Le milliardaire allemand Dietmar Hopp, qui finance le club d'Hoffenheim (1re div. allemande), est "l'exact inverse d'Abramovitch", l'oligarque russe, controversé propriétaire de Chelsea (1re div. anglaise), estime le patron de la Fédération allemande de football (DFB) Theo Zwanziger. Le milliardaire allemand Dietmar Hopp, qui finance le club d'Hoffenheim (1re div. allemande), est "l'exact inverse d'Abramovitch", l'oligarque russe, controversé propriétaire de Chelsea (1re div. anglaise), estime le patron de la Fédération allemande de football (DFB) Theo Zwanziger. «On lui colle une image complètement fausse. Dietmar Hopp est l'exact inverse d'Abramovitch», souligne-t-il dans le quotidien Bild, apportant ainsi le soutien ferme de la Fédération à l'un des personnages les plus atypiques du monde du ballon rond allemand. "Dietmar Hopp est devenu riche grâce à son travail. Il n'achète pas des stars à tout prix. Il est mécène dans les domaines de la jeunesse et des projets sociaux", ajoute Zwanziger. Co-fondateur du groupe SAP, l'un des fleurons de l'économie allemande, Hopp fait couler beaucoup d'encre en Allemagne depuis que le club qu'il finance est monté en deux saisons seulement de la troisième à la première division. Cette ascension fulgurante suscite d'autant plus de commentaires qu'Hoffenheim, pour ses débuts en Bundesliga, occupe la tête du classement à l'issue des deux premières journées, grâce à ses deux victoires. Injures Dietmar Hopp a investi quelque 20 millions d'euros dans le club de son enfance pour son entrée dans l'élite. Il finance également entièrement la construction d'un nouveau stade de 30.000 places pour ce club d'une bourgade de seulement 3.000 habitants. Samedi dernier lors du match Hoffenheim-Mönchengladbach, des sifflets et des jurons à son encontre se sont fait entendre dans les gradins de l'équipe adverse. "Je crois que Dietmar Hopp est inquiet des attaques de supporteurs. Ces injures lui font mal", affirme également le patron de la DFB. Les dirigeants du club de Mönchengladbach ont d'ailleurs présenté leurs excuses au milliardaire lundi alors que certains fans l'ont qualifié de "fils de pute" durant le match. "Le comportement de certains supporteurs a été honteux et pénible et envoie une mauvaise image du club", a souligné son président, Rolf Königs, sur le site internet de Mönchengladbach. Abramovitch, qui possède le club où évolue la grande vedette du football allemand Michael Ballack, est particulièrement décrié en Allemagne, notamment par les dirigeants du Bayern Munich. Son manageur, Uli Hoeness, a récemment affirmé que le milliardaire russe "le débectait". «On lui colle une image complètement fausse. Dietmar Hopp est l'exact inverse d'Abramovitch», souligne-t-il dans le quotidien Bild, apportant ainsi le soutien ferme de la Fédération à l'un des personnages les plus atypiques du monde du ballon rond allemand. "Dietmar Hopp est devenu riche grâce à son travail. Il n'achète pas des stars à tout prix. Il est mécène dans les domaines de la jeunesse et des projets sociaux", ajoute Zwanziger. Co-fondateur du groupe SAP, l'un des fleurons de l'économie allemande, Hopp fait couler beaucoup d'encre en Allemagne depuis que le club qu'il finance est monté en deux saisons seulement de la troisième à la première division. Cette ascension fulgurante suscite d'autant plus de commentaires qu'Hoffenheim, pour ses débuts en Bundesliga, occupe la tête du classement à l'issue des deux premières journées, grâce à ses deux victoires. Injures Dietmar Hopp a investi quelque 20 millions d'euros dans le club de son enfance pour son entrée dans l'élite. Il finance également entièrement la construction d'un nouveau stade de 30.000 places pour ce club d'une bourgade de seulement 3.000 habitants. Samedi dernier lors du match Hoffenheim-Mönchengladbach, des sifflets et des jurons à son encontre se sont fait entendre dans les gradins de l'équipe adverse. "Je crois que Dietmar Hopp est inquiet des attaques de supporteurs. Ces injures lui font mal", affirme également le patron de la DFB. Les dirigeants du club de Mönchengladbach ont d'ailleurs présenté leurs excuses au milliardaire lundi alors que certains fans l'ont qualifié de "fils de pute" durant le match. "Le comportement de certains supporteurs a été honteux et pénible et envoie une mauvaise image du club", a souligné son président, Rolf Königs, sur le site internet de Mönchengladbach. Abramovitch, qui possède le club où évolue la grande vedette du football allemand Michael Ballack, est particulièrement décrié en Allemagne, notamment par les dirigeants du Bayern Munich. Son manageur, Uli Hoeness, a récemment affirmé que le milliardaire russe "le débectait".