Des centaines d'étudiants ont organisé, dans la matinée d'hier, un rassemblement de protestation devant les locaux de l'Office national des œuvres universitaires (ONOU). Ils exigeaient la revalorisation de la bourse estudiantine et protestaient contre les conditions de vie dans les résidences universitaires. Très tôt durant la matinée d'hier, des centaines d'étudiants encadrés par l'UGEL se sont donnés le mot pour fermer les locaux de l'Office national des œuvres universitaires et procéder à un rassemblement de protestation. Les manifestants ont crié haut et fort leur mécontentement quant au montant de la bourse universitaire, fixé actuellement à 2700 DA trimestriellement. Les étudiants protestataires revendiquent une augmentation de plus de 6500 Da. Ils estiment important de porter la bourse à 10.000 dinars par trimestre. C'est assurent-t-ils, le minimum pour satisfaire aux besoins élémentaires des étudiants. Ils justifient leur mouvement par le fait que des catégories d'étudiants de moindre niveau bénéficient de rémunération autrement plus forte que celle octroyée aux universitaires. Ils en veulent pour preuve que la bourse accordée aux stagiaires et aux apprentis dans les centres de formation professionnels est passée de 3.000 à 6.000 dinars, alors que la leur est demeurée inchangée. Rappelons que plusieurs rencontres ont eu lieu, durant le mois de février dernier, entre M. Rachid Haraoubia, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, et les différentes organisations estudiantines, à savoir l'UGEL, UNEA, UNGEA et autres. En plus des mauvaises conditions de vie dans les campus universitaires, les débats de ces rencontres ont porté sur la revalorisation de la bourse à 10 000 Da. Les discussions n'ont pas abouti puisque le ministre leur avait affirmé que la revalorisation de la bourse ne dépendait pas uniquement du département dont il a la charge. Cependant, les organisations estudiantines sont intraitables sur le sujet. Les manifestants d'hier soutiennent que M. Rachid Haraoubia a bel et bien promis la revalorisation de la bourse. Du côté de l'Office national des œuvres universitaires, M. Karaba, conseiller du DG a affirmé que pour les questions relatives aux conditions de vie dans les résidences universitaires, l'ONOU a mobilisé des efforts énormes pour améliorer la situation et l'environnement socio-pédagogique des étudiants résidant dans les campus universitaires. «C'est un fait notable et vérifiable», affirme-t-il. S'agissant de la revalorisation de la bourse, celle-ci « ne relève pas des responsabilités et des compétences de l'ONOU», a fait savoir M. Karaba. Des centaines d'étudiants ont organisé, dans la matinée d'hier, un rassemblement de protestation devant les locaux de l'Office national des œuvres universitaires (ONOU). Ils exigeaient la revalorisation de la bourse estudiantine et protestaient contre les conditions de vie dans les résidences universitaires. Très tôt durant la matinée d'hier, des centaines d'étudiants encadrés par l'UGEL se sont donnés le mot pour fermer les locaux de l'Office national des œuvres universitaires et procéder à un rassemblement de protestation. Les manifestants ont crié haut et fort leur mécontentement quant au montant de la bourse universitaire, fixé actuellement à 2700 DA trimestriellement. Les étudiants protestataires revendiquent une augmentation de plus de 6500 Da. Ils estiment important de porter la bourse à 10.000 dinars par trimestre. C'est assurent-t-ils, le minimum pour satisfaire aux besoins élémentaires des étudiants. Ils justifient leur mouvement par le fait que des catégories d'étudiants de moindre niveau bénéficient de rémunération autrement plus forte que celle octroyée aux universitaires. Ils en veulent pour preuve que la bourse accordée aux stagiaires et aux apprentis dans les centres de formation professionnels est passée de 3.000 à 6.000 dinars, alors que la leur est demeurée inchangée. Rappelons que plusieurs rencontres ont eu lieu, durant le mois de février dernier, entre M. Rachid Haraoubia, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, et les différentes organisations estudiantines, à savoir l'UGEL, UNEA, UNGEA et autres. En plus des mauvaises conditions de vie dans les campus universitaires, les débats de ces rencontres ont porté sur la revalorisation de la bourse à 10 000 Da. Les discussions n'ont pas abouti puisque le ministre leur avait affirmé que la revalorisation de la bourse ne dépendait pas uniquement du département dont il a la charge. Cependant, les organisations estudiantines sont intraitables sur le sujet. Les manifestants d'hier soutiennent que M. Rachid Haraoubia a bel et bien promis la revalorisation de la bourse. Du côté de l'Office national des œuvres universitaires, M. Karaba, conseiller du DG a affirmé que pour les questions relatives aux conditions de vie dans les résidences universitaires, l'ONOU a mobilisé des efforts énormes pour améliorer la situation et l'environnement socio-pédagogique des étudiants résidant dans les campus universitaires. «C'est un fait notable et vérifiable», affirme-t-il. S'agissant de la revalorisation de la bourse, celle-ci « ne relève pas des responsabilités et des compétences de l'ONOU», a fait savoir M. Karaba.