Mesdames, vous êtes prévenues : l'infidélité masculine serait génétique. C'est le résultat d'une étude menée par des scientifiques suédois qui l'atteste. Ces chercheurs auraient identifié le gène de l'adultère... Selon des chercheurs suédois du Karolinska Institut, les hommes porteurs du gène allèle 334 seraient moins attachés à leurs compagnes et auraient plus tendance à les tromper. Comment sont-ils arrivés à cette conclusion ? Ces chercheurs ont étudié les rapports entre un millier de jumeaux et leurs partenaires. L'étude a montré que la fréquence des problèmes de couple chez les hommes porteurs de deux exemplaires de ce gène était deux fois plus élevée que chez les autres hommes. D'ailleurs, leurs compagnes sont moins satisfaites de leurs relations en couple que les autres femmes. La variante de ce gène serait présente chez quatre hommes sur dix en Suède. Rappelons qu'en 2004 des chercheurs anglais avaient annoncé avoir trouvé le gène de l'infidélité... féminine. Au final, les auteurs de l'étude nuancent le poids de la génétique et affirment que si les hommes porteurs de ce gène sont très attachés à leur partenaire, l'influence génétique reste négligeable. On est rassuré : l'amour est encore le plus fort ! Mesdames, vous êtes prévenues : l'infidélité masculine serait génétique. C'est le résultat d'une étude menée par des scientifiques suédois qui l'atteste. Ces chercheurs auraient identifié le gène de l'adultère... Selon des chercheurs suédois du Karolinska Institut, les hommes porteurs du gène allèle 334 seraient moins attachés à leurs compagnes et auraient plus tendance à les tromper. Comment sont-ils arrivés à cette conclusion ? Ces chercheurs ont étudié les rapports entre un millier de jumeaux et leurs partenaires. L'étude a montré que la fréquence des problèmes de couple chez les hommes porteurs de deux exemplaires de ce gène était deux fois plus élevée que chez les autres hommes. D'ailleurs, leurs compagnes sont moins satisfaites de leurs relations en couple que les autres femmes. La variante de ce gène serait présente chez quatre hommes sur dix en Suède. Rappelons qu'en 2004 des chercheurs anglais avaient annoncé avoir trouvé le gène de l'infidélité... féminine. Au final, les auteurs de l'étude nuancent le poids de la génétique et affirment que si les hommes porteurs de ce gène sont très attachés à leur partenaire, l'influence génétique reste négligeable. On est rassuré : l'amour est encore le plus fort !