Des éléments du groupe des 12 terroristes abattus par les forces de sécurités avant-hier à Beni-Douala sont identifiés. Selon le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, ce groupe de terroristes neutralisés comprenait des responsables du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). Ces derniers, indique-t-on, sont impliqués dans l'attentat perpétré dimanche dernier contre le célibatorium de police de Tizi-Ouzou. «Les investigations menées à la suite de l'opération antiterroriste exécutée à Beni Douala dans la wilaya de Tizi-Ouzou, le 7 août 2008, ayant abouti à la neutralisation de douze (12) terroristes, ont permis d'établir que ledit groupe comprenait des responsables du GSPC impliqués dans l'attentat suicide ayant ciblé le célibatorium de police de Tizi-Ouzou le 3 août 2008», lit-on précisément dans un communiqué du ministère. L'identification du terroriste Sahari Makhlouf, auteur de l'attentat suicide, au lendemain de ce fait macabre, a été pour beaucoup dans l'identification des responsables du GSPC. Cela étant donné, ajoute la même source, que le permis de conduire, la carte de sécurité sociale et cinq photos du terroriste kamikaze Sahari Makhlouf ont été récupérés lors de cette opération antiterroriste, ainsi qu'un lot de compacts disques (CD), des documents et des tracts subversifs. Le groupe des douze terroristes, écumant les maquis de la Kabylie, faut-il le rappeler, a été éliminé dans la nuit de jeudi à vendredi par les forces combinées de l'Armée nationale populaire (ANP) près d'un village de la commune de Beni Douala, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Un «important lot d'armes» a été alors récupéré. Il s'agit de «sept PMAK (pistolets mitrailleurs kalachnikovs), de deux fusils Seminov, d'un fusil à pompe, d'une carabine, d'un pistolet automatique de marque Beretta, d'une grenade, d'un poste radio émetteur-récepteur et de trois téléphones cellulaires». La lutte implacable menée par les forces combinées de l'ANP, de la gendarmerie nationale et de la police contre les terroristes, en Kabylie, a également permis la neutralisation de plusieurs têtes du GSPC se proclamant de la mouvance Al-Qaïda-Maghreb-islamique. Ainsi, une semaine après l'attentat suicide contre le commissariat des Renseignements généraux (RG) de Tizi-Ouzou, l'offensive des forces de sécurité contre les groupes islamistes du GSPC en Kabylie s'est soldée par plusieurs succès. Entre autres arrestations, on citera le frère de l'ex-émir du GSPC, Tadjer Mohamed, dit Jack – abattu le 17 juin dernier sur les hauteurs de Si Mustapha, à 10 km au sud-est de Boumerdès) — arrêté jeudi dernier, à Boumerdès par les éléments de la Gendarmerie nationale. Selon des sources sécuritaires, cet élément, soupçonné de fournir une aide logistique aux groupes terroristes, aurait alors donné des éléments d'information sur l'activité des groupes armés dans cette région du pays. F. A. Des éléments du groupe des 12 terroristes abattus par les forces de sécurités avant-hier à Beni-Douala sont identifiés. Selon le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, ce groupe de terroristes neutralisés comprenait des responsables du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). Ces derniers, indique-t-on, sont impliqués dans l'attentat perpétré dimanche dernier contre le célibatorium de police de Tizi-Ouzou. «Les investigations menées à la suite de l'opération antiterroriste exécutée à Beni Douala dans la wilaya de Tizi-Ouzou, le 7 août 2008, ayant abouti à la neutralisation de douze (12) terroristes, ont permis d'établir que ledit groupe comprenait des responsables du GSPC impliqués dans l'attentat suicide ayant ciblé le célibatorium de police de Tizi-Ouzou le 3 août 2008», lit-on précisément dans un communiqué du ministère. L'identification du terroriste Sahari Makhlouf, auteur de l'attentat suicide, au lendemain de ce fait macabre, a été pour beaucoup dans l'identification des responsables du GSPC. Cela étant donné, ajoute la même source, que le permis de conduire, la carte de sécurité sociale et cinq photos du terroriste kamikaze Sahari Makhlouf ont été récupérés lors de cette opération antiterroriste, ainsi qu'un lot de compacts disques (CD), des documents et des tracts subversifs. Le groupe des douze terroristes, écumant les maquis de la Kabylie, faut-il le rappeler, a été éliminé dans la nuit de jeudi à vendredi par les forces combinées de l'Armée nationale populaire (ANP) près d'un village de la commune de Beni Douala, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Un «important lot d'armes» a été alors récupéré. Il s'agit de «sept PMAK (pistolets mitrailleurs kalachnikovs), de deux fusils Seminov, d'un fusil à pompe, d'une carabine, d'un pistolet automatique de marque Beretta, d'une grenade, d'un poste radio émetteur-récepteur et de trois téléphones cellulaires». La lutte implacable menée par les forces combinées de l'ANP, de la gendarmerie nationale et de la police contre les terroristes, en Kabylie, a également permis la neutralisation de plusieurs têtes du GSPC se proclamant de la mouvance Al-Qaïda-Maghreb-islamique. Ainsi, une semaine après l'attentat suicide contre le commissariat des Renseignements généraux (RG) de Tizi-Ouzou, l'offensive des forces de sécurité contre les groupes islamistes du GSPC en Kabylie s'est soldée par plusieurs succès. Entre autres arrestations, on citera le frère de l'ex-émir du GSPC, Tadjer Mohamed, dit Jack – abattu le 17 juin dernier sur les hauteurs de Si Mustapha, à 10 km au sud-est de Boumerdès) — arrêté jeudi dernier, à Boumerdès par les éléments de la Gendarmerie nationale. Selon des sources sécuritaires, cet élément, soupçonné de fournir une aide logistique aux groupes terroristes, aurait alors donné des éléments d'information sur l'activité des groupes armés dans cette région du pays. F. A.