La 3e édition du Festival national de la musique et de la chanson citadine de Annaba a été clôturée jeudi dernier par le passage de l'artiste tunisien, Lotfi Bouchenak. La 3e édition du Festival national de la musique et de la chanson citadine de Annaba a été clôturée jeudi dernier par le passage de l'artiste tunisien, Lotfi Bouchenak. Un invité de marque pour un festival dont l'envergure commence à devenir internationale. Pour une durée de neuf jours seulement, ce Festival a inscrit le passage des vedettes nationales telles que Nardjess, Behaïdja Rahal, El-Koubi, Benani et tant d'autres chanteurs algériens de classe nationale voire internationale. Les mélomanes annabis se sont régalés pendant neuf jours en compagnie de ces artistes de talent, et les planches du TRA, Azzedine-Medjoubi ont vibré pendant toute cette période précitée. Le programme de ce Festival était riche et varié» avec la programmation du chaâbi, malouf, andalou. Le programme établi était riche et diversifié mais respecté, et tous les artistes annoncés se sont produits. Et suite à ce programme élaboré par la Direction de la culture de la wilaya de Annaba, on n'a noté aucune absence, et les Annabis ont été emportés pour une bonne semaine par les «noubates, mazmoum, m'sadar, el-bachraf» et les noubates «rasd edil, layali sourour», etc. Pour la soirée de dimanche, Layachi Dib, Behaïdja Rahal, Mostefa Kahli et Nardjess ont primé celle-ci où le public était resté sur sa faim. Le lundi, le public avait rendez-vous avec Nassima, Mohamed Raouen, Ahmed El-Idaoui. On note que durant cette manifestation environ 40 artistes sont venus illumer les soirées ramadhanesques chaudes en interprétant des chansons également chaudes toutes tirées du patrimoine national. Le grand Lotfi Bouchenak a clôturé ce festival avec sa voix admirablement emphatique. Ce dernier est le maître de cérémonie et a conquis le public arabe et occidental par ses chants fervents ornés et raffinés. Le maître, qui est auteur et compositeur, interprête et capable d'interprêter des chansons difficiles telles que «mouacheh» et «le genre iraki». Il a réussi à combler majestueusement le public grâce à ses capacités vocales énormes et son jeu sur «el oud» jouant des morceaux de «bayati». Environ 4 artistes sont programmés à chaque soirée, puisque le mardi a été consacré au cheikh annabi «Lakhdar Kesri», Benzina, Samir Toumi. Des affiches alléchantes qui ont attirées un public avide d'art et de culture du terroir pour se ressusciter durant une période de trois jours seulement. Grâce à la bonne organisation de ce festival, la ville de Annaba a eu l'honneur d'accueillir un artiste complet tel que Lotfi Bouchenak qui a interprêté la chanson «je suis l'Irak». L'antique Bouna était comblé et honoré d'accueillir Lotfi Bouchenak vedette en principe du «malouf tunisien» comme «Ziad Ghersa». Ce festival culturel incontournable a permis à Annaba de rompre avec sa lethargie et a permis à celle-ci de contribuer au développement de la culture et des liens d'amités entre artistes. Bravo pour les organisateurs de ce festival et aux artistes qui ont été à la hauteur des attentes du public annabi parfois exigeant. Tous ces ingrédients ont permis aux annabis d'apprécier des artistes de renommée nationale et internationale. Un invité de marque pour un festival dont l'envergure commence à devenir internationale. Pour une durée de neuf jours seulement, ce Festival a inscrit le passage des vedettes nationales telles que Nardjess, Behaïdja Rahal, El-Koubi, Benani et tant d'autres chanteurs algériens de classe nationale voire internationale. Les mélomanes annabis se sont régalés pendant neuf jours en compagnie de ces artistes de talent, et les planches du TRA, Azzedine-Medjoubi ont vibré pendant toute cette période précitée. Le programme de ce Festival était riche et varié» avec la programmation du chaâbi, malouf, andalou. Le programme établi était riche et diversifié mais respecté, et tous les artistes annoncés se sont produits. Et suite à ce programme élaboré par la Direction de la culture de la wilaya de Annaba, on n'a noté aucune absence, et les Annabis ont été emportés pour une bonne semaine par les «noubates, mazmoum, m'sadar, el-bachraf» et les noubates «rasd edil, layali sourour», etc. Pour la soirée de dimanche, Layachi Dib, Behaïdja Rahal, Mostefa Kahli et Nardjess ont primé celle-ci où le public était resté sur sa faim. Le lundi, le public avait rendez-vous avec Nassima, Mohamed Raouen, Ahmed El-Idaoui. On note que durant cette manifestation environ 40 artistes sont venus illumer les soirées ramadhanesques chaudes en interprétant des chansons également chaudes toutes tirées du patrimoine national. Le grand Lotfi Bouchenak a clôturé ce festival avec sa voix admirablement emphatique. Ce dernier est le maître de cérémonie et a conquis le public arabe et occidental par ses chants fervents ornés et raffinés. Le maître, qui est auteur et compositeur, interprête et capable d'interprêter des chansons difficiles telles que «mouacheh» et «le genre iraki». Il a réussi à combler majestueusement le public grâce à ses capacités vocales énormes et son jeu sur «el oud» jouant des morceaux de «bayati». Environ 4 artistes sont programmés à chaque soirée, puisque le mardi a été consacré au cheikh annabi «Lakhdar Kesri», Benzina, Samir Toumi. Des affiches alléchantes qui ont attirées un public avide d'art et de culture du terroir pour se ressusciter durant une période de trois jours seulement. Grâce à la bonne organisation de ce festival, la ville de Annaba a eu l'honneur d'accueillir un artiste complet tel que Lotfi Bouchenak qui a interprêté la chanson «je suis l'Irak». L'antique Bouna était comblé et honoré d'accueillir Lotfi Bouchenak vedette en principe du «malouf tunisien» comme «Ziad Ghersa». Ce festival culturel incontournable a permis à Annaba de rompre avec sa lethargie et a permis à celle-ci de contribuer au développement de la culture et des liens d'amités entre artistes. Bravo pour les organisateurs de ce festival et aux artistes qui ont été à la hauteur des attentes du public annabi parfois exigeant. Tous ces ingrédients ont permis aux annabis d'apprécier des artistes de renommée nationale et internationale.