Le député du RCD, M. Mohcen Bellabas a fait une déclaration au Midi libre dans laquelle il indique que les commissions de l'Assemblée nationale populaire sont instrumentalisées et affectées à des tâches de diversion sans aucune relation avec leur vocation législative. Pour argument, le député dira, entre autres, que la commission de l'agriculture est appelée à des sorties inavouées, la commission de l'éducation se voit proposer des sujets dont l'impact juridique n'apparaît pas, tandis que la commission de la santé, affaires sociales, travail et information professionnelle est invitée, pour sa part, à faire la tournée administrative qui, selon notre interlocuteur, ne répond à aune urgence particulière. A ce sujet, l'ex-chargé de l'information et de la communication du RCD soutiendra que depuis le 12 novembre dernier, l'activité parlementaire est constitutionnellement bridée. Pour le RCD, la crise algérienne est grave et profonde. Les dysfonctionnements de l'institution parlementaire en sont une preuve irréfutable. Sur le plan national, le nouveau texte traduit, selon M. Mohcen Bellabas, la volonté du pouvoir en place de créer une vie parlementaire artificielle afin de camoufler la dépossession de la représentation de ses deux missions cardinales, à savoir le contrôle de l'exécutif et la proposition législative. Sur le plan international, le Rassemblement pour la culture et la démocratie condamne avec fermeté et extrême vigueur l'agression barbare des troupes israéliennes contre Ghaza, qui persiste au vu et au su du monde entier, et ce, depuis 16 jours. Sur ce volet, le RCD souligne, dans un communiqué rendu public durant la journée d'hier, que le massacre d'enfants, de femmes et de civils palestiniens soulève une indignation unanime à travers le monde, tandis qu'en Algérie le pouvoir exécutif, en panne de perspectives, n'a rien trouver de mieux que d'instrumentaliser le drame palestinien en l'entraînant dans des jeux politiciens au moment où les Palestiniens appellent à la solidarité des pays arabes. Et pour preuve, le député du RCD affirmera qu'au lieu que les dirigeants Algériens travaillent et ce, sans relâche pour venir en aide aux Palestiniens, toutefois, ces mêmes dirigeants se livrent à de grossières immixtions et s'emploient à des positionnements tendancieux qui visent, à en croire le député, à affaiblir l'autorité palestinienne. Sur ce point précis, le RCD, dira notre interlocuteur, refuse l'instrumentalisation du Parlement. Il indiquera, à ce propos, que pour ne pas se rendre complice d'une dérive parlementaire, qui ne manquera pas de disqualifier davantage les institutions de sa formation, le RCD refusera à participer à un activisme alibi dans lequel s'égarent et se diluent les missions du Parlement. Plus loin encore, le RCD, poursuivra M. Mohcen Bellabas, va s'abstenir lors du vote de la déclaration soumise à la plénière sur Ghaza. Le RCD refusera de voter pour la simple raison de l'absence d'un débat préalable qu'appelle cette situation. « Cette déclaration est rédigée sans aucune consultation de l'ensemble des groupes parlementaires et qui s'évertue, une fois de plus, wà marginaliser l'autorité palestinienne », lit-on dans le communiqué du RCD. K. L. C. Le député du RCD, M. Mohcen Bellabas a fait une déclaration au Midi libre dans laquelle il indique que les commissions de l'Assemblée nationale populaire sont instrumentalisées et affectées à des tâches de diversion sans aucune relation avec leur vocation législative. Pour argument, le député dira, entre autres, que la commission de l'agriculture est appelée à des sorties inavouées, la commission de l'éducation se voit proposer des sujets dont l'impact juridique n'apparaît pas, tandis que la commission de la santé, affaires sociales, travail et information professionnelle est invitée, pour sa part, à faire la tournée administrative qui, selon notre interlocuteur, ne répond à aune urgence particulière. A ce sujet, l'ex-chargé de l'information et de la communication du RCD soutiendra que depuis le 12 novembre dernier, l'activité parlementaire est constitutionnellement bridée. Pour le RCD, la crise algérienne est grave et profonde. Les dysfonctionnements de l'institution parlementaire en sont une preuve irréfutable. Sur le plan national, le nouveau texte traduit, selon M. Mohcen Bellabas, la volonté du pouvoir en place de créer une vie parlementaire artificielle afin de camoufler la dépossession de la représentation de ses deux missions cardinales, à savoir le contrôle de l'exécutif et la proposition législative. Sur le plan international, le Rassemblement pour la culture et la démocratie condamne avec fermeté et extrême vigueur l'agression barbare des troupes israéliennes contre Ghaza, qui persiste au vu et au su du monde entier, et ce, depuis 16 jours. Sur ce volet, le RCD souligne, dans un communiqué rendu public durant la journée d'hier, que le massacre d'enfants, de femmes et de civils palestiniens soulève une indignation unanime à travers le monde, tandis qu'en Algérie le pouvoir exécutif, en panne de perspectives, n'a rien trouver de mieux que d'instrumentaliser le drame palestinien en l'entraînant dans des jeux politiciens au moment où les Palestiniens appellent à la solidarité des pays arabes. Et pour preuve, le député du RCD affirmera qu'au lieu que les dirigeants Algériens travaillent et ce, sans relâche pour venir en aide aux Palestiniens, toutefois, ces mêmes dirigeants se livrent à de grossières immixtions et s'emploient à des positionnements tendancieux qui visent, à en croire le député, à affaiblir l'autorité palestinienne. Sur ce point précis, le RCD, dira notre interlocuteur, refuse l'instrumentalisation du Parlement. Il indiquera, à ce propos, que pour ne pas se rendre complice d'une dérive parlementaire, qui ne manquera pas de disqualifier davantage les institutions de sa formation, le RCD refusera à participer à un activisme alibi dans lequel s'égarent et se diluent les missions du Parlement. Plus loin encore, le RCD, poursuivra M. Mohcen Bellabas, va s'abstenir lors du vote de la déclaration soumise à la plénière sur Ghaza. Le RCD refusera de voter pour la simple raison de l'absence d'un débat préalable qu'appelle cette situation. « Cette déclaration est rédigée sans aucune consultation de l'ensemble des groupes parlementaires et qui s'évertue, une fois de plus, wà marginaliser l'autorité palestinienne », lit-on dans le communiqué du RCD. K. L. C.