Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur de l'industrie et de la Promotion des investissements au cours de laquelle le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, a fait un exposé sur les nouvelles orientations en matière de relance de la production et de la création d'emplois. Il a porté sur la politique d'investissement, le redéploiement du secteur public marchand, la politique de partenariat/privatisation et la politique de mise à niveau. Sur ce dernier point qui conditionne la performance et la compétitivité des entreprises, le chef de l'Etat a instruit « le Gouvernement de s'atteler à la remise à niveau du potentiel industriel national déjà en place, en vue de la promotion du partenariat avec des entreprises possédant un savoir-faire avéré pour moderniser nos entreprises », estimant qu'il est impératif que l'économie nationale récupère aujourd'hui les décisions de croissance dans le cadre d'un développement endogène. Rappelant que « la relance de l'appareil de production doit constituer dorénavant l'objectif immédiat de l'action du gouvernement », Abdelaziz Bouteflika souligne que « l'Algérie entend également tirer pleinement les leçons de son expérience dans ce domaine, pour que la promotion de l'investissement national et étranger soit davantage au service du développement du pays ». Dans ce cadre, le président de la République a assuré que « l'apport des investisseurs nationaux sera également le bienvenu dans ces ouvertures de capital », chargeant le gouvernement de dynamiser la Bourse d'Alger, en engageant une étude visant à inclure, dans les ouvertures de capital des entreprises publiques à identifier, une part qui sera destinée à la Bourse, au profit des citoyens, des opérateurs locaux ainsi que des investisseurs institutionnels. Par ailleurs, le Chef de l'Etat a ordonné au gouvernement de finaliser une carte nationale des investissements dont, précise-t-il « les investisseurs potentiels devront, à l'avenir, tenir compte du plan national de développement économique et des besoins de création d'emplois du pays », ajoutant que « le régime des avantages accordés aux investissements doit servir de levier incitatif à l'orientation des capitaux vers les projets et les régions que nous entendons promouvoir". Dans ce cadre, il ordonne également au gouvernement d'entamer l'élaboration de listes flexibles pour les secteurs d'activité désormais saturés. Rappelant que le foncier destiné à l'investissement est désormais l'objet d'une législation favorable aux opérateurs et sauvegardant les intérêts du pays, le Chef de l'Etat a souligné la nécessité de poursuivre la mise à niveau des banques et du marché financier et ce, en veillant à « mobiliser le soutien de la coopération internationale pour poursuivre la modernisation du marché financier local ». Le Président de la République a mis en exergue, « la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des réformes économiques pour un fonctionnement efficient de l'économie, notamment à travers la modernisation du secteur bancaire, le développement d'un marché du foncier industriel transparent ainsi que le fonctionnement du marché des biens et services sur la base d'une concurrence accrue et d'une régulation efficace », précisant que « l'Etat doit assumer, dans l'étape présente, une mission de relance de l'appareil de production et de maintien d'une croissance durable ». Il estime que « le volontarisme de l'Etat est nécessaire et devra être clairement affiché dans cette étape, où il s'agit pour nous de reconstituer et développer nos capacités industrielles et technologiques pour aller vers la diversification de l'économie et l'intégration positive au marché international ». Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur de l'industrie et de la Promotion des investissements au cours de laquelle le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, a fait un exposé sur les nouvelles orientations en matière de relance de la production et de la création d'emplois. Il a porté sur la politique d'investissement, le redéploiement du secteur public marchand, la politique de partenariat/privatisation et la politique de mise à niveau. Sur ce dernier point qui conditionne la performance et la compétitivité des entreprises, le chef de l'Etat a instruit « le Gouvernement de s'atteler à la remise à niveau du potentiel industriel national déjà en place, en vue de la promotion du partenariat avec des entreprises possédant un savoir-faire avéré pour moderniser nos entreprises », estimant qu'il est impératif que l'économie nationale récupère aujourd'hui les décisions de croissance dans le cadre d'un développement endogène. Rappelant que « la relance de l'appareil de production doit constituer dorénavant l'objectif immédiat de l'action du gouvernement », Abdelaziz Bouteflika souligne que « l'Algérie entend également tirer pleinement les leçons de son expérience dans ce domaine, pour que la promotion de l'investissement national et étranger soit davantage au service du développement du pays ». Dans ce cadre, le président de la République a assuré que « l'apport des investisseurs nationaux sera également le bienvenu dans ces ouvertures de capital », chargeant le gouvernement de dynamiser la Bourse d'Alger, en engageant une étude visant à inclure, dans les ouvertures de capital des entreprises publiques à identifier, une part qui sera destinée à la Bourse, au profit des citoyens, des opérateurs locaux ainsi que des investisseurs institutionnels. Par ailleurs, le Chef de l'Etat a ordonné au gouvernement de finaliser une carte nationale des investissements dont, précise-t-il « les investisseurs potentiels devront, à l'avenir, tenir compte du plan national de développement économique et des besoins de création d'emplois du pays », ajoutant que « le régime des avantages accordés aux investissements doit servir de levier incitatif à l'orientation des capitaux vers les projets et les régions que nous entendons promouvoir". Dans ce cadre, il ordonne également au gouvernement d'entamer l'élaboration de listes flexibles pour les secteurs d'activité désormais saturés. Rappelant que le foncier destiné à l'investissement est désormais l'objet d'une législation favorable aux opérateurs et sauvegardant les intérêts du pays, le Chef de l'Etat a souligné la nécessité de poursuivre la mise à niveau des banques et du marché financier et ce, en veillant à « mobiliser le soutien de la coopération internationale pour poursuivre la modernisation du marché financier local ». Le Président de la République a mis en exergue, « la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des réformes économiques pour un fonctionnement efficient de l'économie, notamment à travers la modernisation du secteur bancaire, le développement d'un marché du foncier industriel transparent ainsi que le fonctionnement du marché des biens et services sur la base d'une concurrence accrue et d'une régulation efficace », précisant que « l'Etat doit assumer, dans l'étape présente, une mission de relance de l'appareil de production et de maintien d'une croissance durable ». Il estime que « le volontarisme de l'Etat est nécessaire et devra être clairement affiché dans cette étape, où il s'agit pour nous de reconstituer et développer nos capacités industrielles et technologiques pour aller vers la diversification de l'économie et l'intégration positive au marché international ».