Le torticolis est une douleur plus ou moins paralysante due à une contracture des muscles du cou notamment du plus important d'entre eux le sterno-cléido-mastoïdien. Il peut apparaître suite à un traumatisme, à un effort inadapté mais également lors de maladies comme les états grippaux. Généralement, les symptômes apparaissent brusquement, souvent le matin au réveil. Le torticolis est une douleur plus ou moins paralysante due à une contracture des muscles du cou notamment du plus important d'entre eux le sterno-cléido-mastoïdien. Il peut apparaître suite à un traumatisme, à un effort inadapté mais également lors de maladies comme les états grippaux. Généralement, les symptômes apparaissent brusquement, souvent le matin au réveil. Certaines personnes sont plus fragiles que d'autres et ont plus de risques d'avoir des problèmes cervicaux, c'est le cas des femmes après la ménopause, des automobilistes qui ont eu le cou du lapin et plus généralement de tous ceux qui souffrent de problèmes cervicaux. Un blocage très douloureux La douleur et la réduction de l'ampleur des mouvements du cou sont caractéristiques du torticolis. Les personnes atteintes ont la tête légèrement inclinée vers l'avant ou l'arrière selon les cas, on parle de dystonie cervicale. La douleur peut irradier dans tout le dos, les épaules et descendre jusqu'aux bras et dans les mains. Les mouvements de la tête sont fortement diminués et particulièrement douloureux. Un problème usuel rapidement diagnostiqué Pas besoin d'examens approfondis pour détecter un torticolis Le médecin se contentera généralement de palper la nuque et le dos. En cas de traumatisme violent (accident de la route ou sportif) il peut éventuellement demander une radio de contrôle. Il s'assurera aussi qu'il n'y a pas de fièvre pouvant signaler une maladie sous jacente comme la grippe ou une infection ORL pouvant causer des signes identiques. En cas de torticolis récidivant, chronique il faut réaliser un bilan plus complet incluant pour les femmes atteignant la cinquantaine un bilan d'ostéoporose. Ca se soigne facilement Le mieux est encore de pouvoir s'accorder une ou deux journées de répit, chez soi au repos. L'application locale de dispositif générant de la chaleur (en vente en pharmacie) permet d'atténuer le mal. Par contre, attention aux manipulations intempestives du cou, elles doivent être réservées aux professionnels. Localement toujours, les pommades décontracturantes et anti-inflammatoires sont aussi efficaces. Par voie générale, la gamme de médicaments disponibles est variée et nécessite le conseil d'un médecin. Ce dernier peut prescrire des antalgiques, des décontracturants, des myorelaxants, des anti-inflammatoire et même dans le cas chroniques des anti-dépresseurs. Certaines personnes sont plus fragiles que d'autres et ont plus de risques d'avoir des problèmes cervicaux, c'est le cas des femmes après la ménopause, des automobilistes qui ont eu le cou du lapin et plus généralement de tous ceux qui souffrent de problèmes cervicaux. Un blocage très douloureux La douleur et la réduction de l'ampleur des mouvements du cou sont caractéristiques du torticolis. Les personnes atteintes ont la tête légèrement inclinée vers l'avant ou l'arrière selon les cas, on parle de dystonie cervicale. La douleur peut irradier dans tout le dos, les épaules et descendre jusqu'aux bras et dans les mains. Les mouvements de la tête sont fortement diminués et particulièrement douloureux. Un problème usuel rapidement diagnostiqué Pas besoin d'examens approfondis pour détecter un torticolis Le médecin se contentera généralement de palper la nuque et le dos. En cas de traumatisme violent (accident de la route ou sportif) il peut éventuellement demander une radio de contrôle. Il s'assurera aussi qu'il n'y a pas de fièvre pouvant signaler une maladie sous jacente comme la grippe ou une infection ORL pouvant causer des signes identiques. En cas de torticolis récidivant, chronique il faut réaliser un bilan plus complet incluant pour les femmes atteignant la cinquantaine un bilan d'ostéoporose. Ca se soigne facilement Le mieux est encore de pouvoir s'accorder une ou deux journées de répit, chez soi au repos. L'application locale de dispositif générant de la chaleur (en vente en pharmacie) permet d'atténuer le mal. Par contre, attention aux manipulations intempestives du cou, elles doivent être réservées aux professionnels. Localement toujours, les pommades décontracturantes et anti-inflammatoires sont aussi efficaces. Par voie générale, la gamme de médicaments disponibles est variée et nécessite le conseil d'un médecin. Ce dernier peut prescrire des antalgiques, des décontracturants, des myorelaxants, des anti-inflammatoire et même dans le cas chroniques des anti-dépresseurs.