Tout chaud champion olympique du 20 km marche, le Russe Valeriy Borchin, 21 ans, a esquivé les questions de dopage le concernant en conférence de presse, samedi à Pékin. L'interrogation était d'actualité après que son nom eut été cité à tort par un responsable de la Fédération russe parmi les trois marcheurs contrôlés positifs à l'EPO en avril dernier. "L'an dernier, aux Mondiaux (d'Oska), j'avais abandonné à cause d'un insolation", a-t-il répondu. Loin du sujet. On insiste: l'IAAF mentionne une suspension d'un an, du 1er juin 2005 au 31 mai 2006, pour dopage à l'éphédrine. Réservé, le jeune homme blond s'échappe une nouvelle fois. "Ici, certains des membres de notre équipe sont tombés malades. Ils n'ont pas pu participer aux Jeux. Ces rumeurs, je ne sais même pas de quoi il s'agissait. Le mois dernier, je me suis entraîné seul". Borchin est plus loquace pour parler du centre d'entraînement de Saransk (République de Mordovie) où il se prépare avec les meilleurs sous la houlette de Vladimir Chagin. "Je viens de Saransk où nous avons une école d'élite. Nous nous entraînons matin et soir. Notre entraîneur est quelqu'un de très dur mais aussi de très proche", dit-il les yeux mouillés. Tout chaud champion olympique du 20 km marche, le Russe Valeriy Borchin, 21 ans, a esquivé les questions de dopage le concernant en conférence de presse, samedi à Pékin. L'interrogation était d'actualité après que son nom eut été cité à tort par un responsable de la Fédération russe parmi les trois marcheurs contrôlés positifs à l'EPO en avril dernier. "L'an dernier, aux Mondiaux (d'Oska), j'avais abandonné à cause d'un insolation", a-t-il répondu. Loin du sujet. On insiste: l'IAAF mentionne une suspension d'un an, du 1er juin 2005 au 31 mai 2006, pour dopage à l'éphédrine. Réservé, le jeune homme blond s'échappe une nouvelle fois. "Ici, certains des membres de notre équipe sont tombés malades. Ils n'ont pas pu participer aux Jeux. Ces rumeurs, je ne sais même pas de quoi il s'agissait. Le mois dernier, je me suis entraîné seul". Borchin est plus loquace pour parler du centre d'entraînement de Saransk (République de Mordovie) où il se prépare avec les meilleurs sous la houlette de Vladimir Chagin. "Je viens de Saransk où nous avons une école d'élite. Nous nous entraînons matin et soir. Notre entraîneur est quelqu'un de très dur mais aussi de très proche", dit-il les yeux mouillés.