Centrale syndicale, afin d'accompagner la stratégie de développement national, et de se prémunir des impacts néfastes de la mondialisation et des mutations profondes observées ces dernières années sur l'économie mondiale. «L'économie mondiale suscite des craintes», a-t-il reconnu, exhortant l'UGTA et, à travers elle, le monde du travail, à fournir davantage d'efforts, dans la perspective de changer les mentalités et dépasser les contraintes. De son côté, Sidi Saïd se félicitant de «la maturité et le respect» qui ont marqué les interventions des congressistes et des représentants des organisations internationales de travail, a réitéré la stratégie imprimée à l'action syndicale de l'UGTA. Autrement dit, le dialogue et la concertation demeurent les maîtres mots, s'éloignant le plus possible de l'agressivité. «Nous privilégions le dialogue, et si nous allons vers nos partenaires, c'est pour gagner et enrichir l'action syndicale», a-t-il estimé en marge des travaux du congrès. Interrogé encore une fois sur les syndicats autonomes, l'heureux candidat à sa propre succession, en l'absence de concurrents, s'est dit ne «développer aucune animosité» envers eux, bien qu'ils aient brillé par leur absence lors de ces assises. «Le gouvernement est notre partenaire, et je refuse d'entrer dans cette logique d'inviter les syndicats autonomes pour qu'ils refusent mon invitation», a-t-il déduit de lui-même, admettant que l'UGTA a suivi «une démarche universelle», prônant le dialogue et la concertation qui émanent «d'une profonde conviction». En somme, l'actuel et futur secrétaire général de la Centrale syndicale, puisqu'il bénéficie d'un large consensus, s'est dit très satisfait de «la bonne note» attribuée par le président de la République, et réitéré par la même sa pleine disposition à poursuivre ses efforts dans le sens de construire l'économie nationale et servir l'action gouvernementale. Les travaux du 11e Congrès de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) ont commencé hier, sans surprise, puisque les congressistes et les différents participants se sont accordés, d'emblée, à ce que Sidi Saïd succède à lui-même à la tête de la Centrale syndicale. Les assises ont été rehaussées par la présence du Chef du gouvernement, du président de l'APN, de la majorité du staff exécutif, du patronat ainsi que des organisations de travail internationales. Dans un message lu par son conseiller Mohamed Ali Boughazi, le président de la République a longuement fait l'éloge de la Centrale syndicale, depuis sa création en pleine Révolution algérienne, embrassant alors la cause algérienne, jusqu'à aujourd'hui dans sa lutte pour les droits des travailleurs et l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. «L'UGTA restera un pilier dans la stabilité sociale», a affirmé le chef de l'Etat, énumérant au passage les efforts consentis par la Centrale syndicale, notamment dans la sauvegarde de la République et sa grande contribution dans le développement économique national. A ce titre, il a évoqué «la contribution concrète» de l'UGTA dans l'élaboration du pacte économique et social, signé avec le gouvernement et les organisations patronales en septembre 2006, des différentes conventions de branches et des statuts particuliers, mais aussi la nouvelle grille des salaires qui sera effective dans quelques jours. Cependant, Abdelaziz Bouteflika a tenu à préconiser plus de persévérance dans les efforts de la Centrale syndicale, afin d'accompagner la stratégie de développement national, et de se prémunir des impacts néfastes de la mondialisation et des mutations profondes observées ces dernières années sur l'économie mondiale. «L'économie mondiale suscite des craintes», a-t-il reconnu, exhortant l'UGTA et, à travers elle, le monde du travail, à fournir davantage d'efforts, dans la perspective de changer les mentalités et dépasser les contraintes. De son côté, Sidi Saïd se félicitant de «la maturité et le respect» qui ont marqué les interventions des congressistes et des représentants des organisations internationales de travail, a réitéré la stratégie imprimée à l'action syndicale de l'UGTA. Autrement dit, le dialogue et la concertation demeurent les maîtres mots, s'éloignant le plus possible de l'agressivité. «Nous privilégions le dialogue, et si nous allons vers nos partenaires, c'est pour gagner et enrichir l'action syndicale», a-t-il estimé en marge des travaux du congrès. Interrogé encore une fois sur les syndicats autonomes, l'heureux candidat à sa propre succession, en l'absence de concurrents, s'est dit ne «développer aucune animosité» envers eux, bien qu'ils aient brillé par leur absence lors de ces assises. «Le gouvernement est notre partenaire, et je refuse d'entrer dans cette logique d'inviter les syndicats autonomes pour qu'ils refusent mon invitation», a-t-il déduit de lui-même, admettant que l'UGTA a suivi «une démarche universelle», prônant le dialogue et la concertation qui émanent «d'une profonde conviction». En somme, l'actuel et futur secrétaire général de la Centrale syndicale, puisqu'il bénéficie d'un large consensus, s'est dit très satisfait de «la bonne note» attribuée par le président de la République, et réitéré par la même sa pleine disposition à poursuivre ses efforts dans le sens de construire l'économie nationale et servir l'action gouvernementale.