Les investissements sont orientés, exceptionnellement cette année, vers d'autres domaines tel, par exemple, la soudure plastique qui s'avère inexistante en Algérie. Les investissements sont orientés, exceptionnellement cette année, vers d'autres domaines tel, par exemple, la soudure plastique qui s'avère inexistante en Algérie. «Durant les six dernières années, 25.000 algériens ont quitté la France pour entreprendre dans leur pays d'origine et ce, grâce à l' important apport de la Convention France-Maghreb dans le domaine de la promotion de l'investissement et du partenariat », a déclaré hier, Mr. Mohamed El Ouahdoudi, président de la CFM, lors de la conférence de présentation de la huitième édition de cette dernière, et animée dans le siège du SIRRHA (Salon International du Recrutement et des Ressources Humaines en Algérie) à Alger. En effet, l'encouragement des investisseurs et des entrepreneurs maghrébins à investir dans leurs pays d'origine, fait désormais partie du paysage des affaires franco-maghrébines. Surtout que l'on constate que la communauté maghrébine en France avance à grands pas, non seulement au niveau de son intégration, mais aussi au niveau économique et social. Ajouté à cela la place qu'occupent les Maghrébins, et en particulier les Algériens, qui sont devenus, de loin, les premiers créateurs d'entreprises en France, bien avant les Français eux-mêmes, selon toujours Mr. El Ouahdoudi. Revenant sur les traditions de la CFM, le même interlocuteur rappelle : «Chaque année, il y a un trophée pour chaque pays, et portant sur un thème bien précis. Le trophée pour l'Algérie durant cette édition sera pour la promotion des entreprises exportatrices hors hydrocarbures ». Chose qu'a encouragé d'ailleurs, on se le rappelle bien, Mr. Chakib Khalil, ministre de l'Energie, lors des deux dernières éditions de la Convention France Maghreb. Ainsi, les investissements sont orientés, exceptionnellement cette année, vers d'autres domaines tel, par exemple, la soudure plastique qui s'avère inexistante en Algérie, et à vouloir faire connaître ce besoin aux Maghrébins en France. D'autant plus que la crise économique qui touche le monde depuis quelque temps, a eu un impact très ressenti sur le secteur des hydrocarbures, ce qui a poussé d'ailleurs les pays producteurs de pétrole à réduire leur production. En ce qui concerne les participations cette année, Mr. Boualem M'Rakech, président de la Confédération Algérienne du Patronat (CAP), présent à la conférence affirme : « En 2002, l'évènement avait démarré avec huit exposants et quatre cents professionnels. Cette année, une participation massive est attendue. La Mauritanie, par exemple, participera, à elle seule, avec sept exposants, alors qu'on dénombre une cinquantaine d'entreprises algériennes et plus de cent cinquante congressistes dont la majorité sont algériens ». Parlant des invités de cette huitième édition, les conférencier ont évoqué la présence distinguée de Mme Fadéla Amara, la ministre française chargée du Secteur de la Ville, et aussi celle de Mr. Yazid Sabeg, désigné Commissaire à la Diversité, par Nicolas Sarkozy, et qui est considéré comme étant le Maghrébin qui a le plus réussi en France. Ces deux personnalités, ajoutées aux nombreuses éminences qui prendront part à cette manifestation, auront à débattre longuement des différents projets propres à l'élargissement du portail socio-économique et à l'émancipation du savoir faire dans la région franco-maghrébine. A cela, on rappelle, comme il a été rapporté par notre quotidien dans sa précédente édition, la conférence que donnera Mr. Paul Balta, le spécialiste du Maghreb et des pays arabes, et qui portera sur le Projet de l'Union pour la Méditerranée. Là-dessus, Mr. El Ouahdoudi intervient : « C'est un projet éminemment géostratégique mais qui, malheureusement, trouve des difficultés à voir le jour ». Enfin, rappelons à nos lecteurs que la huitième édition de la Convention France-Maghreb se déroulera les 05 et 06 février prochain à Paris. M. S. «Durant les six dernières années, 25.000 algériens ont quitté la France pour entreprendre dans leur pays d'origine et ce, grâce à l' important apport de la Convention France-Maghreb dans le domaine de la promotion de l'investissement et du partenariat », a déclaré hier, Mr. Mohamed El Ouahdoudi, président de la CFM, lors de la conférence de présentation de la huitième édition de cette dernière, et animée dans le siège du SIRRHA (Salon International du Recrutement et des Ressources Humaines en Algérie) à Alger. En effet, l'encouragement des investisseurs et des entrepreneurs maghrébins à investir dans leurs pays d'origine, fait désormais partie du paysage des affaires franco-maghrébines. Surtout que l'on constate que la communauté maghrébine en France avance à grands pas, non seulement au niveau de son intégration, mais aussi au niveau économique et social. Ajouté à cela la place qu'occupent les Maghrébins, et en particulier les Algériens, qui sont devenus, de loin, les premiers créateurs d'entreprises en France, bien avant les Français eux-mêmes, selon toujours Mr. El Ouahdoudi. Revenant sur les traditions de la CFM, le même interlocuteur rappelle : «Chaque année, il y a un trophée pour chaque pays, et portant sur un thème bien précis. Le trophée pour l'Algérie durant cette édition sera pour la promotion des entreprises exportatrices hors hydrocarbures ». Chose qu'a encouragé d'ailleurs, on se le rappelle bien, Mr. Chakib Khalil, ministre de l'Energie, lors des deux dernières éditions de la Convention France Maghreb. Ainsi, les investissements sont orientés, exceptionnellement cette année, vers d'autres domaines tel, par exemple, la soudure plastique qui s'avère inexistante en Algérie, et à vouloir faire connaître ce besoin aux Maghrébins en France. D'autant plus que la crise économique qui touche le monde depuis quelque temps, a eu un impact très ressenti sur le secteur des hydrocarbures, ce qui a poussé d'ailleurs les pays producteurs de pétrole à réduire leur production. En ce qui concerne les participations cette année, Mr. Boualem M'Rakech, président de la Confédération Algérienne du Patronat (CAP), présent à la conférence affirme : « En 2002, l'évènement avait démarré avec huit exposants et quatre cents professionnels. Cette année, une participation massive est attendue. La Mauritanie, par exemple, participera, à elle seule, avec sept exposants, alors qu'on dénombre une cinquantaine d'entreprises algériennes et plus de cent cinquante congressistes dont la majorité sont algériens ». Parlant des invités de cette huitième édition, les conférencier ont évoqué la présence distinguée de Mme Fadéla Amara, la ministre française chargée du Secteur de la Ville, et aussi celle de Mr. Yazid Sabeg, désigné Commissaire à la Diversité, par Nicolas Sarkozy, et qui est considéré comme étant le Maghrébin qui a le plus réussi en France. Ces deux personnalités, ajoutées aux nombreuses éminences qui prendront part à cette manifestation, auront à débattre longuement des différents projets propres à l'élargissement du portail socio-économique et à l'émancipation du savoir faire dans la région franco-maghrébine. A cela, on rappelle, comme il a été rapporté par notre quotidien dans sa précédente édition, la conférence que donnera Mr. Paul Balta, le spécialiste du Maghreb et des pays arabes, et qui portera sur le Projet de l'Union pour la Méditerranée. Là-dessus, Mr. El Ouahdoudi intervient : « C'est un projet éminemment géostratégique mais qui, malheureusement, trouve des difficultés à voir le jour ». Enfin, rappelons à nos lecteurs que la huitième édition de la Convention France-Maghreb se déroulera les 05 et 06 février prochain à Paris. M. S.