En dépit du mouvement de protestation observé hier par les travailleurs de la Fonction publique suite à l'appel lancé par la coordination des syndicats autonomes, le ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, campe toujours sur ses positions, en ignorant les revendications des grévistes. Intervenant au cours de la cérémonie d'ouverture de l'année universitaire 2008-2009 de la formation initiale des maîtres d'école primaire et de la formation des professeurs de l'enseignement moyen, M. Boubekeur Benbouzid n'a fait aucune déclaration au sujet de la grève nationale de trois jours. En fait, le ministre s'est contenté de rappeler que le nouveau statut du secteur de l'enseignement accorde une place importante à ceux qui ont bénéficié de cette formation, appelant, à l'occasion, tous ceux qui ne l'ont pas suivie à s'y inscrire. Les enseignants de l'éducation nationale rejettent dans le fond et la forme ledit statut, qui ne leur accorde «aucune valeur», ont-ils clamé à maintes reprises. K. L. C. En dépit du mouvement de protestation observé hier par les travailleurs de la Fonction publique suite à l'appel lancé par la coordination des syndicats autonomes, le ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, campe toujours sur ses positions, en ignorant les revendications des grévistes. Intervenant au cours de la cérémonie d'ouverture de l'année universitaire 2008-2009 de la formation initiale des maîtres d'école primaire et de la formation des professeurs de l'enseignement moyen, M. Boubekeur Benbouzid n'a fait aucune déclaration au sujet de la grève nationale de trois jours. En fait, le ministre s'est contenté de rappeler que le nouveau statut du secteur de l'enseignement accorde une place importante à ceux qui ont bénéficié de cette formation, appelant, à l'occasion, tous ceux qui ne l'ont pas suivie à s'y inscrire. Les enseignants de l'éducation nationale rejettent dans le fond et la forme ledit statut, qui ne leur accorde «aucune valeur», ont-ils clamé à maintes reprises. K. L. C.