L'Agérie se trouve, encore une fois, sollicitée par la France dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, phénomène devenu un sousci majeur pour l'Hexagone et pour l'Europe toute entière. Et pour cause, la ministre française de l'Intérieur, Mme Michelle Alliot-Marie vient de souligner la nécessité de "travailler et de renforcer les échanges" avec l'Algérie en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme. L'Algérie, a-t-elle reconnu, dispose d'une expérience et une parfaite connaissance du phénomène terroriste puisqu'elle-même en avait souffert. "C'est pour cela que nous voulons travailler avec ce partenaire et renforcer les échanges" a-t-elle indiqué, lors d'un colloque à Paris sur "les acteurs de terrain confrontés au phénomène de radicalisation". Mme Alliot-Marie a fait observer qu'aucun pays "ne peut lutter seul contre l'extrémisme, l'islamisme et le terrorisme", ajoutant que la France et l'Europe en général ont des "actions de coopération avec les pays extérieurs et ne veulent pas lutter seules contre ces phénomènes". Ce colloque, organisé dans le cadre de la présidence française de l'UE, regroupe les experts des 27 pays membres conviés à débattre de la lutte contre la radicalisation et le recrutement des futurs terroristes comme préalable à la prévention et à la répression du terrorisme. Sur un autre registre, Mme Alliot-Marie a souligné la nécessité de donner une "dimension européenne" à la lutte contre la radicalisation, estimant que "ce sont tous les pays qui sont concernés". Elle a ajouté que la menace terroriste "pèse sur toute l'Europe de par son importance, son actualité et sa permanence". L'Agérie se trouve, encore une fois, sollicitée par la France dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, phénomène devenu un sousci majeur pour l'Hexagone et pour l'Europe toute entière. Et pour cause, la ministre française de l'Intérieur, Mme Michelle Alliot-Marie vient de souligner la nécessité de "travailler et de renforcer les échanges" avec l'Algérie en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme. L'Algérie, a-t-elle reconnu, dispose d'une expérience et une parfaite connaissance du phénomène terroriste puisqu'elle-même en avait souffert. "C'est pour cela que nous voulons travailler avec ce partenaire et renforcer les échanges" a-t-elle indiqué, lors d'un colloque à Paris sur "les acteurs de terrain confrontés au phénomène de radicalisation". Mme Alliot-Marie a fait observer qu'aucun pays "ne peut lutter seul contre l'extrémisme, l'islamisme et le terrorisme", ajoutant que la France et l'Europe en général ont des "actions de coopération avec les pays extérieurs et ne veulent pas lutter seules contre ces phénomènes". Ce colloque, organisé dans le cadre de la présidence française de l'UE, regroupe les experts des 27 pays membres conviés à débattre de la lutte contre la radicalisation et le recrutement des futurs terroristes comme préalable à la prévention et à la répression du terrorisme. Sur un autre registre, Mme Alliot-Marie a souligné la nécessité de donner une "dimension européenne" à la lutte contre la radicalisation, estimant que "ce sont tous les pays qui sont concernés". Elle a ajouté que la menace terroriste "pèse sur toute l'Europe de par son importance, son actualité et sa permanence".