Le Rassemblement national démocratique (RND) tiendra, aujourd'hui, son premier Conseil national après le troisième congrès du parti qui a consacré Ahmed Ouyahia pour un autre mandat. Selon un communiqué parvenu à notre rédaction, le Secrétaire général du parti va présider les travaux de ce conseil à la mutualité des travailleurs dd bâtiment à Zéralda, pour organiser le lendemain une conférence de presse afin de rendre compte des différentes questions débattues lors de cette manifestation organique, ainsi que des décisions y découlant. Les travaux du Conseil national du RND seront consacrés à l'examen de plusieurs questions organiques et d'ordre national, mais aussi à d'autres sujets de l'heure qu'aura à débattre le SG de ce parti face aux interrogations de la presse nationale. Ainsi, pour une première sortie médiatique partisane, le patron du Rassemblement national démocratique, et néanmoins Chef du gouvernement, s'expliquera notamment sur les récentes nouveautés dans les lois régissant les investissements, et ce, depuis le fameux discours plein de remontrances du président de la République à l'occasion de sa rencontre avec les présidents des assemblées locales à travers le territoire national. Hormis l'aspect économique, le SG de la deuxième force politique sur la scène nationale sera à coup sûr interpellé au sujet de la révision constitutionnelle et un probable troisième mandat d'Abdelaziz Bouteflika. Rappelons dans ce sens qu'il avait déjà, dans un passé récent, réitéré que « la révision de la Constitution se fera en son temps », laissant entendre l'imminence de l'entreprise, et par déduction, la possibilité accrue de voir le chef de l'Etat se proposer pour un troisième mandat successif, la chose qui a défrayé la chronique et tenu, et tient toujours, en haleine nombre d'observateurs politiques en Algérie. A vrai dire, l'option de révision constitutionnelle demeure toujours de rigueur, mais le silence des différentes parties a fait naître une multitude de rumeurs, faisant état notamment de la compromission de cette entreprise présidentielle. Hormis le président du Front national algérien (FNA), les potentiels candidats à la présidentielle de 2009 ne se sont toujours pas manifestés, ce qui renseigne un tant soit peu sur la complexité de la situation. Par ailleurs, la situation sécuritaire, bien qu'en accalmie relative en ce mois de Ramadhan, ne manquera pas de susciter les commentaires d'Ahmed Ouyahia. Ce dernier a récemment haussé le ton dans le cadre de la lutte antiterroriste et s'est permis même, par le biais de Chiheb Seddik, chef du bureau d'Alger du RND et membre du bureau politique, de critiquer en filigrane la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, en évoquant le sort des patriotes et des Groupes de légitime défense (GLD). Le Rassemblement national démocratique (RND) tiendra, aujourd'hui, son premier Conseil national après le troisième congrès du parti qui a consacré Ahmed Ouyahia pour un autre mandat. Selon un communiqué parvenu à notre rédaction, le Secrétaire général du parti va présider les travaux de ce conseil à la mutualité des travailleurs dd bâtiment à Zéralda, pour organiser le lendemain une conférence de presse afin de rendre compte des différentes questions débattues lors de cette manifestation organique, ainsi que des décisions y découlant. Les travaux du Conseil national du RND seront consacrés à l'examen de plusieurs questions organiques et d'ordre national, mais aussi à d'autres sujets de l'heure qu'aura à débattre le SG de ce parti face aux interrogations de la presse nationale. Ainsi, pour une première sortie médiatique partisane, le patron du Rassemblement national démocratique, et néanmoins Chef du gouvernement, s'expliquera notamment sur les récentes nouveautés dans les lois régissant les investissements, et ce, depuis le fameux discours plein de remontrances du président de la République à l'occasion de sa rencontre avec les présidents des assemblées locales à travers le territoire national. Hormis l'aspect économique, le SG de la deuxième force politique sur la scène nationale sera à coup sûr interpellé au sujet de la révision constitutionnelle et un probable troisième mandat d'Abdelaziz Bouteflika. Rappelons dans ce sens qu'il avait déjà, dans un passé récent, réitéré que « la révision de la Constitution se fera en son temps », laissant entendre l'imminence de l'entreprise, et par déduction, la possibilité accrue de voir le chef de l'Etat se proposer pour un troisième mandat successif, la chose qui a défrayé la chronique et tenu, et tient toujours, en haleine nombre d'observateurs politiques en Algérie. A vrai dire, l'option de révision constitutionnelle demeure toujours de rigueur, mais le silence des différentes parties a fait naître une multitude de rumeurs, faisant état notamment de la compromission de cette entreprise présidentielle. Hormis le président du Front national algérien (FNA), les potentiels candidats à la présidentielle de 2009 ne se sont toujours pas manifestés, ce qui renseigne un tant soit peu sur la complexité de la situation. Par ailleurs, la situation sécuritaire, bien qu'en accalmie relative en ce mois de Ramadhan, ne manquera pas de susciter les commentaires d'Ahmed Ouyahia. Ce dernier a récemment haussé le ton dans le cadre de la lutte antiterroriste et s'est permis même, par le biais de Chiheb Seddik, chef du bureau d'Alger du RND et membre du bureau politique, de critiquer en filigrane la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, en évoquant le sort des patriotes et des Groupes de légitime défense (GLD).