Comme dans tout spectacle, le public a eu du mal à contrôler sa spontanéité vis à vis des performances, encourageant les un»s et décourageant les autres. Si les candidats ont réussi certaines chansons et raté d'autres, l'orchestre, quant à lui, a très bien assuré sa tâche. Comme dans tout spectacle, le public a eu du mal à contrôler sa spontanéité vis à vis des performances, encourageant les un»s et décourageant les autres. Si les candidats ont réussi certaines chansons et raté d'autres, l'orchestre, quant à lui, a très bien assuré sa tâche. «Cet accès à la coupole a été fermé. Il faut emprunter la route de Dely Ibrahim ». C'est ainsi qu'a commencé notre soirée avec Alhan wa Chabab. L'accès au complexe par Chevalley a été barré pour dissuader les foules de jeunes d'y accéder. Objectif : limiter le public d'Alhane wa Chabab. «Il est difficile de maîtriser les foules, notamment lorsqu'elles sont constituées d'adolescents », a expliqué un agent de sécurité. Peine perdue ! Le détour ne semble pas constituer un obstacle majeur pour des jeunes pleins d'énergie et en mal de trouver comment la dépenser. Des centaines de personnes, adolescentes pour la plupart, se bousculaient devant le portail d'accès placé à quelque centaines de mètres de l'entrée proprement dite de la salle omnisport. Les yeux de certains étaient pleins d'envie en nous voyant dépasser la foule et accéder à l'intérieur de la salle après avoir présenté nos papiers. A l'intérieur, les sièges des spectateurs ont été vite occupés. Cris et sifflements avaient commencé tôt, bien avant le démarrage de l'émission. Après « l'hymne » de l'école chanté par tous les candidats, les quatre nominés ont été présentés sur scène. Il s'agit d'Abdellah Baba Had de Ouargla, de Chahrazed Mahia d'Annaba, d'Amel Naar de France et de Mohamed Chaabi de Tizi Ouzou. Chacun des quatre candidats avait la chance de convaincre le jury et le public avec une chanson a cappella qui ne doit pas dépasser les deux minutes. Comme dans tout spectacle, le public a eu du mal à contrôler sa spontanéité vis à vis des performances, encourageant les uns et décourageant les autres. Les Chahrazed, Amel et Abdellah ont réussi à continuer à chanter « ignorant » les cris décourageants du public, Mohamed n'a pas réussi à le faire. Pris par le trac, il n'a su profiter que d'une trentaine de secondes sur les deux minutes qui lui ont été accordées. Ce prime d'Alhane wa Chabab a été marqué par une variété de styles : chaâbi, oriental, occidental… Si les candidats ont réussi certaines chansons et raté d'autres, l'orchestre, quant à lui, a très bien assuré sa tâche. Les musiciens du maestro Farid Aouameur passait d'un style musical à l'autre sans la moindre difficulté. Leur musique était un véritable plaisir pour l'oreille. Elle rattrapait d'ailleurs les voix mal assurées ou qui sortent du tempo, de certains candidats. C'est le cas de la chanson khalidji de Rached El Madjed. Les voix mal adaptées à ce style d'Anissa Hadjres et Fatima Mecirdi ont été sauvées par l'excellente musique d'Aouameur et sa troupe. Parmi toutes les voix, ce sont celles d'Amel Sekkak, de Nardjes Djelloul et de Hocine Nedjma qui ont fait vibré la scène. Amel avait chanté la chanson de Saloua « ma nehki ma nechki » en duo avec Abdelkrim Mimoune. La voix ténor d'Amel et sa présence avaient fait de l'ombre à Abdelkrim. Le même scénario s'est d'ailleurs produit dans le duo entre Nardjes Djelloul et Hichem Hada Hanifi. Le chant de Nerdjes avait complètement couvert celui de Hichem. L'opinion du public a été quelque peu partagée entre de bonnes et de mauvaises appréciations. « La scène est moderne, elle n'est pas mal du tout » a avancé une jeune adolescente. « Par contre, les candidats sont très mal habillés » s'est pressé d'ajouter sa copine. Les chorégraphies présentées par les candidats ont été tout autant critiquées, notamment celle de l'hymne de l'école. « C'est très élémentaire comme mouvements ce que font ces candidats » a commenté un jeune homme. La star française d'origine algérienne, Cheriffa Louna n'a fait son apparition sur scène que vers la fin. En signe d'humilité et d'appartenance, la star est entrée habillée d'une « djebba » et pieds nus. «Bonjour l'Algérie» étaient ses premiers mots prononcés. Elle a chanté pour son pays sa nouvelle chanson « D'ici et d'ailleurs ». En quittant la scène à la fin de la soirée, elle a promis «je reviendrai en Algérie». C'est la fin de l'émission et l'heure du verdict. Le public a plébiscité Abdellah, le vote du jury a penché pour Amel. S. A. «Cet accès à la coupole a été fermé. Il faut emprunter la route de Dely Ibrahim ». C'est ainsi qu'a commencé notre soirée avec Alhan wa Chabab. L'accès au complexe par Chevalley a été barré pour dissuader les foules de jeunes d'y accéder. Objectif : limiter le public d'Alhane wa Chabab. «Il est difficile de maîtriser les foules, notamment lorsqu'elles sont constituées d'adolescents », a expliqué un agent de sécurité. Peine perdue ! Le détour ne semble pas constituer un obstacle majeur pour des jeunes pleins d'énergie et en mal de trouver comment la dépenser. Des centaines de personnes, adolescentes pour la plupart, se bousculaient devant le portail d'accès placé à quelque centaines de mètres de l'entrée proprement dite de la salle omnisport. Les yeux de certains étaient pleins d'envie en nous voyant dépasser la foule et accéder à l'intérieur de la salle après avoir présenté nos papiers. A l'intérieur, les sièges des spectateurs ont été vite occupés. Cris et sifflements avaient commencé tôt, bien avant le démarrage de l'émission. Après « l'hymne » de l'école chanté par tous les candidats, les quatre nominés ont été présentés sur scène. Il s'agit d'Abdellah Baba Had de Ouargla, de Chahrazed Mahia d'Annaba, d'Amel Naar de France et de Mohamed Chaabi de Tizi Ouzou. Chacun des quatre candidats avait la chance de convaincre le jury et le public avec une chanson a cappella qui ne doit pas dépasser les deux minutes. Comme dans tout spectacle, le public a eu du mal à contrôler sa spontanéité vis à vis des performances, encourageant les uns et décourageant les autres. Les Chahrazed, Amel et Abdellah ont réussi à continuer à chanter « ignorant » les cris décourageants du public, Mohamed n'a pas réussi à le faire. Pris par le trac, il n'a su profiter que d'une trentaine de secondes sur les deux minutes qui lui ont été accordées. Ce prime d'Alhane wa Chabab a été marqué par une variété de styles : chaâbi, oriental, occidental… Si les candidats ont réussi certaines chansons et raté d'autres, l'orchestre, quant à lui, a très bien assuré sa tâche. Les musiciens du maestro Farid Aouameur passait d'un style musical à l'autre sans la moindre difficulté. Leur musique était un véritable plaisir pour l'oreille. Elle rattrapait d'ailleurs les voix mal assurées ou qui sortent du tempo, de certains candidats. C'est le cas de la chanson khalidji de Rached El Madjed. Les voix mal adaptées à ce style d'Anissa Hadjres et Fatima Mecirdi ont été sauvées par l'excellente musique d'Aouameur et sa troupe. Parmi toutes les voix, ce sont celles d'Amel Sekkak, de Nardjes Djelloul et de Hocine Nedjma qui ont fait vibré la scène. Amel avait chanté la chanson de Saloua « ma nehki ma nechki » en duo avec Abdelkrim Mimoune. La voix ténor d'Amel et sa présence avaient fait de l'ombre à Abdelkrim. Le même scénario s'est d'ailleurs produit dans le duo entre Nardjes Djelloul et Hichem Hada Hanifi. Le chant de Nerdjes avait complètement couvert celui de Hichem. L'opinion du public a été quelque peu partagée entre de bonnes et de mauvaises appréciations. « La scène est moderne, elle n'est pas mal du tout » a avancé une jeune adolescente. « Par contre, les candidats sont très mal habillés » s'est pressé d'ajouter sa copine. Les chorégraphies présentées par les candidats ont été tout autant critiquées, notamment celle de l'hymne de l'école. « C'est très élémentaire comme mouvements ce que font ces candidats » a commenté un jeune homme. La star française d'origine algérienne, Cheriffa Louna n'a fait son apparition sur scène que vers la fin. En signe d'humilité et d'appartenance, la star est entrée habillée d'une « djebba » et pieds nus. «Bonjour l'Algérie» étaient ses premiers mots prononcés. Elle a chanté pour son pays sa nouvelle chanson « D'ici et d'ailleurs ». En quittant la scène à la fin de la soirée, elle a promis «je reviendrai en Algérie». C'est la fin de l'émission et l'heure du verdict. Le public a plébiscité Abdellah, le vote du jury a penché pour Amel. S. A.