Rendez-vous annuel incontournable des professionnels de la santé, la 11ème édition du Salon international du médicament et de l'équipement médical (SIMEM) se tiendra du 23 au 26 du mois en cours au palais des expositions, à Alger. Le qualifiant de salon d'équipement médical beaucoup plus que de médicament, le manager de Comevent, Islam Neghouche, organisateur du SIMEM, a affirmé, hier au forum El Moudjahid, que les produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques n'y seront présentés, qu'à hauteur de 2% seulement. « Depuis la création du SIMEM, la participation des producteurs des produits pharmaceutiques n'a jamais dépassé le seuil de 5% », a-t-il rappelé. Cet état de fait est, selon lui, du à la stratégie de développement et de promotion du médicament des différents laboratoires, basée sur les symposiums, les congrès et les rencontres. « Une stratégie qui est complètement différente de celle adoptée par les spécialistes de l'équipement médical », a-t-il expliqué. Malgré cette faible présence du produit pharmaceutique, les organisateurs ont prévu des conférences axées sur le médicament générique. Les expériences cubaine et polonaise, dans ce domaine, seront un « témoin » de la réussite dans la production du générique. « L'expérience cubaine dans la production du médicament générique sera abordée, notamment, avec l'autosuffisance atteinte par les cubains dans ce domaine. La Pologne, et son expérience réussie dans le générique, sera également évoquée», a-t-il indiqué. A propos des possibilités d'investissement, conséquentes au cours de ce rendez-vous, l'intervenant a relevé que sur les 80 pays présents à la dernière édition, « 40 sociétés de droit algérien représentant ces entreprises étrangères prendront part au salon de cette année ». A une question relative à la participation de la Chine avec des équipements médicaux, l'organisateur a estimé que, vu le pouvoir d'achat des Algériens, la Chine qui «a atteint une réelle maturité dans la qualité de ses produits, demeure le fournisseur le plus accessible aux Algériens». Rendez-vous annuel incontournable des professionnels de la santé, la 11ème édition du Salon international du médicament et de l'équipement médical (SIMEM) se tiendra du 23 au 26 du mois en cours au palais des expositions, à Alger. Le qualifiant de salon d'équipement médical beaucoup plus que de médicament, le manager de Comevent, Islam Neghouche, organisateur du SIMEM, a affirmé, hier au forum El Moudjahid, que les produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques n'y seront présentés, qu'à hauteur de 2% seulement. « Depuis la création du SIMEM, la participation des producteurs des produits pharmaceutiques n'a jamais dépassé le seuil de 5% », a-t-il rappelé. Cet état de fait est, selon lui, du à la stratégie de développement et de promotion du médicament des différents laboratoires, basée sur les symposiums, les congrès et les rencontres. « Une stratégie qui est complètement différente de celle adoptée par les spécialistes de l'équipement médical », a-t-il expliqué. Malgré cette faible présence du produit pharmaceutique, les organisateurs ont prévu des conférences axées sur le médicament générique. Les expériences cubaine et polonaise, dans ce domaine, seront un « témoin » de la réussite dans la production du générique. « L'expérience cubaine dans la production du médicament générique sera abordée, notamment, avec l'autosuffisance atteinte par les cubains dans ce domaine. La Pologne, et son expérience réussie dans le générique, sera également évoquée», a-t-il indiqué. A propos des possibilités d'investissement, conséquentes au cours de ce rendez-vous, l'intervenant a relevé que sur les 80 pays présents à la dernière édition, « 40 sociétés de droit algérien représentant ces entreprises étrangères prendront part au salon de cette année ». A une question relative à la participation de la Chine avec des équipements médicaux, l'organisateur a estimé que, vu le pouvoir d'achat des Algériens, la Chine qui «a atteint une réelle maturité dans la qualité de ses produits, demeure le fournisseur le plus accessible aux Algériens».