Désormais, le FFS fait de l‘activité de proximité, son cheval de bataille. En effet, le premier secrétaire national du front des forces socialistes (FFS), Karim Tabou, a réitéré son appel, jeudi dernier, à partir de la commune de Guenzet (Sétif), à tous les militants de son parti à «développer davantage l‘activité de proximité », conformément aux recommandations du 4ème congrès du parti. Lors d‘une conférence qu‘il a animée à la maison de jeunes de cette localité (Guenzet), en présence de membres du bureau national du FFS et des représentants du parti dans la wilaya de Sétif, M. Tabou a rappelé les positions de sa formation politique, plaidant pour un «changement pacifique ». Car, il estime que des solutions sérieuses aux problèmes du pays sont possibles à condition d‘instaurer un dialogue démocratique et «une véritable transparence ». Pour ce faire, Tabbou a d‘ailleurs, entamé depuis le début de cet été, une compagne de sensibilisation, à travers une série de rencontres de proximité avec les militants, les élus et les cadres de son parti, mais aussi avec tous les acteurs sociaux. La formation de Aït-Ahmed, rappelle Tabbou, et dans le cadre des résolutions du quatrième congrès du parti, a déjà tracé tout un programme national d‘animation, en vue, dit-il, de confirmer la «présence effective» du FFS sur le terrain. La direction du parti qui veut faire du FFS, un parti «moderne » et « fort » compte ainsi, « sillonner les 1.541 communes » que compte le pays, en vue d‘ouvrir ses portes à toute la jeunesse algérienne, ainsi qu‘aux acteurs de la société civile, qu‘aux représentants des organisations syndicales. Dans ce contexte, Tabbou a fait savoir que son parti entend par là, l‘organisation, en permanence, de rencontres de proximité ; il cite, entre autres, la rencontre d‘Ifri (Bejaia) à l‘occasion de la célébration du 20 août 1955, ainsi que l‘organisation d‘un « camp politique » dans la wilaya de Bejaia vers la fin du mois courant. Outre la réorganisation des structures du FFS, Tabbou affirme que ces rencontres quotidiennes avec les masses permettront notamment, « d‘insuffler une nouvelle dynamique politique au peuple algérien ». Il appelle dans ce sens, les citoyens et les jeunes en particulier à «contrecarrer toute tentative visant à semer la culture du désespoir », et à « réhabiliter l‘acte politique ». Le premier secrétaire national du FFS, insiste également sur la nécessité « d‘établir un bilan rigoureux des politiques menées dans le pays depuis 1992, précisant dans ce contexte que «la démocratie se construit avec le peuple ». F. A. Désormais, le FFS fait de l‘activité de proximité, son cheval de bataille. En effet, le premier secrétaire national du front des forces socialistes (FFS), Karim Tabou, a réitéré son appel, jeudi dernier, à partir de la commune de Guenzet (Sétif), à tous les militants de son parti à «développer davantage l‘activité de proximité », conformément aux recommandations du 4ème congrès du parti. Lors d‘une conférence qu‘il a animée à la maison de jeunes de cette localité (Guenzet), en présence de membres du bureau national du FFS et des représentants du parti dans la wilaya de Sétif, M. Tabou a rappelé les positions de sa formation politique, plaidant pour un «changement pacifique ». Car, il estime que des solutions sérieuses aux problèmes du pays sont possibles à condition d‘instaurer un dialogue démocratique et «une véritable transparence ». Pour ce faire, Tabbou a d‘ailleurs, entamé depuis le début de cet été, une compagne de sensibilisation, à travers une série de rencontres de proximité avec les militants, les élus et les cadres de son parti, mais aussi avec tous les acteurs sociaux. La formation de Aït-Ahmed, rappelle Tabbou, et dans le cadre des résolutions du quatrième congrès du parti, a déjà tracé tout un programme national d‘animation, en vue, dit-il, de confirmer la «présence effective» du FFS sur le terrain. La direction du parti qui veut faire du FFS, un parti «moderne » et « fort » compte ainsi, « sillonner les 1.541 communes » que compte le pays, en vue d‘ouvrir ses portes à toute la jeunesse algérienne, ainsi qu‘aux acteurs de la société civile, qu‘aux représentants des organisations syndicales. Dans ce contexte, Tabbou a fait savoir que son parti entend par là, l‘organisation, en permanence, de rencontres de proximité ; il cite, entre autres, la rencontre d‘Ifri (Bejaia) à l‘occasion de la célébration du 20 août 1955, ainsi que l‘organisation d‘un « camp politique » dans la wilaya de Bejaia vers la fin du mois courant. Outre la réorganisation des structures du FFS, Tabbou affirme que ces rencontres quotidiennes avec les masses permettront notamment, « d‘insuffler une nouvelle dynamique politique au peuple algérien ». Il appelle dans ce sens, les citoyens et les jeunes en particulier à «contrecarrer toute tentative visant à semer la culture du désespoir », et à « réhabiliter l‘acte politique ». Le premier secrétaire national du FFS, insiste également sur la nécessité « d‘établir un bilan rigoureux des politiques menées dans le pays depuis 1992, précisant dans ce contexte que «la démocratie se construit avec le peuple ». F. A.