Lors de la rencontre de l'instance de coordination, il a été décidé que l'Alliance présidentielle entreprendra, « des activités communes en perspective de la présidentielle d'avril 2009 ». Lors de la rencontre de l'instance de coordination, il a été décidé que l'Alliance présidentielle entreprendra, « des activités communes en perspective de la présidentielle d'avril 2009 ». Les trois partenaires de l'Alliance présidentielle, en l'occurrence, les secrétaires généraux du FLN, Abdelaziz Belkhadem, du RND, Ahmed Ouyahia et le président du MSP, Bouguerra Soltani, vont se réunir aujourd'hui au siège du FLN, à Hydra. Une occasion pour le SG du RND dont le parti assure la présidence tournante de transmettre le flambeau de l'Alliance à son partenaire de FLN, à l'issue de cette réunion au sommet. La rencontre au sommet entre les trois responsables politiques, intervient quelques semaines après l'adoption par le Parlement, réuni dans ses deux chambres, du projet de loi portant révision de la Constitution. L'ordre du jour de cette réunion au sommet n'est pas précisement défini, selon le chargé de la communication au sein du vieux parti, Saïd Bouhadja, contacté, hier par téléphone. Lors de la rencontre de l'instance de coordination qui a regroupé les cadres des trois partis, dimanche dernier, il a été décidé que l'Alliance présidentielle entreprendra, selon le responsable du FLN, « des activités communes en perspective de la présidentielle d'avril 2009 ». Il sera aussi question, selon l'ordre du jour, « du plan d'action que le Président de la République compte mettre en œuvre pour les derniers mois de son mandat ». Ce plan d'action sera soumis au Conseil des ministres au cours de la semaine prochaine, selon Saïd Bouhadja. Les patrons de l'Alliance présidentielle discuteront également de « l'impact de la crise mondiale sur l'économie nationale » et « des relations extérieures », selon toujours ce même responsable. Il reste que si pour le FLN et le RND, leur choix du candidat pour la présidentielle est connu, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a préféré maintenir le statu quo sur ce sujet. La réunion du madjliss echoura, tenue dernièrement à Zéralda n'a pas réussi à trancher sur la question. Il a donné mandat au bureau national de prendre la position qui s'impose, en temps opportun, en arguant que le MSP ne peut se prononcer sur cette question alors que le président de la République n'a pas encore annoncé sa décision. Il y a lieu de rappeler qu'un vent de fronde souffle au sein du MSP. Menés par Abdelmadjid Menasra, vice-président du parti candidat malheureux au poste de président du MSP, les dissidents du Mouvement ne désespèrent pas de prendre le contrôle du parti. Les partisans de Menasra tentent de pousser ce dernier à se présenter à l'élection présidentielle, y compris en dehors des structures du parti. Néanmoins, il est sûr que les partenaires de Soltani au sein de l'Alliance pèseront de tout leur poids pour convaincre le président du MSP de rallier leur cause. Un dilemme pour Soltani qui doit respecter les recommandations du Majliss Ech Choura qui a laissé le soin au Bureau national du parti de trancher la question de l'élection présidentielle. Le Bureau national du MSP ne s'est pas encore réuni à ce jour et aucune date butoir n'a été fixée pour cette réunion. C'est dire la position inconfortable dans laquelle se trouve le patron du MSP. Une position relativisée par Saïd Bouhadja qui estime que « la crise qui couve au MSP est un acte politique interne au MSP ». S. B. Les trois partenaires de l'Alliance présidentielle, en l'occurrence, les secrétaires généraux du FLN, Abdelaziz Belkhadem, du RND, Ahmed Ouyahia et le président du MSP, Bouguerra Soltani, vont se réunir aujourd'hui au siège du FLN, à Hydra. Une occasion pour le SG du RND dont le parti assure la présidence tournante de transmettre le flambeau de l'Alliance à son partenaire de FLN, à l'issue de cette réunion au sommet. La rencontre au sommet entre les trois responsables politiques, intervient quelques semaines après l'adoption par le Parlement, réuni dans ses deux chambres, du projet de loi portant révision de la Constitution. L'ordre du jour de cette réunion au sommet n'est pas précisement défini, selon le chargé de la communication au sein du vieux parti, Saïd Bouhadja, contacté, hier par téléphone. Lors de la rencontre de l'instance de coordination qui a regroupé les cadres des trois partis, dimanche dernier, il a été décidé que l'Alliance présidentielle entreprendra, selon le responsable du FLN, « des activités communes en perspective de la présidentielle d'avril 2009 ». Il sera aussi question, selon l'ordre du jour, « du plan d'action que le Président de la République compte mettre en œuvre pour les derniers mois de son mandat ». Ce plan d'action sera soumis au Conseil des ministres au cours de la semaine prochaine, selon Saïd Bouhadja. Les patrons de l'Alliance présidentielle discuteront également de « l'impact de la crise mondiale sur l'économie nationale » et « des relations extérieures », selon toujours ce même responsable. Il reste que si pour le FLN et le RND, leur choix du candidat pour la présidentielle est connu, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a préféré maintenir le statu quo sur ce sujet. La réunion du madjliss echoura, tenue dernièrement à Zéralda n'a pas réussi à trancher sur la question. Il a donné mandat au bureau national de prendre la position qui s'impose, en temps opportun, en arguant que le MSP ne peut se prononcer sur cette question alors que le président de la République n'a pas encore annoncé sa décision. Il y a lieu de rappeler qu'un vent de fronde souffle au sein du MSP. Menés par Abdelmadjid Menasra, vice-président du parti candidat malheureux au poste de président du MSP, les dissidents du Mouvement ne désespèrent pas de prendre le contrôle du parti. Les partisans de Menasra tentent de pousser ce dernier à se présenter à l'élection présidentielle, y compris en dehors des structures du parti. Néanmoins, il est sûr que les partenaires de Soltani au sein de l'Alliance pèseront de tout leur poids pour convaincre le président du MSP de rallier leur cause. Un dilemme pour Soltani qui doit respecter les recommandations du Majliss Ech Choura qui a laissé le soin au Bureau national du parti de trancher la question de l'élection présidentielle. Le Bureau national du MSP ne s'est pas encore réuni à ce jour et aucune date butoir n'a été fixée pour cette réunion. C'est dire la position inconfortable dans laquelle se trouve le patron du MSP. Une position relativisée par Saïd Bouhadja qui estime que « la crise qui couve au MSP est un acte politique interne au MSP ». S. B.