L'Irak a été frappé hier par un double attentat, le plus meurtrier depuis cinq mois, qui a fait au moins 28 morts et une soixantaine de blessés portant à plus de 30 le nombre de personnes tuées en deux jours dans la capitale Baghdad. Selon le ministère irakien de la Défense, un attentat à la voiture piégée a eu lieu sur le marché d'Adhamiyah, un quartier de la capitale irakienne suivi d'une autre attaque à l'explosif survenue au moment où les secours arrivaient sur les lieux de la première déflagration. Ce double attentat perpétré sur une route bordée de restaurants, a coûté la vie à au moins 28 personnes dont trois policiers et en a blessé 68 autres dont six policiers et quatre soldats, a précisé le ministère. Ce mode opératoire, en l'occurrence l'attentat successif, est fréquemment utilisé, le second visant à atteindre le plus de policiers et de secouristes possibles lors de leur arrivée sur les lieux de la première explosion, a-t-on expliqué. Il s'agit de l'attentat le plus sanglant à Baghdad depuis le 17 juin, lorsqu'une attaque à la voiture piégée avait fait 51 morts et 75 blessés tout près d'un marché du quartier Al-Hourriyah, dans le nord-ouest de la ville. Outre le double attentat, au moins quatre membres d'un groupe luttant contre Al-Qaïda ont été tués lundi dans un attentat à l'explosif à Baâqouba, la capitale de la province de Diyala, au nord-est de Baghdad. L'attaque qui a également fait 15 blessés, s'est produite sur un marché de Baâqouba lorsqu'une personne a actionné sa ceinture d'explosifs à un barrage tenu par des Sahwas, groupe chargé de lutter contre al-Qaïda. Les attaques qui ont secoué lundi l'Irak viennent s'ajouter à celles perpétrées la veille à travers le pays et qui ont tué au moins dix Irakiens et blessé plusieurs dizaines de personnes, selon des services de sécurité irakiens. Au moment où l'Irak continue de subir des pertes en vies humaines en raison des attaques qui le secouent presque tous les jours, l'accord de sécurité négocié depuis des mois entre les gouvernements irakien et américain est entré dans sa phase finale. L'Irak a été frappé hier par un double attentat, le plus meurtrier depuis cinq mois, qui a fait au moins 28 morts et une soixantaine de blessés portant à plus de 30 le nombre de personnes tuées en deux jours dans la capitale Baghdad. Selon le ministère irakien de la Défense, un attentat à la voiture piégée a eu lieu sur le marché d'Adhamiyah, un quartier de la capitale irakienne suivi d'une autre attaque à l'explosif survenue au moment où les secours arrivaient sur les lieux de la première déflagration. Ce double attentat perpétré sur une route bordée de restaurants, a coûté la vie à au moins 28 personnes dont trois policiers et en a blessé 68 autres dont six policiers et quatre soldats, a précisé le ministère. Ce mode opératoire, en l'occurrence l'attentat successif, est fréquemment utilisé, le second visant à atteindre le plus de policiers et de secouristes possibles lors de leur arrivée sur les lieux de la première explosion, a-t-on expliqué. Il s'agit de l'attentat le plus sanglant à Baghdad depuis le 17 juin, lorsqu'une attaque à la voiture piégée avait fait 51 morts et 75 blessés tout près d'un marché du quartier Al-Hourriyah, dans le nord-ouest de la ville. Outre le double attentat, au moins quatre membres d'un groupe luttant contre Al-Qaïda ont été tués lundi dans un attentat à l'explosif à Baâqouba, la capitale de la province de Diyala, au nord-est de Baghdad. L'attaque qui a également fait 15 blessés, s'est produite sur un marché de Baâqouba lorsqu'une personne a actionné sa ceinture d'explosifs à un barrage tenu par des Sahwas, groupe chargé de lutter contre al-Qaïda. Les attaques qui ont secoué lundi l'Irak viennent s'ajouter à celles perpétrées la veille à travers le pays et qui ont tué au moins dix Irakiens et blessé plusieurs dizaines de personnes, selon des services de sécurité irakiens. Au moment où l'Irak continue de subir des pertes en vies humaines en raison des attaques qui le secouent presque tous les jours, l'accord de sécurité négocié depuis des mois entre les gouvernements irakien et américain est entré dans sa phase finale.