Hormis Moussa Touati, président du FNA, aucune autre figure politique n'a annoncé sa participation à cette joute des grands enjeux. Hormis Moussa Touati, président du FNA, aucune autre figure politique n'a annoncé sa participation à cette joute des grands enjeux. Les élections présidentielles de 2009 approchent à grandes enjambées. Mais les candidats ne se bousculent pas au portillon. Hormis Moussa Touati, président du FNA, aucune autre figure politique n'a annoncé sa participation à cette joute des grands enjeux. Même le Président Bouteflika, qui a exprimé en 2006 son souhait de réviser la Constitution, maintient le suspens quant à son intention de postuler à un troisième mandat. Ceci, en dépit de l'empressement démesuré dont faisait preuve le FLN qui a fait du projet de révision constitutionnelle son cheval de bataille. La prudence observée, jusqu'ici, par les habitués des présidentielles, est expliquée, justement, par «le silence du chef de l'Etat». Les acteurs de la scène politique semblent attendre un geste de délivrance de la part du Président pour se lancer, tête baissée, dans la course. Les personnalités politiques attendus dans l'échéance d'avril 2009 sont légion et ils peuvent se manifester d'un moment à l'autre. Louiza Hanoune, Said Sadi, viennent en tête des habitués de ces rendez-vous. Le leader du RCD a laissé entendre depuis février dernier qu'il est partant pour ces élections. «Tout le monde peut postuler aux présidentielles à la base d'un bilan et de projets», a-t-il déclaré. Louisa Hanoune est aussi donnée partante pour ces présidentielles. Les observateurs de la scène politique nationale estiment, à ce sujet, que la patronne du PT et le leader du RCD, «accepteraient bien de jouer le rôle de lièvre car il leur permet de s'affirmer d'avantage sur le paysage politique national». Ces mêmes observateurs n'excluent pas la participation de figures telles que Mouloud Hamrouche et Abdellah Djaballah, respectivement ancien chef de gouvernement et président déchu de l'El-Islah. Ces deux politiciens ne manquent pas, d'ailleurs, d'afficher, à la moindre occasion, la forte volonté qui les anime pour diriger le pays. D'autres figures à l'exemple de Ahmed Ghozali et Ahmed Benbitour, anciens chefs de gouvernement, sont également attendues dans la course vers le Palais d'El Mouradia. Benbitour, qui a eu à diriger l'Exécutif sous le règne de Bouteflika, s'est lancé, plus particulièrement, ces derniers mois, dans une activité politique des plus denses. Ce technocrate, a en effet, multiplié conférences et sorties médiatiques. Il est à relever, aussi, que les présidentielles d'avril prochain, même si elles n'ont pas fait réagir beaucoup de monde, jusqu'ici, elles ont eu, tout de même, le mérite de sortir le FFS de ses retranchements d'opposition radicale. Dans une déclaration rendue publique récemment, le parti de Hocine Ait Ahmed a exprimé tout son espoir de voir cette échéance devenir une occasion pour «l'instauration d'une véritable démocratie dans le pays». La participation du plus vieux parti de l'opposition en Algérie dans ce rendez-vous des grands enjeux est tout à fait plausible, avancent des sources proches de sa direction. «Le FFS soutiendra Mouloud Hamrouche, dans le cas où le président du parti, Hocine Ait Ahmed se montre désintéressé», indique-t-on. Les élections présidentielles de 2009 approchent à grandes enjambées. Mais les candidats ne se bousculent pas au portillon. Hormis Moussa Touati, président du FNA, aucune autre figure politique n'a annoncé sa participation à cette joute des grands enjeux. Même le Président Bouteflika, qui a exprimé en 2006 son souhait de réviser la Constitution, maintient le suspens quant à son intention de postuler à un troisième mandat. Ceci, en dépit de l'empressement démesuré dont faisait preuve le FLN qui a fait du projet de révision constitutionnelle son cheval de bataille. La prudence observée, jusqu'ici, par les habitués des présidentielles, est expliquée, justement, par «le silence du chef de l'Etat». Les acteurs de la scène politique semblent attendre un geste de délivrance de la part du Président pour se lancer, tête baissée, dans la course. Les personnalités politiques attendus dans l'échéance d'avril 2009 sont légion et ils peuvent se manifester d'un moment à l'autre. Louiza Hanoune, Said Sadi, viennent en tête des habitués de ces rendez-vous. Le leader du RCD a laissé entendre depuis février dernier qu'il est partant pour ces élections. «Tout le monde peut postuler aux présidentielles à la base d'un bilan et de projets», a-t-il déclaré. Louisa Hanoune est aussi donnée partante pour ces présidentielles. Les observateurs de la scène politique nationale estiment, à ce sujet, que la patronne du PT et le leader du RCD, «accepteraient bien de jouer le rôle de lièvre car il leur permet de s'affirmer d'avantage sur le paysage politique national». Ces mêmes observateurs n'excluent pas la participation de figures telles que Mouloud Hamrouche et Abdellah Djaballah, respectivement ancien chef de gouvernement et président déchu de l'El-Islah. Ces deux politiciens ne manquent pas, d'ailleurs, d'afficher, à la moindre occasion, la forte volonté qui les anime pour diriger le pays. D'autres figures à l'exemple de Ahmed Ghozali et Ahmed Benbitour, anciens chefs de gouvernement, sont également attendues dans la course vers le Palais d'El Mouradia. Benbitour, qui a eu à diriger l'Exécutif sous le règne de Bouteflika, s'est lancé, plus particulièrement, ces derniers mois, dans une activité politique des plus denses. Ce technocrate, a en effet, multiplié conférences et sorties médiatiques. Il est à relever, aussi, que les présidentielles d'avril prochain, même si elles n'ont pas fait réagir beaucoup de monde, jusqu'ici, elles ont eu, tout de même, le mérite de sortir le FFS de ses retranchements d'opposition radicale. Dans une déclaration rendue publique récemment, le parti de Hocine Ait Ahmed a exprimé tout son espoir de voir cette échéance devenir une occasion pour «l'instauration d'une véritable démocratie dans le pays». La participation du plus vieux parti de l'opposition en Algérie dans ce rendez-vous des grands enjeux est tout à fait plausible, avancent des sources proches de sa direction. «Le FFS soutiendra Mouloud Hamrouche, dans le cas où le président du parti, Hocine Ait Ahmed se montre désintéressé», indique-t-on.