Si une prédisposition génétique menant à une perte des cheveux précoce a déjà pu être identifiée dans le cadre de précédents travaux de recherche, d'autres implications génétiques relatives à ce phénomène sont actuellement suspectées. Plusieurs régions du génome humain ont été identifiées comme potentiellement responsables de la chute des cheveux, et un domaine du chromosome 3 semblerait, à ce titre, être un candidat de choix. Les chercheurs ont donc étudié le cas de 95 familles au sein desquelles au moins deux fils présentaient une chute précoce des cheveux. 14 régions du génome pouvant jouer un rôle dans la croissance et la perte des cheveux ont ainsi pu être identifiées. Toutefois, ces régions comportent plusieurs douzaines de gènes chacune. Les scientifiques se sont donc concentrés sur un segment du chromosome 3, contenant 34 gènes et semblant être le suspect numéro 1. Si encore aucun gène de cette zone ne semble avoir de lien avec les cheveux, l'un d'entre eux joue cependant un rôle dans les processus de vieillissement et un autre est impliqué dans le surpoids, trait plus courant chez les hommes présentant des chutes de cheveux que chez les hommes dont la croissance capillaire est normale. Les chercheurs vont désormais étudier de plus près ces deux gènes et notamment leur implication potentielle dans l'apparition de la calvitie. La perte des cheveux n'est pas qu'un souci esthétique : la calvitie peut être liée à des problèmes d'hypertension, d'infarctus et de surpoids. C'est pourquoi les recherches génétiques sont essentielles dans ce domaine : il se peut que les gènes responsables de la perte précoce des cheveux jouent également un rôle dans l'apparition de certaines maladies. Si une prédisposition génétique menant à une perte des cheveux précoce a déjà pu être identifiée dans le cadre de précédents travaux de recherche, d'autres implications génétiques relatives à ce phénomène sont actuellement suspectées. Plusieurs régions du génome humain ont été identifiées comme potentiellement responsables de la chute des cheveux, et un domaine du chromosome 3 semblerait, à ce titre, être un candidat de choix. Les chercheurs ont donc étudié le cas de 95 familles au sein desquelles au moins deux fils présentaient une chute précoce des cheveux. 14 régions du génome pouvant jouer un rôle dans la croissance et la perte des cheveux ont ainsi pu être identifiées. Toutefois, ces régions comportent plusieurs douzaines de gènes chacune. Les scientifiques se sont donc concentrés sur un segment du chromosome 3, contenant 34 gènes et semblant être le suspect numéro 1. Si encore aucun gène de cette zone ne semble avoir de lien avec les cheveux, l'un d'entre eux joue cependant un rôle dans les processus de vieillissement et un autre est impliqué dans le surpoids, trait plus courant chez les hommes présentant des chutes de cheveux que chez les hommes dont la croissance capillaire est normale. Les chercheurs vont désormais étudier de plus près ces deux gènes et notamment leur implication potentielle dans l'apparition de la calvitie. La perte des cheveux n'est pas qu'un souci esthétique : la calvitie peut être liée à des problèmes d'hypertension, d'infarctus et de surpoids. C'est pourquoi les recherches génétiques sont essentielles dans ce domaine : il se peut que les gènes responsables de la perte précoce des cheveux jouent également un rôle dans l'apparition de certaines maladies.