Le ministre koweïtien des Affaires étrangères a estimé qu'une éventuelle fermeture par l'Iran du détroit d'Ormuz reviendrait à «punir» les pays arabes riverains du Golfe, dans une déclaration publiée hier. Des chefs militaires iraniens ont récemment menacé de fermer ce détroit stratégique par où transite environ 40% du pétrole mondial, en représailles à une éventuelle attaque contre les installations nucléaires de l'Iran. Le ministre koweïtien des Affaires étrangères a estimé qu'une éventuelle fermeture par l'Iran du détroit d'Ormuz reviendrait à «punir» les pays arabes riverains du Golfe, dans une déclaration publiée hier. Des chefs militaires iraniens ont récemment menacé de fermer ce détroit stratégique par où transite environ 40% du pétrole mondial, en représailles à une éventuelle attaque contre les installations nucléaires de l'Iran.