La situation qui prévaut au Liban depuis quelques jours inquiète vivement la communauté internationale. Les violents combats fratricides rappellent la sinistre guerre civile qui a endeuillé le pays du Cèdre pendant de longues années. L'Organisation des Nations Unies (ONU), par le biais de son secrétaire général, a appelé les protagonistes à la retenue, afin que la situation ne s'enlise davantage. «Tout doit être fait maintenant pour empêcher la situation de se détériorer», a déclaré Ban Ki-moon, soulignant le soutien de l'ONU aux efforts de médiation de la Ligue arabe dans une tentative de désamorcer la crise. En effet, une réunion de cette Ligue se tiendra aujourd'hui au Caire, pour examiner les moyens de mettre fin aux combats meurtriers au Liban. Une tentative également soutenue par le ministre français des Affaires étrangères, qui s'est entretenu avec le premier ministre, Fouad Siniora. « Le Hezbollah a mené un coup de force contraire à la démocratie à Beyrouth, où la situation est très dangereuse », a déclaré Bernard Kouchner, alors que François Fillon Premier ministre français, avait auparavant, mis en garde contre les risques de guerre civile au Liban, affirmant que «Paris est extrêmement préoccupé par les violences qui peuvent conduire à un engrenage, engrenage qui, lui-même, conduirait à la guerre civile». De son côté, l'Union européenne (UE), par la voix de son diplomate en chef Javier Solana, a assuré le premier ministre libanais de son plein soutien, appelant toutes les parties à agir avec responsabilité pour une solution à la crise par le dialogue et dans le cadre des institutions nationales. Le nouveau chef de la diplomatie italienne, Franco Frattini, a lui, prôné vendredi « une action incisive » de la Ligue arabe pour favoriser une entente entre les forces politiques libanaises. De leur côté, les Etats-Unis ont interpellé les voisins du Liban et le Conseil de sécurité de l'ONU, afin disent-ils, de prendre des mesures conjointes à même de permettre de demander des comptes au Hezbollah et aux responsables des violences au pays. «Les relations du Hezbollah avec l'Iran et la Syrie, ainsi que son passé jalonné d'activités terroristes internationales, de soutien meurtrier et d'entraînement des groupes extrémistes basés en Irak, démontrent la menace qu'il (le Hezbollah) représente pour la paix et la sécurité internationales», a réagi la Maison Blanche. En outre, le chef de la diplomatie britannique David Miliband a apporté son soutien aux efforts de la communauté internationale et de la Ligue arabe pour résoudre cette crise libanaise, tout en insistant sur l'impératif de rétablir la sécurité, en débarrassant les rues de Beyrouth des groupes armés, pour rétablir l'ordre sous le contrôle de l'armée du pays. Le Brésil, pour sa part, déclare «son ferme soutien au gouvernement libanais dans ses efforts pour défendre l'ordre public, l'indépendance, la souveraineté, l'intégrité territoriale et l'unité du Liban», à travers un communiqué de son ministère des AE. La situation qui prévaut au Liban depuis quelques jours inquiète vivement la communauté internationale. Les violents combats fratricides rappellent la sinistre guerre civile qui a endeuillé le pays du Cèdre pendant de longues années. L'Organisation des Nations Unies (ONU), par le biais de son secrétaire général, a appelé les protagonistes à la retenue, afin que la situation ne s'enlise davantage. «Tout doit être fait maintenant pour empêcher la situation de se détériorer», a déclaré Ban Ki-moon, soulignant le soutien de l'ONU aux efforts de médiation de la Ligue arabe dans une tentative de désamorcer la crise. En effet, une réunion de cette Ligue se tiendra aujourd'hui au Caire, pour examiner les moyens de mettre fin aux combats meurtriers au Liban. Une tentative également soutenue par le ministre français des Affaires étrangères, qui s'est entretenu avec le premier ministre, Fouad Siniora. « Le Hezbollah a mené un coup de force contraire à la démocratie à Beyrouth, où la situation est très dangereuse », a déclaré Bernard Kouchner, alors que François Fillon Premier ministre français, avait auparavant, mis en garde contre les risques de guerre civile au Liban, affirmant que «Paris est extrêmement préoccupé par les violences qui peuvent conduire à un engrenage, engrenage qui, lui-même, conduirait à la guerre civile». De son côté, l'Union européenne (UE), par la voix de son diplomate en chef Javier Solana, a assuré le premier ministre libanais de son plein soutien, appelant toutes les parties à agir avec responsabilité pour une solution à la crise par le dialogue et dans le cadre des institutions nationales. Le nouveau chef de la diplomatie italienne, Franco Frattini, a lui, prôné vendredi « une action incisive » de la Ligue arabe pour favoriser une entente entre les forces politiques libanaises. De leur côté, les Etats-Unis ont interpellé les voisins du Liban et le Conseil de sécurité de l'ONU, afin disent-ils, de prendre des mesures conjointes à même de permettre de demander des comptes au Hezbollah et aux responsables des violences au pays. «Les relations du Hezbollah avec l'Iran et la Syrie, ainsi que son passé jalonné d'activités terroristes internationales, de soutien meurtrier et d'entraînement des groupes extrémistes basés en Irak, démontrent la menace qu'il (le Hezbollah) représente pour la paix et la sécurité internationales», a réagi la Maison Blanche. En outre, le chef de la diplomatie britannique David Miliband a apporté son soutien aux efforts de la communauté internationale et de la Ligue arabe pour résoudre cette crise libanaise, tout en insistant sur l'impératif de rétablir la sécurité, en débarrassant les rues de Beyrouth des groupes armés, pour rétablir l'ordre sous le contrôle de l'armée du pays. Le Brésil, pour sa part, déclare «son ferme soutien au gouvernement libanais dans ses efforts pour défendre l'ordre public, l'indépendance, la souveraineté, l'intégrité territoriale et l'unité du Liban», à travers un communiqué de son ministère des AE.