Neuf enfants, frères et sœurs, de la commune de Frikat, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, se trouvent dans une situation de détresse suite au divorce de leurs parents. Ils sont logés dans une habitation de deux chambres non séparées et non achevées. Comme eux, ils en existent des milliers qui ont célébré dans de telles situations, hier, la Journée de l'enfant africain. Pourtant, un plan national d'action en faveur de l'enfant a été approuvé par l'Assemblée populaire nationale et a, selon ses initiateurs, donné des résultats positifs. Du côté officiel, on annonce, à chaque occasion, que la situation va de mieux en mieux. En effet, Nouara djaâffar, ministre délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine a qualifié, hier, à l'occasion de la célébration de la Journée de l'enfant africain tenue au siége du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, de bonnes les avancées enregistrées par l'Algérie dans le domaine de la protection de l'enfant. «Après l'indépendance, l'Algérie a mis beaucoup de moyens et pris plusieurs mesures allant dans le cadre de l'amélioration des conditions des enfants et aujourd'hui, le taux de scolarisation dans notre pays est de 97.5%», a souligné la ministre. Les révisions juridiques qui ont touché le code de la famille et la loi sur la nationalité ont donné les priorités pour les enfants à travers aussi la reforme éducative et sociale. «Grâce à ces réforme, le taux de mortalité enfantine est estimé à 24/1000. Les objectifs de notre plan restent une meilleure protection, une bonne qualité de l'éducation, la santé et la lutte contre le Sida », a-t-elle encore souligné . Par ailleurs, les experts dans le domaine ont brossé un tableau peu reluisant de la situation des enfants en Algérie, indiquant qu'ils sont victimes de tous les maux de la société. En effet, il s'agit, selon eux, d'une situation qui s'aggrave chaque année davantage. Dans ce contexte, il est utile de rappeler que 300.000 enfants algériens sont exploités dans des travaux souvent difficiles, 40.000 enfants quittent chaque année l'école avant l'âge de 16 ans, environ 3% des enfants ayant l'âge de rejoindre l'école ne le font pas. Les spécialistes affirment que les causes de ces malheurs sont strictement sociales. Il est question, dès lors, de la dégradation du pouvoir d'achat, de la pauvreté, du chômage, de l'ignorance, de la nature de l'éducati etc. Selon l'UNICEF, 50% des 10 millions d'enfants âgés de moins de cinq ans qui décèdent annuellement dans le monde sont du continent africain. Les causent, a-t-on indiqué, est la prolifération des maladies transmissibles et celles générées par la malnutrition, le Sida et la violence. A ce titre, les conférenciers ont indiqué que chaque minute, 8 enfants meurent en Afrique. 6% des nouveaux-nés risquent d'être contaminés du VIH et 1/6e des nouveaux-nés n'ont pas la chance de parvenir à l'âge de 6 ans. Neuf enfants, frères et sœurs, de la commune de Frikat, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, se trouvent dans une situation de détresse suite au divorce de leurs parents. Ils sont logés dans une habitation de deux chambres non séparées et non achevées. Comme eux, ils en existent des milliers qui ont célébré dans de telles situations, hier, la Journée de l'enfant africain. Pourtant, un plan national d'action en faveur de l'enfant a été approuvé par l'Assemblée populaire nationale et a, selon ses initiateurs, donné des résultats positifs. Du côté officiel, on annonce, à chaque occasion, que la situation va de mieux en mieux. En effet, Nouara djaâffar, ministre délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine a qualifié, hier, à l'occasion de la célébration de la Journée de l'enfant africain tenue au siége du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, de bonnes les avancées enregistrées par l'Algérie dans le domaine de la protection de l'enfant. «Après l'indépendance, l'Algérie a mis beaucoup de moyens et pris plusieurs mesures allant dans le cadre de l'amélioration des conditions des enfants et aujourd'hui, le taux de scolarisation dans notre pays est de 97.5%», a souligné la ministre. Les révisions juridiques qui ont touché le code de la famille et la loi sur la nationalité ont donné les priorités pour les enfants à travers aussi la reforme éducative et sociale. «Grâce à ces réforme, le taux de mortalité enfantine est estimé à 24/1000. Les objectifs de notre plan restent une meilleure protection, une bonne qualité de l'éducation, la santé et la lutte contre le Sida », a-t-elle encore souligné . Par ailleurs, les experts dans le domaine ont brossé un tableau peu reluisant de la situation des enfants en Algérie, indiquant qu'ils sont victimes de tous les maux de la société. En effet, il s'agit, selon eux, d'une situation qui s'aggrave chaque année davantage. Dans ce contexte, il est utile de rappeler que 300.000 enfants algériens sont exploités dans des travaux souvent difficiles, 40.000 enfants quittent chaque année l'école avant l'âge de 16 ans, environ 3% des enfants ayant l'âge de rejoindre l'école ne le font pas. Les spécialistes affirment que les causes de ces malheurs sont strictement sociales. Il est question, dès lors, de la dégradation du pouvoir d'achat, de la pauvreté, du chômage, de l'ignorance, de la nature de l'éducati etc. Selon l'UNICEF, 50% des 10 millions d'enfants âgés de moins de cinq ans qui décèdent annuellement dans le monde sont du continent africain. Les causent, a-t-on indiqué, est la prolifération des maladies transmissibles et celles générées par la malnutrition, le Sida et la violence. A ce titre, les conférenciers ont indiqué que chaque minute, 8 enfants meurent en Afrique. 6% des nouveaux-nés risquent d'être contaminés du VIH et 1/6e des nouveaux-nés n'ont pas la chance de parvenir à l'âge de 6 ans.