Les capacités financières de l'Algérie ont été jugées positives par la Banque mondiale qui estime que les effets négatifs de la crise économique et financière mondiale peuvent être surmontés en 2009. «L'Algérie est en bonne posture pour venir à bout des conséquences de la crise financière internationale», ont, en effet, affirmé les responsables de la BM, corroborant, ainsi, la thèse du Fonds monétaire international qui a apprécié les tendances macro-économiques et financières de certains pays émergents dont l'Algérie. La BM s'est basée dans son nouveau rapport sur les perspectives économiques mondiales 2009 incluant l'impact de la crise financière sur la croissance du produit intérieur brut sur le plan international pour quantifier les possibilités de l'Algérie de juguler les effets négatifs du krach financier mondial sur son économie, sachant que l'Algérie a eu un taux de croissance de l'ordre de près 5 % durant l'année précédente. C'est surtout l'embellie financière du pays et son rythme de croissance stable dans les secteurs non pétroliers et de la construction des infrastructures qui ont donné de bons points à l'Algérie, sachant que les réserves de change ont atteint plus de 140 milliards de dollars en 2008 dépassant le niveau de l'année 2007 de 30 milliards de dollars, d'où la courbe ascendante dans la trésorerie de l'Etat, laissant présager de bonnes dispositions d'affronter la crise financière mondiale au moins jusqu'en 2011, comme l'a annoncé récemment le gouverneur de la Banque d'Algérie affirmant que le pays possède des ressources financières suffisantes de deux années d'importation. Dans son rapport annuel, la Banque mondiale indique que le produit intérieur brut nominal de l'Algérie enregistre une forte hausse en passant de 101,8 milliards de dollars en 2005 à près de 176 milliards de dollars en 2008. Aussi, selon la BM, le PIB par habitant en Algérie est passé de 3.098 dollars en 2005 à 5.097 dollars par habitant en 2008. Par ailleurs, l'institution de Bretton Woods estime que «la consommation privée et la consommation publique en Algérie ont augmenté respectivement de 1,9% et de 1% en 2008, contre respectivement 0,5% et 0,6% en 2005». Le FMI annonce de bonnes prévisions pour l'Algérie en précisant que le pays atteindra un taux de croissance de plus 4,5% durant l'année 2009 et présageant également un taux de croissance de l'ordre de 5,2 % pour l'année 2013. Au sujet de la dette extérieure algérienne, le Fonds monétaire international préconise une bonne solution estimant que le désendettement à travers le remboursement anticipé classe l'Algérie dans une meilleure position surclassant, ainsi, de nombreux pays africains et en voie de développement quant aux capacités de règlement de la dette. A. A. Les capacités financières de l'Algérie ont été jugées positives par la Banque mondiale qui estime que les effets négatifs de la crise économique et financière mondiale peuvent être surmontés en 2009. «L'Algérie est en bonne posture pour venir à bout des conséquences de la crise financière internationale», ont, en effet, affirmé les responsables de la BM, corroborant, ainsi, la thèse du Fonds monétaire international qui a apprécié les tendances macro-économiques et financières de certains pays émergents dont l'Algérie. La BM s'est basée dans son nouveau rapport sur les perspectives économiques mondiales 2009 incluant l'impact de la crise financière sur la croissance du produit intérieur brut sur le plan international pour quantifier les possibilités de l'Algérie de juguler les effets négatifs du krach financier mondial sur son économie, sachant que l'Algérie a eu un taux de croissance de l'ordre de près 5 % durant l'année précédente. C'est surtout l'embellie financière du pays et son rythme de croissance stable dans les secteurs non pétroliers et de la construction des infrastructures qui ont donné de bons points à l'Algérie, sachant que les réserves de change ont atteint plus de 140 milliards de dollars en 2008 dépassant le niveau de l'année 2007 de 30 milliards de dollars, d'où la courbe ascendante dans la trésorerie de l'Etat, laissant présager de bonnes dispositions d'affronter la crise financière mondiale au moins jusqu'en 2011, comme l'a annoncé récemment le gouverneur de la Banque d'Algérie affirmant que le pays possède des ressources financières suffisantes de deux années d'importation. Dans son rapport annuel, la Banque mondiale indique que le produit intérieur brut nominal de l'Algérie enregistre une forte hausse en passant de 101,8 milliards de dollars en 2005 à près de 176 milliards de dollars en 2008. Aussi, selon la BM, le PIB par habitant en Algérie est passé de 3.098 dollars en 2005 à 5.097 dollars par habitant en 2008. Par ailleurs, l'institution de Bretton Woods estime que «la consommation privée et la consommation publique en Algérie ont augmenté respectivement de 1,9% et de 1% en 2008, contre respectivement 0,5% et 0,6% en 2005». Le FMI annonce de bonnes prévisions pour l'Algérie en précisant que le pays atteindra un taux de croissance de plus 4,5% durant l'année 2009 et présageant également un taux de croissance de l'ordre de 5,2 % pour l'année 2013. Au sujet de la dette extérieure algérienne, le Fonds monétaire international préconise une bonne solution estimant que le désendettement à travers le remboursement anticipé classe l'Algérie dans une meilleure position surclassant, ainsi, de nombreux pays africains et en voie de développement quant aux capacités de règlement de la dette. A. A.