Le président sud-africain Thabo Mbeki a estimé hier que le niveau des violences au Zimbabwe à l'approche du second tour du scrutin présidentiel était «une source de profonde inquiétude». «Les incidents violents et l'interruption des activités électorales de certaines parties sont une source de profonde inquiétude et exigent une réponse en toute urgence», a-t-il déclaré dans un discours aux Parlementaires. Le président Mbeki, médiateur entre le pouvoir et l'opposition au Zimbabwe, a toujours prôné une «diplomatie discrète» dans ce pays et évité les prises de positions publiques trop fortes. Depuis, la situation a empiré au Zimbabwe, où les violences politiques se multiplient à l'approche du second tour de l'élection présidentielle, le 27 juin, entre le chef de l'Etat Robert Mugabe et le leader de l'opposition Morgan Tsvangirai. Le président sud-africain Thabo Mbeki a estimé hier que le niveau des violences au Zimbabwe à l'approche du second tour du scrutin présidentiel était «une source de profonde inquiétude». «Les incidents violents et l'interruption des activités électorales de certaines parties sont une source de profonde inquiétude et exigent une réponse en toute urgence», a-t-il déclaré dans un discours aux Parlementaires. Le président Mbeki, médiateur entre le pouvoir et l'opposition au Zimbabwe, a toujours prôné une «diplomatie discrète» dans ce pays et évité les prises de positions publiques trop fortes. Depuis, la situation a empiré au Zimbabwe, où les violences politiques se multiplient à l'approche du second tour de l'élection présidentielle, le 27 juin, entre le chef de l'Etat Robert Mugabe et le leader de l'opposition Morgan Tsvangirai.