Le MDS va animer un débat sur l'avant-projet de création d'un nouveau cadre sur la base de la ligne stratégique fondée par Ettahadi-MDS. Cette initiative vise à «mobiliser ou remobiliser toutes celles et tous ceux qui aspirent à l'édification d'une république laïque, démocratique et sociale. Le MDS va animer un débat sur l'avant-projet de création d'un nouveau cadre sur la base de la ligne stratégique fondée par Ettahadi-MDS. Cette initiative vise à «mobiliser ou remobiliser toutes celles et tous ceux qui aspirent à l'édification d'une république laïque, démocratique et sociale. Le Mouvement démocratique et social (MDS), organise, jeudi prochain, une journée en hommage au regretté Hachemi Chérif, ex-secrétaire général de ce cette formation politique, à l'occasion du troisième anniversaire de sa disparition qui correspond au 3 août. La Fédération d'Alger invite, à cette occasion, tous ceux qui ont connu le défunt ainsi que tous ceux qui partagent ses idéaux, à venir se recueillir sur sa tombe au cimetière de Miramar d'Alger. Dans la même journée, le MDS va animer un débat, le premier du genre, sur l'avant-projet de création d'un nouveau cadre sur la base de la ligne stratégique fondée par Ettahadi-MDS. Cette initiative, une ancienne idée du défunt Hachemi Chérif, vise à « mobiliser ou remobiliser toutes celles et tous ceux ccc'qui aspirent à l'édification d'une république laïque démocratique et sociale », lit-on dans un communiqué du MDS. A travers cette commémoration, le MDS veut ressusciter le fondateur de leur entité politique et rendre un vibrant hommage à l'un des plus glorieux fils de l'Algérie, dont le combat politique est reconnu et salué de tout le monde. Feu Hachemi Chérif, qui était très menacé par les hordes terroristes lors des années de braise, n'a pourtant pas succombé à la pression. Il a continué son combat contre les islamistes jusqu'à ce qu'un cancer du poumon eut raison de lui un certain 2 août 2005, mais jamais n'a-t-il plié devant les menaces assassines de l'obscurantisme islamiste. Ses «camarades » reconnaissent en lui la réelle incarnation du patriote invétéré, soucieux de l'avenir de l'Algérie et précurseur d'idées progressistes, modernistes et laïques. Il a de tout temps défendu les petites causes du côté du peuple et appelé à un meilleur partage des richesses, dans un climat de justice sociale et d'équité indispensables pour l'exercice démocratique. Le fils terrible de la Soummam (Béjaia), berceau de la révolution, a rejoint le maquis après avoir fait la Medersa et le lycée franco-musulman de Ben Aknoun qu'il quitta aussitôt en décidant de prendre massivement part à la grève des étudiants en 1956. Son engagement sans faille pour la guerre de Libération nationale l'a mis dans le collimateur du colonialisme, alors qu'il assurait la fonction d'assistant de réalisation à la Radio diffusion en 1957. C'est alors qu'il décida de rejoindre le maquis à la wilaya IV zone 1 où il finira la lutte de libération avec le grade d'officier de l'ALN. Après l'indépendance, Feu Hachemi Chérif se lança dans la production radio télévisée et parmi ses meilleures œuvres «Poussière de juillet» qu'il avait réalisée avec Kateb Yacine et Mohamed Issiakhem, couronnée par deux distinctions internationales. Il était le premier ennemi des intégristes islamistes, alors au sommet de leur gloire dans les années 1990. «Peut-on raisonnablement parler de projet de société à propos de l'intégrisme dès lors qu'il s'agit d'un mouvement manifestement à contre-courant du mouvement de l'histoire et purement et simplement d'un horrible assassinat qui ferait basculer l'Algérie dans le chaos et une mort certaine ", dixit El Hachemi Cherif à ce propos. Le Mouvement démocratique et social (MDS), organise, jeudi prochain, une journée en hommage au regretté Hachemi Chérif, ex-secrétaire général de ce cette formation politique, à l'occasion du troisième anniversaire de sa disparition qui correspond au 3 août. La Fédération d'Alger invite, à cette occasion, tous ceux qui ont connu le défunt ainsi que tous ceux qui partagent ses idéaux, à venir se recueillir sur sa tombe au cimetière de Miramar d'Alger. Dans la même journée, le MDS va animer un débat, le premier du genre, sur l'avant-projet de création d'un nouveau cadre sur la base de la ligne stratégique fondée par Ettahadi-MDS. Cette initiative, une ancienne idée du défunt Hachemi Chérif, vise à « mobiliser ou remobiliser toutes celles et tous ceux ccc'qui aspirent à l'édification d'une république laïque démocratique et sociale », lit-on dans un communiqué du MDS. A travers cette commémoration, le MDS veut ressusciter le fondateur de leur entité politique et rendre un vibrant hommage à l'un des plus glorieux fils de l'Algérie, dont le combat politique est reconnu et salué de tout le monde. Feu Hachemi Chérif, qui était très menacé par les hordes terroristes lors des années de braise, n'a pourtant pas succombé à la pression. Il a continué son combat contre les islamistes jusqu'à ce qu'un cancer du poumon eut raison de lui un certain 2 août 2005, mais jamais n'a-t-il plié devant les menaces assassines de l'obscurantisme islamiste. Ses «camarades » reconnaissent en lui la réelle incarnation du patriote invétéré, soucieux de l'avenir de l'Algérie et précurseur d'idées progressistes, modernistes et laïques. Il a de tout temps défendu les petites causes du côté du peuple et appelé à un meilleur partage des richesses, dans un climat de justice sociale et d'équité indispensables pour l'exercice démocratique. Le fils terrible de la Soummam (Béjaia), berceau de la révolution, a rejoint le maquis après avoir fait la Medersa et le lycée franco-musulman de Ben Aknoun qu'il quitta aussitôt en décidant de prendre massivement part à la grève des étudiants en 1956. Son engagement sans faille pour la guerre de Libération nationale l'a mis dans le collimateur du colonialisme, alors qu'il assurait la fonction d'assistant de réalisation à la Radio diffusion en 1957. C'est alors qu'il décida de rejoindre le maquis à la wilaya IV zone 1 où il finira la lutte de libération avec le grade d'officier de l'ALN. Après l'indépendance, Feu Hachemi Chérif se lança dans la production radio télévisée et parmi ses meilleures œuvres «Poussière de juillet» qu'il avait réalisée avec Kateb Yacine et Mohamed Issiakhem, couronnée par deux distinctions internationales. Il était le premier ennemi des intégristes islamistes, alors au sommet de leur gloire dans les années 1990. «Peut-on raisonnablement parler de projet de société à propos de l'intégrisme dès lors qu'il s'agit d'un mouvement manifestement à contre-courant du mouvement de l'histoire et purement et simplement d'un horrible assassinat qui ferait basculer l'Algérie dans le chaos et une mort certaine ", dixit El Hachemi Cherif à ce propos.