Une rencontre régionale a eu lieu, hier, à la faculté de Bouzaréah, sur la nouvelle loi d'orientation de la recherche scientifique et du développement technologique. Troisième du genre, elle comporte des ateliers visant à débattre sur les statuts particuliers des personnels du secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Présentés, mardi, au gouvernement et adoptés, ces statuts concernent l'enseignant-chercheur universitaire, l'enseignant chercheur hospitalo-universitaire et le chercheur permanent. Selon le département de M. Harraoubia, ces textes de loi ont été adoptés pour répondre aux besoins pressants de statuts visant à relancer et à faciliter le domaine de la recherche scientifique en Algérie. D'après Mme Rebah Houria, directrice de la recherche scientifique et du développement technologique au niveau du ministère de l'enseignement supérieur «il s'agit d'une meilleure adaptation de la première loi datant de 1998 », révélant par ailleurs que « ces conférences régionales sont la première étape pour la concrétisation et l'application de ces textes en vue d'élargir le champ d'action du chercheur algérien ». Dans le même sens, précise-t-elle, « nous prévoyons d'organiser des assises nationales, pour la fin du mois de mai, sur l'enseignement supérieur et la recherche scientifique ». Néanmoins, ce programme quinquennal, affirme-t-elle, nécessite un financement ainsi qu'une mobilisation de la communauté scientifique. Il assurera, ainsi, un meilleur encadrement et suivi du staff chercheur. Et d'ajouter que « ces nouveaux textes apportent un complément en matière d'organisation institutionnelle ». A cet effet, elle nous informe que l'application de cette nouvelle loi 08-07 permettra de doter la communauté scientifique d'une direction ainsi que de tous les moyens nécessaires. Ainsi, cette loi a permis, entre autres, la création d'un Conseil national d'évaluation. Celui-ci, nous informe-t-elle, est un élément fondamental pour savoir si la politique engagée est dans le bon sens. En outre, l'on nous annonce la mise en place d'agences thématiques qui viendront renforcer la mise en œuvre des programmes nationaux relatifs à la recherche scientifique. Ce qui permettrait, d'élargir les entités d'exécution de cette nouvelle politique de recherche, nous explique-t-elle. A cet égard, nous apprend-on, il a été question d'axer l'effort dans la confection des statuts établis afin de valoriser et d'améliorer la dimension de la formation permanente et le perfectionnement constant du personnel de la recherche scientifique. Pour les enseignants-chercheurs, ces statuts permettront, sans conteste, la promotion de leur fonction et la stabilisation des personnels au sein des institutions universitaires et de recherche. Il est à noter que cette démarche augure d'un renouveau de l'université algérienne. L'on nous apprend, également, que d'autres rencontres du même genre auront lieu ultérieurement, notamment à Tlemcen où est prévue la quatrième rencontre. Une rencontre régionale a eu lieu, hier, à la faculté de Bouzaréah, sur la nouvelle loi d'orientation de la recherche scientifique et du développement technologique. Troisième du genre, elle comporte des ateliers visant à débattre sur les statuts particuliers des personnels du secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Présentés, mardi, au gouvernement et adoptés, ces statuts concernent l'enseignant-chercheur universitaire, l'enseignant chercheur hospitalo-universitaire et le chercheur permanent. Selon le département de M. Harraoubia, ces textes de loi ont été adoptés pour répondre aux besoins pressants de statuts visant à relancer et à faciliter le domaine de la recherche scientifique en Algérie. D'après Mme Rebah Houria, directrice de la recherche scientifique et du développement technologique au niveau du ministère de l'enseignement supérieur «il s'agit d'une meilleure adaptation de la première loi datant de 1998 », révélant par ailleurs que « ces conférences régionales sont la première étape pour la concrétisation et l'application de ces textes en vue d'élargir le champ d'action du chercheur algérien ». Dans le même sens, précise-t-elle, « nous prévoyons d'organiser des assises nationales, pour la fin du mois de mai, sur l'enseignement supérieur et la recherche scientifique ». Néanmoins, ce programme quinquennal, affirme-t-elle, nécessite un financement ainsi qu'une mobilisation de la communauté scientifique. Il assurera, ainsi, un meilleur encadrement et suivi du staff chercheur. Et d'ajouter que « ces nouveaux textes apportent un complément en matière d'organisation institutionnelle ». A cet effet, elle nous informe que l'application de cette nouvelle loi 08-07 permettra de doter la communauté scientifique d'une direction ainsi que de tous les moyens nécessaires. Ainsi, cette loi a permis, entre autres, la création d'un Conseil national d'évaluation. Celui-ci, nous informe-t-elle, est un élément fondamental pour savoir si la politique engagée est dans le bon sens. En outre, l'on nous annonce la mise en place d'agences thématiques qui viendront renforcer la mise en œuvre des programmes nationaux relatifs à la recherche scientifique. Ce qui permettrait, d'élargir les entités d'exécution de cette nouvelle politique de recherche, nous explique-t-elle. A cet égard, nous apprend-on, il a été question d'axer l'effort dans la confection des statuts établis afin de valoriser et d'améliorer la dimension de la formation permanente et le perfectionnement constant du personnel de la recherche scientifique. Pour les enseignants-chercheurs, ces statuts permettront, sans conteste, la promotion de leur fonction et la stabilisation des personnels au sein des institutions universitaires et de recherche. Il est à noter que cette démarche augure d'un renouveau de l'université algérienne. L'on nous apprend, également, que d'autres rencontres du même genre auront lieu ultérieurement, notamment à Tlemcen où est prévue la quatrième rencontre.