Le vingtième siècle aura été celui de tous les progrès mais aussi de toutes les catastrophes et pandémies connues à l'échelle de toute la planète. Les problèmes qu'il a légués aux générations actuelles et futures constitueront sans aucun doute les préoccupations essentielles en même temps les plus douloureuses à résoudre pour longtemps encore. Il en est ainsi de celui des réfugiés dont le nombre n'a cessé d'aller dans le sens de l'accroissement tout au long des décades du siècle passé. Ce début de 21e siècle ne se porte guère mieux en la matière. Au chapitre des causes premières, il y a bien entendu les guerres et leurs conséquences en matière de réfugiés dans les pays voisins des zones de conflits, mais aussi de déplacés régulièrement pris en charge par l'UNHCR et les organisations non gouvernementales. L'Afrique, et plus récemment des régions comme les Balkans, l'Afghanistan, l'Irak, et bien sûr le Proche-Orient avec ses quatre millions de réfugiés palestiniens constituant le plus grand nombre en la matière. Notre continent est particulièrement touché par le fléau, les guerres civiles, les sécheresses et les famines quasi récurrentes avec à chaque fois leur lot de nouveaux déplacés et de réfugiés. Le Congo, le Liberia, la Sierra Léone, le Zimbabwe, le Tchad, le Soudan, l'Angola, le Mozambique, ayant été parmi les plus touchés par les différents conflits armés qui y ont sévi ou qui y sévissent encore pour certains d'entre eux. La pauvreté et l'état de sous-développement chronique, l'absence de ressources en eau, astreignent chaque année un nombre toujours grandissant de citoyens de l'un ou l'autre pays touché, à se déplacer souvent pour longtemps ailleurs, alors que les ressources existantes sur le lieu d'accueil sont largement insuffisantes déjà pour les nationaux eux-mêmes. Ce qui entraîne une accumulation de problèmes insolubles localement et qui nécessitent et sollicitent de plus en plus l'intervention du Haut-Commissariat aux réfugiés. Ces dix dernières années, avec l'intervention américaine en Afghanistan et en Irak, des millions de personnes se sont réfugiés ou se réfugient toujours soit dans les pays voisins, soit, pour les plus chanceux d'entre eux, dans les pays occidentaux. Ici aussi les guerres, l'instabilité et l'insécurité sont parmi les facteurs déterminants du fléau. Le cas des réfugiés palestiniens étant parmi les plus épineux d'entre tous, d'abord par le nombre, plus de 4 millions répartis à travers les Proche et Moyen-Orient et à travers le monde entier. Difficile à résoudre, car étroitement lié au conflit vieux de soixante ans qui oppose les Palestiniens à l'Etat hébreu, responsable de cet état de fait à partir des années 1930 puis en 1948 de façon encore plus significative. A notre frontière ouest, tout le monde connaît la situation dans laquelle se débattent plus de 100.000 réfugiés dans les camps de la région de Tindouf. De même que des milliers d'autres Sahraouis constituent une véritable diaspora en Espagne mais aussi en Europe et aux Etats-Unis. Le vingtième siècle aura été celui de tous les progrès mais aussi de toutes les catastrophes et pandémies connues à l'échelle de toute la planète. Les problèmes qu'il a légués aux générations actuelles et futures constitueront sans aucun doute les préoccupations essentielles en même temps les plus douloureuses à résoudre pour longtemps encore. Il en est ainsi de celui des réfugiés dont le nombre n'a cessé d'aller dans le sens de l'accroissement tout au long des décades du siècle passé. Ce début de 21e siècle ne se porte guère mieux en la matière. Au chapitre des causes premières, il y a bien entendu les guerres et leurs conséquences en matière de réfugiés dans les pays voisins des zones de conflits, mais aussi de déplacés régulièrement pris en charge par l'UNHCR et les organisations non gouvernementales. L'Afrique, et plus récemment des régions comme les Balkans, l'Afghanistan, l'Irak, et bien sûr le Proche-Orient avec ses quatre millions de réfugiés palestiniens constituant le plus grand nombre en la matière. Notre continent est particulièrement touché par le fléau, les guerres civiles, les sécheresses et les famines quasi récurrentes avec à chaque fois leur lot de nouveaux déplacés et de réfugiés. Le Congo, le Liberia, la Sierra Léone, le Zimbabwe, le Tchad, le Soudan, l'Angola, le Mozambique, ayant été parmi les plus touchés par les différents conflits armés qui y ont sévi ou qui y sévissent encore pour certains d'entre eux. La pauvreté et l'état de sous-développement chronique, l'absence de ressources en eau, astreignent chaque année un nombre toujours grandissant de citoyens de l'un ou l'autre pays touché, à se déplacer souvent pour longtemps ailleurs, alors que les ressources existantes sur le lieu d'accueil sont largement insuffisantes déjà pour les nationaux eux-mêmes. Ce qui entraîne une accumulation de problèmes insolubles localement et qui nécessitent et sollicitent de plus en plus l'intervention du Haut-Commissariat aux réfugiés. Ces dix dernières années, avec l'intervention américaine en Afghanistan et en Irak, des millions de personnes se sont réfugiés ou se réfugient toujours soit dans les pays voisins, soit, pour les plus chanceux d'entre eux, dans les pays occidentaux. Ici aussi les guerres, l'instabilité et l'insécurité sont parmi les facteurs déterminants du fléau. Le cas des réfugiés palestiniens étant parmi les plus épineux d'entre tous, d'abord par le nombre, plus de 4 millions répartis à travers les Proche et Moyen-Orient et à travers le monde entier. Difficile à résoudre, car étroitement lié au conflit vieux de soixante ans qui oppose les Palestiniens à l'Etat hébreu, responsable de cet état de fait à partir des années 1930 puis en 1948 de façon encore plus significative. A notre frontière ouest, tout le monde connaît la situation dans laquelle se débattent plus de 100.000 réfugiés dans les camps de la région de Tindouf. De même que des milliers d'autres Sahraouis constituent une véritable diaspora en Espagne mais aussi en Europe et aux Etats-Unis.