La déontologie médico-infantile, les problèmes de nutrition chez les enfants, les programmes de vaccination et la prévention contre les maladies infantiles font l'objet des travaux d'une rencontre euro-maghrébine de pédiatrie, première du genre, tenue à Annaba . Plus de 500 médecins spécialistes et professionnels de la santé algériens et étrangers (France, Belgique, Maroc), prennent part aux travaux de cette rencontre organisée dans le cadre de l'application d'un programme de formation continue "pour la promotion de la prise en charge de la santé infantile". Lors de ces travaux, le professeur Jean Courdaliss de l'université de Paris (France) a mis l'accent sur "la nécessité de rationaliser le recours aux antibiotiques" dans le traitement des infections infantiles. "L'usage excessif des antibiotiques influe négativement sur l'efficacité des vaccins utilisés dans la prévention contre les maladies infantiles", dira en l'occurrence le conférencier. Le docteur Baghich de l'université d'Alger a traité, pour sa part, de "la déontologie en médecine infantile", soulignant "la nécessité d'humaniser" le comportement et le traitement envers l'enfant malade et ses parents tout en relevant "l'importance du dépistage à temps" et du diagnostic dans les maladies infantiles. Le docteur Benhala de l'université d'Alger a traité, quant à elle, de "la réalité de la maladie de la tuberculose touchant les enfants en Algérie" et tout particulièrement les nouveaux-nés. "Cette maladie a connu un fléchissement notable à raison d'une moyenne de 56 cas pour 100.000 habitants durant 2006-2007", a-t-elle indiqué, ajoutant que "la problématique demeure en ce qui concerne le dépistage précoce de la tuberculose" étant donné que la maladie peut toucher "d'autres organes du corps" autre que la poitrine. Plus de 40 communications ont été programmées lors de ces travaux ouverts jeudi et qui dureront deux jours. La déontologie médico-infantile, les problèmes de nutrition chez les enfants, les programmes de vaccination et la prévention contre les maladies infantiles font l'objet des travaux d'une rencontre euro-maghrébine de pédiatrie, première du genre, tenue à Annaba . Plus de 500 médecins spécialistes et professionnels de la santé algériens et étrangers (France, Belgique, Maroc), prennent part aux travaux de cette rencontre organisée dans le cadre de l'application d'un programme de formation continue "pour la promotion de la prise en charge de la santé infantile". Lors de ces travaux, le professeur Jean Courdaliss de l'université de Paris (France) a mis l'accent sur "la nécessité de rationaliser le recours aux antibiotiques" dans le traitement des infections infantiles. "L'usage excessif des antibiotiques influe négativement sur l'efficacité des vaccins utilisés dans la prévention contre les maladies infantiles", dira en l'occurrence le conférencier. Le docteur Baghich de l'université d'Alger a traité, pour sa part, de "la déontologie en médecine infantile", soulignant "la nécessité d'humaniser" le comportement et le traitement envers l'enfant malade et ses parents tout en relevant "l'importance du dépistage à temps" et du diagnostic dans les maladies infantiles. Le docteur Benhala de l'université d'Alger a traité, quant à elle, de "la réalité de la maladie de la tuberculose touchant les enfants en Algérie" et tout particulièrement les nouveaux-nés. "Cette maladie a connu un fléchissement notable à raison d'une moyenne de 56 cas pour 100.000 habitants durant 2006-2007", a-t-elle indiqué, ajoutant que "la problématique demeure en ce qui concerne le dépistage précoce de la tuberculose" étant donné que la maladie peut toucher "d'autres organes du corps" autre que la poitrine. Plus de 40 communications ont été programmées lors de ces travaux ouverts jeudi et qui dureront deux jours.