Du 7 au 29 juin, l'Euro 2008 de football va faire vibrer tous les fans de foot. En Suisse et en Autriche, la 13e édition du championnat d'Europe des nations va opposer seize équipes majeures du Vieux Continent réparties en quatre poules initiales. Coup d'envoi aujourd'hui avec deux matchs du groupe A au programme : Suisse-République tchèque (à Bâle) et Portugal-Turquie (à Genève). Du 7 au 29 juin, l'Euro 2008 de football va faire vibrer tous les fans de foot. En Suisse et en Autriche, la 13e édition du championnat d'Europe des nations va opposer seize équipes majeures du Vieux Continent réparties en quatre poules initiales. Coup d'envoi aujourd'hui avec deux matchs du groupe A au programme : Suisse-République tchèque (à Bâle) et Portugal-Turquie (à Genève). La France, l'Italie, l'Allemagne: voilà les favoris des bookmakers pour l'Euro-2008, où il faudra forcément avoir un oeil sur l'Espagne de Torres et le Portugal de Ronaldo, et guetter l'émergence d'un candidat inattendu rêvant d'imiter la Grèce, victorieuse en 2004. Tous le monde a déjà coché sur son calendrier le 22e match de cet Euro, le 17 juin à Zurich, pour le choc du groupe C, celui "de la mort". Ce sera l'heure des retrouvailles entre la France et l'Italie, les finalistes du Mondial-2006, qui ne se quittent plus après avoir chahuté les qualifications de ce championnat européen entre "clasico" et polémiques sans fin. Et, cadeau supplémentaire du tirage au sort, une demi-finale entre ces deux meilleurs ennemis est possible. Tous les ingrédients savoureux sont déjà réunis sur le papier, comme le duel entre Ribéry et Toni, stars et équipiers au Bayern Munich, ou encore les retrouvailles des Bleus avec Materazzi, l'enfant terrible qui avait provoqué "Zizou" et ce fameux coup de tête. Gare à ne pas trop se focaliser là-dessus, car la Roumanie et les Pays-Bas sont aux aguets dans cette poule. Ronaldo, l'homme à suivre La Mannschaft devrait refermer sans problème le 8 juin contre la Pologne un chapitre douloureux de douze années sans victoire dans un Euro depuis sa finale heueuse de 1996 et le but en or d'Oliver Bierhoff. Il y a quatre ans, dans son Euro à la maison, Cristiano Ronaldo n'était qu'une promesse. Aujourd'hui, c'est "LA" vedette planétaire, celui à qui on promet déjà le prochain Ballon d'Or. Mais cette récompense individuelle passera forcément par une performance avec le Portugal, finaliste malheureux de la dernière édition. Le joyau de la couronne de Manchester United le sait. A lui d'assumer dans un groupe A qui compte la République Tchèque, demi-finaliste du dernier Euro, la Turquie et la Suisse. Ces deux derniers pays ont un contentieux à régler depuis un match de qualification pour le dernier Mondial qui avait fini en pugilat. Attention les yeux! Dans le groupe D, l'Espagne compte sur un "Kid" qui a bien grandi à Liverpool, Torres, pour redonner du tonus à ses couleurs délavées par tant de déceptions dans les tournois majeurs. Dans la poule des Espagnols, il y a la Grèce, tenante du titre attendue qui pourra difficilement refaire le coup du Portugal, la Suède, trop inconstante, et la Russie. Et si c'étaient eux, les Russes, le fameux outsider? Après le succès surprise du Zenit Saint-Pétersbourg en finale de la C3 et une finale de Ligue des champions organisée à Moscou, les Russes et leur sorcier néerlandais Guus Hiddink ne rêvent que de ça, jouer les trouble-fêtes. La France, l'Italie, l'Allemagne: voilà les favoris des bookmakers pour l'Euro-2008, où il faudra forcément avoir un oeil sur l'Espagne de Torres et le Portugal de Ronaldo, et guetter l'émergence d'un candidat inattendu rêvant d'imiter la Grèce, victorieuse en 2004. Tous le monde a déjà coché sur son calendrier le 22e match de cet Euro, le 17 juin à Zurich, pour le choc du groupe C, celui "de la mort". Ce sera l'heure des retrouvailles entre la France et l'Italie, les finalistes du Mondial-2006, qui ne se quittent plus après avoir chahuté les qualifications de ce championnat européen entre "clasico" et polémiques sans fin. Et, cadeau supplémentaire du tirage au sort, une demi-finale entre ces deux meilleurs ennemis est possible. Tous les ingrédients savoureux sont déjà réunis sur le papier, comme le duel entre Ribéry et Toni, stars et équipiers au Bayern Munich, ou encore les retrouvailles des Bleus avec Materazzi, l'enfant terrible qui avait provoqué "Zizou" et ce fameux coup de tête. Gare à ne pas trop se focaliser là-dessus, car la Roumanie et les Pays-Bas sont aux aguets dans cette poule. Ronaldo, l'homme à suivre La Mannschaft devrait refermer sans problème le 8 juin contre la Pologne un chapitre douloureux de douze années sans victoire dans un Euro depuis sa finale heueuse de 1996 et le but en or d'Oliver Bierhoff. Il y a quatre ans, dans son Euro à la maison, Cristiano Ronaldo n'était qu'une promesse. Aujourd'hui, c'est "LA" vedette planétaire, celui à qui on promet déjà le prochain Ballon d'Or. Mais cette récompense individuelle passera forcément par une performance avec le Portugal, finaliste malheureux de la dernière édition. Le joyau de la couronne de Manchester United le sait. A lui d'assumer dans un groupe A qui compte la République Tchèque, demi-finaliste du dernier Euro, la Turquie et la Suisse. Ces deux derniers pays ont un contentieux à régler depuis un match de qualification pour le dernier Mondial qui avait fini en pugilat. Attention les yeux! Dans le groupe D, l'Espagne compte sur un "Kid" qui a bien grandi à Liverpool, Torres, pour redonner du tonus à ses couleurs délavées par tant de déceptions dans les tournois majeurs. Dans la poule des Espagnols, il y a la Grèce, tenante du titre attendue qui pourra difficilement refaire le coup du Portugal, la Suède, trop inconstante, et la Russie. Et si c'étaient eux, les Russes, le fameux outsider? Après le succès surprise du Zenit Saint-Pétersbourg en finale de la C3 et une finale de Ligue des champions organisée à Moscou, les Russes et leur sorcier néerlandais Guus Hiddink ne rêvent que de ça, jouer les trouble-fêtes.