Selon les chiffres de la Gendarmerie nationale, 1.600 personnes ont trouvé la mort et près de 20.000 autres ont été blessées à travers plus de 11.000 accidents recensés durant le premier semestre 2008. Selon les chiffres de la Gendarmerie nationale, 1.600 personnes ont trouvé la mort et près de 20.000 autres ont été blessées à travers plus de 11.000 accidents recensés durant le premier semestre 2008. Les accidents de la route augmentent d'année en année. Nos routes sont devenues de vraies guillotines. Les chiffres sont effarants et les tentatives des pouvoirs publics d'atténuer un tant soit peu l'ampleur des pertes se sont avérées inefficaces. Certes, le facteur humain est le plus souvent à l'origine des accidents de la route, mais la nécessité de repenser radicalement la politique de la circulation, durcir encore plus le règlement à travers des mesures dissuasives, voire coercitives, est impérative, car il ne se passe pas une semaine sans que des vies humaines soient fauchées dans des accidents ou handicapées à vie. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Pour la seule année 2007, les routes ont tué près de 4.200 personnes et blessé plus de 62.000 autres à travers 39.000 accidents, selon les statistiques du Centre national de prévention et de sécurité routières (CNPSR). Le constat est pratiquement le même en cette année en cours, puisque les routes continuent d'endeuiller des familles. Selon les chiffres de la Gendarmerie nationale, 1.600 personnes ont trouvé la mort et près de 20.000 autres ont été blessées à travers plus de 11.000 accidents recensés durant le premier semestre de 2008, soit une moyenne de 266 morts par mois ou bien près de 10 personnes tuées par jour. Le mois de juillet qui vient de s'écouler est particulièrement meurtrier avec 330 morts, 4.331 blessés dans 2.383 accidents recensés. Autrement dit, 11 Algériens perdent la vie chaque jour en ce mois d'été. Un triste record qui démontre on ne peut mieux l'ampleur de ce phénomène. Au demeurant, les bilans établis par les services de la Gendarmerie nationale, la Protection civile ou la sûreté nationale font ressortir de manière unanime que les premières causes de ces accidents sont l'excès de vitesse, la conduite en état d'ivresse, la perte de contrôle du véhicule, les dépassements dangereux, le non respect de la distance de sécurité entre automobilistes et la négligence des piétons. S'il est vrai que l'erreur humaine est à un taux très élevé dans l'ampleur de la chose, il n'en demeure pas moins que l'état de la chaussée, la signalisation défaillante et l'absence d'éclairage dans certains axes routiers sont également des facteurs ayant accentué les accidents. En tout état de cause, la situation est plus qu'inquiétante et l'Algérie, classée à la quatrième position en matière d'accidents, fait face à un réel terrorisme routier. Un casse-tête pour les autorités, car ni l'obligation du port de la ceinture de sécurité ni les radars de surveillance, ou encore moins les retraits systématiques de permis de conduire, ne sont parvenus à freiner l'hécatombe. C'est dans ce sens que les campagnes de sensibilisation amorcées à travers le pays sur les accidents de la route revêtent une importance capitale. La prévention des usagers de la route, automobilistes et piétons, à travers une sensibilisation permanente et continue, saura donner ses fruits en ce sens qu'elle permettra d'inculquer une réelle culture de la route, du strict respect du code de la circulation et des lois, afin de mieux connaître les dangers qui les guettent à chaque tournant de route. Les accidents de la route augmentent d'année en année. Nos routes sont devenues de vraies guillotines. Les chiffres sont effarants et les tentatives des pouvoirs publics d'atténuer un tant soit peu l'ampleur des pertes se sont avérées inefficaces. Certes, le facteur humain est le plus souvent à l'origine des accidents de la route, mais la nécessité de repenser radicalement la politique de la circulation, durcir encore plus le règlement à travers des mesures dissuasives, voire coercitives, est impérative, car il ne se passe pas une semaine sans que des vies humaines soient fauchées dans des accidents ou handicapées à vie. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Pour la seule année 2007, les routes ont tué près de 4.200 personnes et blessé plus de 62.000 autres à travers 39.000 accidents, selon les statistiques du Centre national de prévention et de sécurité routières (CNPSR). Le constat est pratiquement le même en cette année en cours, puisque les routes continuent d'endeuiller des familles. Selon les chiffres de la Gendarmerie nationale, 1.600 personnes ont trouvé la mort et près de 20.000 autres ont été blessées à travers plus de 11.000 accidents recensés durant le premier semestre de 2008, soit une moyenne de 266 morts par mois ou bien près de 10 personnes tuées par jour. Le mois de juillet qui vient de s'écouler est particulièrement meurtrier avec 330 morts, 4.331 blessés dans 2.383 accidents recensés. Autrement dit, 11 Algériens perdent la vie chaque jour en ce mois d'été. Un triste record qui démontre on ne peut mieux l'ampleur de ce phénomène. Au demeurant, les bilans établis par les services de la Gendarmerie nationale, la Protection civile ou la sûreté nationale font ressortir de manière unanime que les premières causes de ces accidents sont l'excès de vitesse, la conduite en état d'ivresse, la perte de contrôle du véhicule, les dépassements dangereux, le non respect de la distance de sécurité entre automobilistes et la négligence des piétons. S'il est vrai que l'erreur humaine est à un taux très élevé dans l'ampleur de la chose, il n'en demeure pas moins que l'état de la chaussée, la signalisation défaillante et l'absence d'éclairage dans certains axes routiers sont également des facteurs ayant accentué les accidents. En tout état de cause, la situation est plus qu'inquiétante et l'Algérie, classée à la quatrième position en matière d'accidents, fait face à un réel terrorisme routier. Un casse-tête pour les autorités, car ni l'obligation du port de la ceinture de sécurité ni les radars de surveillance, ou encore moins les retraits systématiques de permis de conduire, ne sont parvenus à freiner l'hécatombe. C'est dans ce sens que les campagnes de sensibilisation amorcées à travers le pays sur les accidents de la route revêtent une importance capitale. La prévention des usagers de la route, automobilistes et piétons, à travers une sensibilisation permanente et continue, saura donner ses fruits en ce sens qu'elle permettra d'inculquer une réelle culture de la route, du strict respect du code de la circulation et des lois, afin de mieux connaître les dangers qui les guettent à chaque tournant de route.