Ce groupe d'Algériens comprend, entre autres, selon l'agence marocaine Map, 14 mineurs et huit femmes. Ils étaient réfugiés dans les localités de Selouane et Laroui, attendant l'occasion, leurs permettant de rejoindre clandestinement Melilla ou les côtes sud de l'Espagne. Ce groupe d'Algériens comprend, entre autres, selon l'agence marocaine Map, 14 mineurs et huit femmes. Ils étaient réfugiés dans les localités de Selouane et Laroui, attendant l'occasion, leurs permettant de rejoindre clandestinement Melilla ou les côtes sud de l'Espagne. 35 migrants algériens ont été interpellés par les autorités marocaines, durant la nuit de mardi à mercredi, près de Nador, qui jouxte l'enclave espagnole de Melilla. Ce groupe d'Algériens comprend entre autres, selon l'agence marocaine Map, composé de 14 mineurs et huit femmes. Ils étaient réfugiés, d'après les mêmes sources, dans les localités de Selouane et Laroui, attendant l'occasion, leurs permettant de rejoindre clandestinement Melilla ou les côtes sud de l'Espagne. Ainsi et pour rester dans le même registre, il est à signaler que le nombre d'Algériens interpellés, durant l'année 2008, dans la province de Nador, une localité connue pour être choisie par les Harragas, tentant de rejoindre les côtes Espagnoles, avoisine 150 personnes. Pis encore, une moyenne de 40% des migrants sont, croit-on savoir des mineurs, tandis que 20% sont des femmes. En vue d'atteindre l'autre rive de la méditerranée, il est à relever, dans ce sens, que les Algériens préfèrent selon les constats établis par la gendarmerie nationales ainsi que le commandement des gardes-côtes, les côtes Est, à savoir Annaba. Cependant, les côtes Ouest du pays viennent, d'après les mêmes sources, en deuxième position. S'agissant des algériens interpellés ou arrêtés sur le sol Marocain, il est à signaler, à ce sujet, que leur nombre demeure inconnu. A ce titre, l'on apprend que les parents des Harragas dans les wilayas de l'ouest du pays interpellent les autorités à trouver une solution et accusent les autorités marocaines de détenir leurs enfants dans des centres de détention spéciaux. Des informations recueillies auprès des marocains font état de la présence de centaines d'algériens, qui croupissent, à l'heure actuelle, dans des prisons marocaines. Plusieurs familles se sont, indique-t-on, déplacées au Maroc dont l'espoir d'avoir des nouvelles de leurs proches, a-t-on appris auprès des représentants du collectif des parents des Harragas disparus. Sur cette question, l'agence marocaine rapporte que depuis le début de l'année 2008, 1.130 immigrés ont été interpellés dans la province de Nador. Ces derniers sont, pour leur majorité, des subsahariens, précise encore la même source. Dans ce sens, il est à rappeler que plusieurs dizaines de clandestins africains avaient pris d'assaut, dimanche dernier, à deux reprises un poste frontière de l'enclave espagnole de Melilla pour tenter d'entrer en Espagne. Par ailleurs, du côté est du pays, les gardes-côtes algériens ont intercepté, et ce, juste au début du mois de juin, 68 Harragas, dont 35 ont été portés disparus en mer. Toutefois, les familles des disparus ne croient pas à cette thèse. Pour ces familles leurs enfants ont été arrêtés, soit par les gardes-côtes tunisiens, soit par les libyens. D'ailleurs, il est à rappeler que plusieurs corps d'Algériens ont été récupérés dans des hôpitaux en Tunisie. Ces derniers sont morts, selon leurs parents, documents en main, dans des conditions ambiguës. En outre, des centaines d'autres croupissent dans des geôles libyennes et leur transfert en Algérie ne cesse de faire l'objet de plusieurs spéculations. La dernière en date, est la visite officielle d'une délégation algérienne en Libye, en ce début de semaine, pour négocier le transfert des algériens emprisonnés dans ce Pays. 35 migrants algériens ont été interpellés par les autorités marocaines, durant la nuit de mardi à mercredi, près de Nador, qui jouxte l'enclave espagnole de Melilla. Ce groupe d'Algériens comprend entre autres, selon l'agence marocaine Map, composé de 14 mineurs et huit femmes. Ils étaient réfugiés, d'après les mêmes sources, dans les localités de Selouane et Laroui, attendant l'occasion, leurs permettant de rejoindre clandestinement Melilla ou les côtes sud de l'Espagne. Ainsi et pour rester dans le même registre, il est à signaler que le nombre d'Algériens interpellés, durant l'année 2008, dans la province de Nador, une localité connue pour être choisie par les Harragas, tentant de rejoindre les côtes Espagnoles, avoisine 150 personnes. Pis encore, une moyenne de 40% des migrants sont, croit-on savoir des mineurs, tandis que 20% sont des femmes. En vue d'atteindre l'autre rive de la méditerranée, il est à relever, dans ce sens, que les Algériens préfèrent selon les constats établis par la gendarmerie nationales ainsi que le commandement des gardes-côtes, les côtes Est, à savoir Annaba. Cependant, les côtes Ouest du pays viennent, d'après les mêmes sources, en deuxième position. S'agissant des algériens interpellés ou arrêtés sur le sol Marocain, il est à signaler, à ce sujet, que leur nombre demeure inconnu. A ce titre, l'on apprend que les parents des Harragas dans les wilayas de l'ouest du pays interpellent les autorités à trouver une solution et accusent les autorités marocaines de détenir leurs enfants dans des centres de détention spéciaux. Des informations recueillies auprès des marocains font état de la présence de centaines d'algériens, qui croupissent, à l'heure actuelle, dans des prisons marocaines. Plusieurs familles se sont, indique-t-on, déplacées au Maroc dont l'espoir d'avoir des nouvelles de leurs proches, a-t-on appris auprès des représentants du collectif des parents des Harragas disparus. Sur cette question, l'agence marocaine rapporte que depuis le début de l'année 2008, 1.130 immigrés ont été interpellés dans la province de Nador. Ces derniers sont, pour leur majorité, des subsahariens, précise encore la même source. Dans ce sens, il est à rappeler que plusieurs dizaines de clandestins africains avaient pris d'assaut, dimanche dernier, à deux reprises un poste frontière de l'enclave espagnole de Melilla pour tenter d'entrer en Espagne. Par ailleurs, du côté est du pays, les gardes-côtes algériens ont intercepté, et ce, juste au début du mois de juin, 68 Harragas, dont 35 ont été portés disparus en mer. Toutefois, les familles des disparus ne croient pas à cette thèse. Pour ces familles leurs enfants ont été arrêtés, soit par les gardes-côtes tunisiens, soit par les libyens. D'ailleurs, il est à rappeler que plusieurs corps d'Algériens ont été récupérés dans des hôpitaux en Tunisie. Ces derniers sont morts, selon leurs parents, documents en main, dans des conditions ambiguës. En outre, des centaines d'autres croupissent dans des geôles libyennes et leur transfert en Algérie ne cesse de faire l'objet de plusieurs spéculations. La dernière en date, est la visite officielle d'une délégation algérienne en Libye, en ce début de semaine, pour négocier le transfert des algériens emprisonnés dans ce Pays.