Quelque 654.000 stagiaires et apprentis rejoignent, ce matin, leurs établissements respectifs. Selon le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels, 200.000 nouveaux stagiaires et apprentis sont inscrits cette année, tous modes de formation confondus. Ces stagiaires seront repartis sur les 1.035 centres de formation que compte le pays en attendant la réception prochaine de 200 autres établissements. A cet effectif infrastructurel, il faut ajouter les 537 établissements privés d'une capacité d'accueil de 42.000 places pédagogiques et qui offrent 21 filières et 301 spécialités. Pour la présente rentrée, les stagiaires et apprentis seront dirigés par 37.000 encadreurs dont 13.500 enseignants. A ce titre, toujours selon le ministère, quelque 3.000 nouveaux postes budgétaires ont été créés. A la fin de l'année, le ministère prévoit la soutenance de pas moins de 174.000 stagiaires qui seront sanctionnés par des diplômes. Le ministre, El Hadi Khaldi, a multiplié, depuis quelques jours, les visites de travail et les rencontres avec le mouvement associatif, les cadres du secteur et les élus locaux dans plusieurs wilayas du pays pour le bon déroulement de la présente rentrée. Les jeunes sans niveau d'instruction et sans qualification sont, cette année, pris en considération. Durant ses sorties, le ministre a insisté sur la nécessité de la prise en charge en matière de formation professionnelle des jeunes sans niveau d'instruction et sans qualification. Une prise en charge qui nécessite, selon lui, l'implication de toutes les parties et institutions concernées et non pas seulement le ministère de la Formation et de l'enseignement professionnel. En effet, lors d'une rencontre de sensibilisation consacrée à ce mode d'apprentissage destiné à cette catégorie de jeunes, tenue jeudi dernier à Relizane, le ministre a mis l'accent sur le rôle des élus locaux, du mouvement associatif et des différents opérateurs économiques pour la réussite de cette nouvelle offre de formation. «Cette nouvelle offre de formation offre aux jeunes n'ayant pu atteindre le niveau de 4e année moyenne ou ceux n'ayant aucun niveau d'instruction, l'opportunité de bénéficier d'une formation qualifiante à même de leur permettre de postuler à un emploi», a-t-il souligné. Pour cela, les centres de formation offrent à cette catégorie pas moins de 80 spécialités qui leur sont exclusivement destinées. Khaldi qui a énuméré les mesures incitatives contenues dans cette nouvelle initiative de formation destinée à cette catégorie d'apprentis, a cité, entre autres, une bourse d'un montant équivalent à 15 pour cent du SNMG, assortie de 4.000 DA, octroyée par le ministère du Travail et de la Sécurité sociale dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de l'emploi. Il a, en outre, abordé les différents mécanismes mis œuvre par l'Etat pour assister les jeunes investisseurs à concrétiser leurs projets, à travers les dispositifs pilotés, soit par l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ) ou celles de l'assurance chômage (CNAC) et de gestion des micro-crédits (ANGEM). K. A. Quelque 654.000 stagiaires et apprentis rejoignent, ce matin, leurs établissements respectifs. Selon le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels, 200.000 nouveaux stagiaires et apprentis sont inscrits cette année, tous modes de formation confondus. Ces stagiaires seront repartis sur les 1.035 centres de formation que compte le pays en attendant la réception prochaine de 200 autres établissements. A cet effectif infrastructurel, il faut ajouter les 537 établissements privés d'une capacité d'accueil de 42.000 places pédagogiques et qui offrent 21 filières et 301 spécialités. Pour la présente rentrée, les stagiaires et apprentis seront dirigés par 37.000 encadreurs dont 13.500 enseignants. A ce titre, toujours selon le ministère, quelque 3.000 nouveaux postes budgétaires ont été créés. A la fin de l'année, le ministère prévoit la soutenance de pas moins de 174.000 stagiaires qui seront sanctionnés par des diplômes. Le ministre, El Hadi Khaldi, a multiplié, depuis quelques jours, les visites de travail et les rencontres avec le mouvement associatif, les cadres du secteur et les élus locaux dans plusieurs wilayas du pays pour le bon déroulement de la présente rentrée. Les jeunes sans niveau d'instruction et sans qualification sont, cette année, pris en considération. Durant ses sorties, le ministre a insisté sur la nécessité de la prise en charge en matière de formation professionnelle des jeunes sans niveau d'instruction et sans qualification. Une prise en charge qui nécessite, selon lui, l'implication de toutes les parties et institutions concernées et non pas seulement le ministère de la Formation et de l'enseignement professionnel. En effet, lors d'une rencontre de sensibilisation consacrée à ce mode d'apprentissage destiné à cette catégorie de jeunes, tenue jeudi dernier à Relizane, le ministre a mis l'accent sur le rôle des élus locaux, du mouvement associatif et des différents opérateurs économiques pour la réussite de cette nouvelle offre de formation. «Cette nouvelle offre de formation offre aux jeunes n'ayant pu atteindre le niveau de 4e année moyenne ou ceux n'ayant aucun niveau d'instruction, l'opportunité de bénéficier d'une formation qualifiante à même de leur permettre de postuler à un emploi», a-t-il souligné. Pour cela, les centres de formation offrent à cette catégorie pas moins de 80 spécialités qui leur sont exclusivement destinées. Khaldi qui a énuméré les mesures incitatives contenues dans cette nouvelle initiative de formation destinée à cette catégorie d'apprentis, a cité, entre autres, une bourse d'un montant équivalent à 15 pour cent du SNMG, assortie de 4.000 DA, octroyée par le ministère du Travail et de la Sécurité sociale dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de l'emploi. Il a, en outre, abordé les différents mécanismes mis œuvre par l'Etat pour assister les jeunes investisseurs à concrétiser leurs projets, à travers les dispositifs pilotés, soit par l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ) ou celles de l'assurance chômage (CNAC) et de gestion des micro-crédits (ANGEM). K. A.