Cette année, c'est de la main de Na Aldjia, la mère du chanteur martyr Matoub Lounès et de celle de Cherifa Khedda, présidente de l'association Djazaïrouna, que le prix de la plume libre a été décerné à M. Slim Boukhedir, correspondant de presse tunisien, détenu depuis le 26 novembre 2007 à la prison de Sfax et condamné le 18 janvier 2008 à un an de prison ferme pour ses écrits et à M. Bachir Rezzoug, l'un des pionniers algériens du combat pour la libre expression. C'est la quatrième fois que le prix de la plume libre, créé durant la détention de M. Benchicou Mohamed, directeur du journal suspendu Le matin, est attribué. Symboliquement, c'est M. Abdelhafid Yaha, ancien moudhahid et membre fondateur du FFS qui a receptionné le prix du journaliste tunisien absent. Se sont succédé à la tribune installée cette année à la maison de la culture de Tizi-Ouzou, M. Benchicou Mohamed, Bachir Rezzoug, Chérifa Kheddar, Si l'Hafidh Yaha, maître Mohamed Benarbia, M. Khaled Guermah, Faroudja Moussaoui du collectif des femmes du printemps noir, M. Yassine Teguia du MDS et Belaïd Abrika, délégué de la Cadc de Tizi-Ouzou. Pleine à craquer, la salle s'est vite révélée insuffisante à contenir la foule nombreuse qui s'y pressait. Le meeting a été marqué par des interventions convergentes. Le jugement des commanditaires et éxécutants des assassinats politiques en Kabylie, notamment celui de Matoub Lounès assassiné en 1998, le respect de toutes les libertés démocratiques théoriquement garanties par la Constitution et l'aboutissement des luttes citoyennes à travers le territoire national étaient les points récurrents de la rencontre. Une grande exposition photos sur la marche historique du 14 juin et les portraits de Matoub Lounès et des martyrs du printemps noir était dressée à l'extérieur de la maison de la culture. Cette année, c'est de la main de Na Aldjia, la mère du chanteur martyr Matoub Lounès et de celle de Cherifa Khedda, présidente de l'association Djazaïrouna, que le prix de la plume libre a été décerné à M. Slim Boukhedir, correspondant de presse tunisien, détenu depuis le 26 novembre 2007 à la prison de Sfax et condamné le 18 janvier 2008 à un an de prison ferme pour ses écrits et à M. Bachir Rezzoug, l'un des pionniers algériens du combat pour la libre expression. C'est la quatrième fois que le prix de la plume libre, créé durant la détention de M. Benchicou Mohamed, directeur du journal suspendu Le matin, est attribué. Symboliquement, c'est M. Abdelhafid Yaha, ancien moudhahid et membre fondateur du FFS qui a receptionné le prix du journaliste tunisien absent. Se sont succédé à la tribune installée cette année à la maison de la culture de Tizi-Ouzou, M. Benchicou Mohamed, Bachir Rezzoug, Chérifa Kheddar, Si l'Hafidh Yaha, maître Mohamed Benarbia, M. Khaled Guermah, Faroudja Moussaoui du collectif des femmes du printemps noir, M. Yassine Teguia du MDS et Belaïd Abrika, délégué de la Cadc de Tizi-Ouzou. Pleine à craquer, la salle s'est vite révélée insuffisante à contenir la foule nombreuse qui s'y pressait. Le meeting a été marqué par des interventions convergentes. Le jugement des commanditaires et éxécutants des assassinats politiques en Kabylie, notamment celui de Matoub Lounès assassiné en 1998, le respect de toutes les libertés démocratiques théoriquement garanties par la Constitution et l'aboutissement des luttes citoyennes à travers le territoire national étaient les points récurrents de la rencontre. Une grande exposition photos sur la marche historique du 14 juin et les portraits de Matoub Lounès et des martyrs du printemps noir était dressée à l'extérieur de la maison de la culture.