Le programme algéro-français de soutien à l'exportation hors hydrocarbures des PME algériennes «Optimexport» sera lancé aujourd‘hui, a annoncé, hier, le chef du projet, Marc Martinant. Cofinancé par le ministère du Commerce et l'Agence française de développement (AFD), ce programme est destiné aux entreprises algériennes exportatrices ou à fort potentiel exportateur. D'un coût de 2,1 millions de dollars, la mission de ce programme consiste à appuyer techniquement les bénéficiaires du programme par la professionnalisation de leurs démarches de développement international à travers la formation aux métiers de l'exportation, l'information commerciale et la prospection des marchés extérieurs, explique-t-on. Avec l'aide d'experts de l'Agence française de soutien des entreprises à l'étranger (Ubifrance), Optimexport examinera la place des exportations algériennes hors hydrocarbures dans le monde et proposera l'exploration des principales pistes de développement que les exportateurs pourront prospecter au moyen d'actions collectives ou individuelles personnalisées. Pour ce faire, le programme va cibler, dans un premier lieu, 30 à 40 entreprises qui seront sélectionnées pour mettre en œuvre les bénéfices des programmes de renforcement par la formation et l'accompagnement sur les marchés extérieurs appelés «Oser l'international en exportant». Outre des sessions de formation réservées aux exportateurs débutants, le programme prévoit également des appuis spécifiques aux auxiliaires et conseillers à l'export et aux formateurs. Il convient de dire aussi que ce programme entre dans le cadre du dispositif mis en place pour la promotion des exportations hors hydrocarbures dont le Fonds spécial pour la promotion des exportations (FSPE), l'agence Algex, l'assureur risque Cagex, rappelle-t-on. Optimexport va mobiliser, selon ses concepteurs, dont le ministère du Commerce qui en est le maître d'ouvrage, un réseau de partenaires, parmi eux Algex, la CACI (Chambre algérienne de commerce et d'industrie) et des regroupements patronaux, avec le souhait qu'Optimexport puisse créer « une nouvelle dynamique d'échanges » entre notamment l'Algérie et la France. Des échanges qui restent au demeurant en deçà du potentiel économique en raison du manque de visibilité qui caractérise le climat des affaires en Algérie en dépit de quelques améliorations constatées. Le programme algéro-français de soutien à l'exportation hors hydrocarbures des PME algériennes «Optimexport» sera lancé aujourd‘hui, a annoncé, hier, le chef du projet, Marc Martinant. Cofinancé par le ministère du Commerce et l'Agence française de développement (AFD), ce programme est destiné aux entreprises algériennes exportatrices ou à fort potentiel exportateur. D'un coût de 2,1 millions de dollars, la mission de ce programme consiste à appuyer techniquement les bénéficiaires du programme par la professionnalisation de leurs démarches de développement international à travers la formation aux métiers de l'exportation, l'information commerciale et la prospection des marchés extérieurs, explique-t-on. Avec l'aide d'experts de l'Agence française de soutien des entreprises à l'étranger (Ubifrance), Optimexport examinera la place des exportations algériennes hors hydrocarbures dans le monde et proposera l'exploration des principales pistes de développement que les exportateurs pourront prospecter au moyen d'actions collectives ou individuelles personnalisées. Pour ce faire, le programme va cibler, dans un premier lieu, 30 à 40 entreprises qui seront sélectionnées pour mettre en œuvre les bénéfices des programmes de renforcement par la formation et l'accompagnement sur les marchés extérieurs appelés «Oser l'international en exportant». Outre des sessions de formation réservées aux exportateurs débutants, le programme prévoit également des appuis spécifiques aux auxiliaires et conseillers à l'export et aux formateurs. Il convient de dire aussi que ce programme entre dans le cadre du dispositif mis en place pour la promotion des exportations hors hydrocarbures dont le Fonds spécial pour la promotion des exportations (FSPE), l'agence Algex, l'assureur risque Cagex, rappelle-t-on. Optimexport va mobiliser, selon ses concepteurs, dont le ministère du Commerce qui en est le maître d'ouvrage, un réseau de partenaires, parmi eux Algex, la CACI (Chambre algérienne de commerce et d'industrie) et des regroupements patronaux, avec le souhait qu'Optimexport puisse créer « une nouvelle dynamique d'échanges » entre notamment l'Algérie et la France. Des échanges qui restent au demeurant en deçà du potentiel économique en raison du manque de visibilité qui caractérise le climat des affaires en Algérie en dépit de quelques améliorations constatées.