Amar Tou, en visite de travail dans la wilaya d'El-Oued, n'a guère hésité à fustiger le "laxisme" relevé au sein des CHU. Le ministre a appelé par la même occasion les responsables de ces structures à assumer pleinement leurs responsabilités. Amar Tou, en visite de travail dans la wilaya d'El-Oued, n'a guère hésité à fustiger le "laxisme" relevé au sein des CHU. Le ministre a appelé par la même occasion les responsables de ces structures à assumer pleinement leurs responsabilités. Le laisser-aller et le laxisme constatés au niveau de plusieurs structures hospitalières dans de nombreuses wilayas du pays suscitent plus que jamais la colère du ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Amar Tou. Ce dernier, en visite de travail dans la wilaya d'El-Oued, n'a guère hésité à fustiger le "laxisme" relevé au sein des CHU. Le ministre a appelé par la même occasion les responsables de ces structures à assumer pleinement leurs responsabilités pour remédier à cette situation et être à la hauteur de leur mission dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle politique nationale de la santé. Il faut savoir à cet effet que la situation alarmante qui règne depuis plusieurs années dans de multiples services de nos CHU ne laisse plus le gouvernement indifférent. Preuve en est, le conseil des ministres s'est déjà penché sur ce dossier en soulignant la mauvaise qualité de la prestation et du fonctionnement de nos hôpitaux. Cette réalité amère a poussé le ministère de la Santé à élaborer une nouvelle politique nationale de la santé dont le principal objectif est de réconcilier le citoyen algérien avec les hôpitaux. Celle-ci, adoptée le 13 avril dernier par le conseil des ministres, serait fin prête selon les déclarations de Amar Tou. Sur ce volet, le ministre a affirmé, en marge une séance de travail en présence des responsables du secteur de la santé des wilayas du sud-est, que "cet important dossier, dont l'enrichissement a duré plus de trois ans, fait un diagnostic exhaustif de la situation du secteur jusqu'à l'horizon 2025, et prévoit une batterie de mesures pour l'amélioration des prestations médicales et la lutte contre les disparités régionales en la matière". "Il est temps de réaménager les structures sanitaires et de rénover les équipements médicaux, afin de fournir les meilleurs soins et prestations aux malades", a souligné encore Amar Tou, qui a fait part également de la réalisation de 122 nouvelles infrastructures hospitalières, privées et publiques, de 311 polycliniques, et 221 structures sanitaires toutes spécialités médicales confondues. Concernant l'encadrement médical, le ministre a noté que plus de 3.500 cadres médicaux ont été affectés dans les régions des hauts plateaux et du sud du pays, en moins de trois ans. Evoquant enfin la rigueur avec laquelle est appliquée la nouvelle carte sanitaire, Amar Tou a indiqué, à ce titre, que pas moins de 8 polycliniques privées ont été fermées pour non conformité avec les lois. A ce sujet, le ministre n'exclut pas leur fermeture définitive en cas de nouvelle violation des règles en la matière. Le laisser-aller et le laxisme constatés au niveau de plusieurs structures hospitalières dans de nombreuses wilayas du pays suscitent plus que jamais la colère du ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Amar Tou. Ce dernier, en visite de travail dans la wilaya d'El-Oued, n'a guère hésité à fustiger le "laxisme" relevé au sein des CHU. Le ministre a appelé par la même occasion les responsables de ces structures à assumer pleinement leurs responsabilités pour remédier à cette situation et être à la hauteur de leur mission dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle politique nationale de la santé. Il faut savoir à cet effet que la situation alarmante qui règne depuis plusieurs années dans de multiples services de nos CHU ne laisse plus le gouvernement indifférent. Preuve en est, le conseil des ministres s'est déjà penché sur ce dossier en soulignant la mauvaise qualité de la prestation et du fonctionnement de nos hôpitaux. Cette réalité amère a poussé le ministère de la Santé à élaborer une nouvelle politique nationale de la santé dont le principal objectif est de réconcilier le citoyen algérien avec les hôpitaux. Celle-ci, adoptée le 13 avril dernier par le conseil des ministres, serait fin prête selon les déclarations de Amar Tou. Sur ce volet, le ministre a affirmé, en marge une séance de travail en présence des responsables du secteur de la santé des wilayas du sud-est, que "cet important dossier, dont l'enrichissement a duré plus de trois ans, fait un diagnostic exhaustif de la situation du secteur jusqu'à l'horizon 2025, et prévoit une batterie de mesures pour l'amélioration des prestations médicales et la lutte contre les disparités régionales en la matière". "Il est temps de réaménager les structures sanitaires et de rénover les équipements médicaux, afin de fournir les meilleurs soins et prestations aux malades", a souligné encore Amar Tou, qui a fait part également de la réalisation de 122 nouvelles infrastructures hospitalières, privées et publiques, de 311 polycliniques, et 221 structures sanitaires toutes spécialités médicales confondues. Concernant l'encadrement médical, le ministre a noté que plus de 3.500 cadres médicaux ont été affectés dans les régions des hauts plateaux et du sud du pays, en moins de trois ans. Evoquant enfin la rigueur avec laquelle est appliquée la nouvelle carte sanitaire, Amar Tou a indiqué, à ce titre, que pas moins de 8 polycliniques privées ont été fermées pour non conformité avec les lois. A ce sujet, le ministre n'exclut pas leur fermeture définitive en cas de nouvelle violation des règles en la matière.