Les prix du baril de pétrole ont dépassé hier pour la première fois les seuils de 118 dollars à New York et de 115 dollars à Londres, poussés notamment par une montée des tensions au Nigeria et la faiblesse du dollar. Le baril de pétrole s'est hissé en milieu de matinée jusqu'au niveau jamais atteint de 118,05 dollars à New York, et à Londres il a été vendu à 115,03 dollars. Ces nouveaux records effacent des performances atteintes lundi où les prix avaient grimpé jusqu'à 117,83 dollars à New York et 114,86 dollars à Londres, après des attaques sur des installations pétrolières au Nigeria entraînant l'arrêt de livraisons de pétrole et de gaz au cours des mois d'avril et mai. Outre la situation au Nigeria, le marché s'inquiète des risques liés à une grève en cours dans la raffinerie écossaise de Grangemouth et du conflit social dans des terminaux pétroliers français. Les analystes pétroliers expliquent la montée des prix du brut par une série de facteurs haussiers, tels que la faiblesse du dollar et le maintien du niveau de l'offre actuelle de pétrole Opep, d'autant plus que des pays non-membres de l'organisation pétrolière peinent à maintenir leur cadence de production, en raison de l'assèchement de leurs gisements, soulignent-ils. Les prix du baril de pétrole ont dépassé hier pour la première fois les seuils de 118 dollars à New York et de 115 dollars à Londres, poussés notamment par une montée des tensions au Nigeria et la faiblesse du dollar. Le baril de pétrole s'est hissé en milieu de matinée jusqu'au niveau jamais atteint de 118,05 dollars à New York, et à Londres il a été vendu à 115,03 dollars. Ces nouveaux records effacent des performances atteintes lundi où les prix avaient grimpé jusqu'à 117,83 dollars à New York et 114,86 dollars à Londres, après des attaques sur des installations pétrolières au Nigeria entraînant l'arrêt de livraisons de pétrole et de gaz au cours des mois d'avril et mai. Outre la situation au Nigeria, le marché s'inquiète des risques liés à une grève en cours dans la raffinerie écossaise de Grangemouth et du conflit social dans des terminaux pétroliers français. Les analystes pétroliers expliquent la montée des prix du brut par une série de facteurs haussiers, tels que la faiblesse du dollar et le maintien du niveau de l'offre actuelle de pétrole Opep, d'autant plus que des pays non-membres de l'organisation pétrolière peinent à maintenir leur cadence de production, en raison de l'assèchement de leurs gisements, soulignent-ils.