Khemis-Miliana a rendu un vibrant hommage à Cheikh Yahi qui s'est éteint jeudi dernier à l'âge de 80 ans. Figure incontournable, respecté et aimé de tous, il a marqué de son empreinte plusieurs générations. Diplômé de l'école normale de Bouzaréah, instituteur à El Khemis depuis 1948, président du SCAF, inspecteur de l'enseignement primaire, directeur de l'Institut de formation des enseignants de Khemis Miliana, directeur de l'éducation de la wilaya de Chlef, président de l'APC de Khemis Miliana, membre de la mutuelle de l'éducation, monsieur Yahi était omniprésent à travers toutes les associations éducatives, particulièrement au sein de la grande famille enseignante. Il laisse le souvenir d'un homme au grand cœur et animé d'une grande foi pour l'éducation et la formation des jeunes à travers ses visites dans les écoles. De Theniet El Had à Oued Fodda, d'El Khemis à Cherchell, tous les jeunes maîtres fraîchement installés se souviennent de lui : un éducateur, un maître d'école, prodiguant des conseils, encourageant les débutants pour ce métier difficile mais combien noble. Vendredi dernier, de nombreux citoyens, amis et anciens élèves, se sont rendus à Birmandraïs (Alger) au cimetière de Sidi Yahia, pour rendre un dernier hommage à leur aîné, maître, professeur, conseiller et ami. L'APC de Khemis Miliana a mis à la disposition des habitants plusieurs bus pour leur permettre d'assister à l'enterrement. Parmi, l'assistance, on a reconnu plusieurs anciens élèves devenus cadres de l'Etat : Bouchama Kamel, ancien ambassadeur en Jordanie, Merad, wali de Boumerdes, Benchaabane ancien wali de Relizane, Zidouk Abdelkader, député et ancien vice-président de l'APN. Pour terminer, il est à souligner que Cheikh Yahi, à chaque occasion, au cours des rencontres avec des amis, il adorait réciter le fameux poème de Paul Eluar : «Sois un homme, mon fils !» E. M. Khemis-Miliana a rendu un vibrant hommage à Cheikh Yahi qui s'est éteint jeudi dernier à l'âge de 80 ans. Figure incontournable, respecté et aimé de tous, il a marqué de son empreinte plusieurs générations. Diplômé de l'école normale de Bouzaréah, instituteur à El Khemis depuis 1948, président du SCAF, inspecteur de l'enseignement primaire, directeur de l'Institut de formation des enseignants de Khemis Miliana, directeur de l'éducation de la wilaya de Chlef, président de l'APC de Khemis Miliana, membre de la mutuelle de l'éducation, monsieur Yahi était omniprésent à travers toutes les associations éducatives, particulièrement au sein de la grande famille enseignante. Il laisse le souvenir d'un homme au grand cœur et animé d'une grande foi pour l'éducation et la formation des jeunes à travers ses visites dans les écoles. De Theniet El Had à Oued Fodda, d'El Khemis à Cherchell, tous les jeunes maîtres fraîchement installés se souviennent de lui : un éducateur, un maître d'école, prodiguant des conseils, encourageant les débutants pour ce métier difficile mais combien noble. Vendredi dernier, de nombreux citoyens, amis et anciens élèves, se sont rendus à Birmandraïs (Alger) au cimetière de Sidi Yahia, pour rendre un dernier hommage à leur aîné, maître, professeur, conseiller et ami. L'APC de Khemis Miliana a mis à la disposition des habitants plusieurs bus pour leur permettre d'assister à l'enterrement. Parmi, l'assistance, on a reconnu plusieurs anciens élèves devenus cadres de l'Etat : Bouchama Kamel, ancien ambassadeur en Jordanie, Merad, wali de Boumerdes, Benchaabane ancien wali de Relizane, Zidouk Abdelkader, député et ancien vice-président de l'APN. Pour terminer, il est à souligner que Cheikh Yahi, à chaque occasion, au cours des rencontres avec des amis, il adorait réciter le fameux poème de Paul Eluar : «Sois un homme, mon fils !» E. M.