«De nouveaux équipements d'exploration ophtalmologique viennent d'être réceptionnés par le CHU de Batna dans le cadre du programme de lutte contre les pathologies cécitantes initié par les pouvoirs publics», a déclaré le directeur du CHU Mordjane-Lazhar qui indique que ces équipements sont acquis grâce au budget de fonctionnement pour une enveloppe de 41.000.000.00 DA, «De nouveaux équipements d'exploration ophtalmologique viennent d'être réceptionnés par le CHU de Batna dans le cadre du programme de lutte contre les pathologies cécitantes initié par les pouvoirs publics», a déclaré le directeur du CHU Mordjane-Lazhar qui indique que ces équipements sont acquis grâce au budget de fonctionnement pour une enveloppe de 41.000.000.00 DA, De haute technologie, ces appareils sont destinés à développer les explorations ophtalmiques de façon moins ennuyante surtout pour les diabétiques, à l'image du Tomographe par cohérence optique de troisième génération, dira le docteur Rouigui, chef de service, qui ne manquera pas de préciser que cet appareil n'existe qu'au niveau de Béni-Mesous et Mustapha à Alger, et du Rétinographe, qui permet de prendre l'image du fond de l'œil sans dilation de la pupille, une autre contrainte de moins pour les rétino-diabétiques. Le troisième explorateur, le champ visuel automatique, renforce les examens ophtalmiques et permet de diagnostiquer et de surveiller le glaucome (hypertension sanguine de l'œil en langage courant) et qui se classe parmi les pathologies de santé publique. Cet instrument de haute investigation permet de diagnostiquer les neuropathies optiques. Et, enfin, l'échographie de l'œil, un instrument nouveau qui complète la clinique des explorations oculaires, dans l'attente de la réception de l'IRM (Image par résonance magnétique). Selon l'équipe médicale, la différence réside dans le fait que «le malade participe à son auscultation et l'opérateur se décharge des schémas manuels qui seront alors imagés à travers la centrale du micro-ordinateur et conservés en archives, tant chez le patient que le service, permettant ainsi un suivi de l'évolution de la pathologie». Ces nouveaux équipements installés provisoirement dans un service désaffecté sont sous la responsabilité du chef de service, deux spécialistes et un technicien supérieur, qui a suivi une formation de six mois à Annaba. Dans un autre registre, les hospitalos- universitaires soulignent que ces équipements sophistiqués sont destinés, d'abord, au service ophtalmologie du CHU et éventuellement pour les malades orientés par les services de santé publics ou privés, dès lors que les cliniques de jour de Batna ne disposent pas de l'ensemble de ces équipements. Au passage, il faut noter que le service ophtalmologie réalise, selon Dr Rouigui, plus de 64 opérations chirurgicales ophtalmologiques par mois. La cataracte et le glaucome sont les pathologies les plus fréquentes. De haute technologie, ces appareils sont destinés à développer les explorations ophtalmiques de façon moins ennuyante surtout pour les diabétiques, à l'image du Tomographe par cohérence optique de troisième génération, dira le docteur Rouigui, chef de service, qui ne manquera pas de préciser que cet appareil n'existe qu'au niveau de Béni-Mesous et Mustapha à Alger, et du Rétinographe, qui permet de prendre l'image du fond de l'œil sans dilation de la pupille, une autre contrainte de moins pour les rétino-diabétiques. Le troisième explorateur, le champ visuel automatique, renforce les examens ophtalmiques et permet de diagnostiquer et de surveiller le glaucome (hypertension sanguine de l'œil en langage courant) et qui se classe parmi les pathologies de santé publique. Cet instrument de haute investigation permet de diagnostiquer les neuropathies optiques. Et, enfin, l'échographie de l'œil, un instrument nouveau qui complète la clinique des explorations oculaires, dans l'attente de la réception de l'IRM (Image par résonance magnétique). Selon l'équipe médicale, la différence réside dans le fait que «le malade participe à son auscultation et l'opérateur se décharge des schémas manuels qui seront alors imagés à travers la centrale du micro-ordinateur et conservés en archives, tant chez le patient que le service, permettant ainsi un suivi de l'évolution de la pathologie». Ces nouveaux équipements installés provisoirement dans un service désaffecté sont sous la responsabilité du chef de service, deux spécialistes et un technicien supérieur, qui a suivi une formation de six mois à Annaba. Dans un autre registre, les hospitalos- universitaires soulignent que ces équipements sophistiqués sont destinés, d'abord, au service ophtalmologie du CHU et éventuellement pour les malades orientés par les services de santé publics ou privés, dès lors que les cliniques de jour de Batna ne disposent pas de l'ensemble de ces équipements. Au passage, il faut noter que le service ophtalmologie réalise, selon Dr Rouigui, plus de 64 opérations chirurgicales ophtalmologiques par mois. La cataracte et le glaucome sont les pathologies les plus fréquentes.