Près d'une centaine de femmes ont été victimes d'enlèvements et de viols durant les huit premiers mois de l'année 2008 à travers le territoire national a-t-on appris hier auprès des services de la Gendarmerie nationale. Rien que durant les huit premiers mois de l'année 2008, "99 femmes ont été victimes d'enlèvements et de séquestrations suivis de viols", soit 4 % du nombre global des cas de violence contre les femmes recensés durant cette période et qui s'élève à 2.596 cas", selon les chiffres de la Gendarmerie nationale. Les mêmes services ont recensé 184 cas de viols et 174 cas d'attentats à la pudeur. La femme est également victime d'autres formes de violence exercées par leur entourage familial, notamment leurs pères, leurs frères et même des personnes étrangères. Il s'agit, dans la plupart des cas, de coups et blessures volontaires dont 428 femmes ont été victimes, d'homicides volontaires (32 victimes) et de menaces (73 victimes). Selon la Gendarmerie nationale, les chiffres avancés ne reflètent pas la réalité, sachant que la majorité des victimes ne dénoncent pas ces forfaits. Il est à signaler que l'année 2007 a été marquée par une montée des affaires de viols dont le nombre est passé à 334 contre 241 affaires en 2006, ayant donné lieu à l'arrestation de 262 personnes dont 15 criminels mineurs. Pour rappel, une enquête menée durant le premier trimestre 2008 par la Gendarmerie nationale, portant sur 9.033 femmes, a fait ressortir l'existence de trois types de violence à l'égard des femmes : corporelle, sexuelle et psychologique. Ainsi, on nous apprend que ce sont les enfants qui sont le plus enclins à maltraiter leurs mères. 50% des femmes victimes de violence ont avoué avoir été battues par leurs descendants directs. Dans la plupart des cas, cette violence se traduit par des coups et blessures volontaires. Autre chiffre effarant : 73% des agressions contre les femmes se déroulent à l'intérieur du domicile conjugal. S. A. Près d'une centaine de femmes ont été victimes d'enlèvements et de viols durant les huit premiers mois de l'année 2008 à travers le territoire national a-t-on appris hier auprès des services de la Gendarmerie nationale. Rien que durant les huit premiers mois de l'année 2008, "99 femmes ont été victimes d'enlèvements et de séquestrations suivis de viols", soit 4 % du nombre global des cas de violence contre les femmes recensés durant cette période et qui s'élève à 2.596 cas", selon les chiffres de la Gendarmerie nationale. Les mêmes services ont recensé 184 cas de viols et 174 cas d'attentats à la pudeur. La femme est également victime d'autres formes de violence exercées par leur entourage familial, notamment leurs pères, leurs frères et même des personnes étrangères. Il s'agit, dans la plupart des cas, de coups et blessures volontaires dont 428 femmes ont été victimes, d'homicides volontaires (32 victimes) et de menaces (73 victimes). Selon la Gendarmerie nationale, les chiffres avancés ne reflètent pas la réalité, sachant que la majorité des victimes ne dénoncent pas ces forfaits. Il est à signaler que l'année 2007 a été marquée par une montée des affaires de viols dont le nombre est passé à 334 contre 241 affaires en 2006, ayant donné lieu à l'arrestation de 262 personnes dont 15 criminels mineurs. Pour rappel, une enquête menée durant le premier trimestre 2008 par la Gendarmerie nationale, portant sur 9.033 femmes, a fait ressortir l'existence de trois types de violence à l'égard des femmes : corporelle, sexuelle et psychologique. Ainsi, on nous apprend que ce sont les enfants qui sont le plus enclins à maltraiter leurs mères. 50% des femmes victimes de violence ont avoué avoir été battues par leurs descendants directs. Dans la plupart des cas, cette violence se traduit par des coups et blessures volontaires. Autre chiffre effarant : 73% des agressions contre les femmes se déroulent à l'intérieur du domicile conjugal. S. A.