Sept postulants à la candidature ont retiré les formulaires des signatures de 75.000 citoyens ou de 600 élus locaux et nationaux. Sept postulants à la candidature ont retiré les formulaires des signatures de 75.000 citoyens ou de 600 élus locaux et nationaux. L'élection présidentielle d'avril 2009 approche à grand pas. Pas plus de trois mois nous séparent de cette importante échéance populaire. Les partis de l'alliance ont déjà annoncé leur soutien à la candidature du président de la République sortant, bien qu'il n'ait pas encore annoncé son intention de briguer un troisième mandat que la Constitution de 1996, amendée partiellement en novembre dernier, le lui permet. Sept postulants à la candidature ont retiré les formulaires des signatures de 75.000 citoyens ou de 600 élus locaux et nationaux. Six des ces candidats se verraient éliminer, sans doute, par ces contraintes administratives et surtout par les moyens humains et matériels dont ils disposent. Le septième, il s'agit de la secrétaire général du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, temporise et entretient le doute et le suspense sur sa candidature. Au fur et à mesure qu'on se rapproche des délais impartis pour la tenue de la consultation populaire, d'autres « lièvres » se feront connaître à l'image des Moussa Touati, Fawzi Rebaïne, Mohamed Hadef et autres. Encore rien de « sérieux » ne se profile à l'horizon. Pire, ces élections ne tentent pas de potentiels candidats crédibles sur la scène politique nationale. Pas plus tard que mardi dernier, le prédécesseur de l'actuel locataire d'El Mouradia, Liamine Zeroual a mis fin à toutes les supputations le donnant pour probable candidat à la présidentielle d'avril 2009. Dans un long communiqué diffusé par la presse, il a mis fin à toutes ces rumeurs. « En décidant, en toute liberté, de renoncer définitivement à ma carrière politique, j'ai estimé qu'il était temps que l'alternance se concrétise afin d'assurer un saut qualitatif à nos mœurs politiques et à la pratique de la démocratie, tant était loin de ma conception la notion de l'homme providentiel à laquelle je n'ai jamais cru », avait-il écrit. Le Front des forces socialiste s'inscrit dans la même logique. Karim Tabou, premier secrétaire du FFS, a déclaré jeudi dernier à Tigzirt que son parti n'était pas concerné par la prochaine élection présidentielle. Le FFS a définitivement tranché la question. Le parti de Hocine Aït Ahmed ne participera pas à l'élection présidentielle à venir. Donné pour quasi partant après que le Président de République eut satisfait à ses exigences concernant la présence d'observateurs internationaux, lors de la prochaine présidentielle, le Dr Saïd Sadi, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, réunit aujourd'hui son Conseil national en session extraordinaire pour trancher définitivement sur la question. Des débats qui risquent d'être houleux, tant cette problématique divise les membres de cette structure du parti. Mais avec cet argument convaincant, ll va, sans doute, s'empresser de saisir au vol la perche tendue par le Chef de l'Etat pour convaincre le Conseil national du RCD de le désigner candidat du parti pour cette échéance électorale. Pour Cheikh Saad Djaballah qui estime que son parti, El Islah, lui a été confisqué, il avoue simplement que l'élection ne signifie plus rien pour lui. Et cela, en attendant que d'autres candidats potentiels se prononcent. S. B. L'élection présidentielle d'avril 2009 approche à grand pas. Pas plus de trois mois nous séparent de cette importante échéance populaire. Les partis de l'alliance ont déjà annoncé leur soutien à la candidature du président de la République sortant, bien qu'il n'ait pas encore annoncé son intention de briguer un troisième mandat que la Constitution de 1996, amendée partiellement en novembre dernier, le lui permet. Sept postulants à la candidature ont retiré les formulaires des signatures de 75.000 citoyens ou de 600 élus locaux et nationaux. Six des ces candidats se verraient éliminer, sans doute, par ces contraintes administratives et surtout par les moyens humains et matériels dont ils disposent. Le septième, il s'agit de la secrétaire général du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, temporise et entretient le doute et le suspense sur sa candidature. Au fur et à mesure qu'on se rapproche des délais impartis pour la tenue de la consultation populaire, d'autres « lièvres » se feront connaître à l'image des Moussa Touati, Fawzi Rebaïne, Mohamed Hadef et autres. Encore rien de « sérieux » ne se profile à l'horizon. Pire, ces élections ne tentent pas de potentiels candidats crédibles sur la scène politique nationale. Pas plus tard que mardi dernier, le prédécesseur de l'actuel locataire d'El Mouradia, Liamine Zeroual a mis fin à toutes les supputations le donnant pour probable candidat à la présidentielle d'avril 2009. Dans un long communiqué diffusé par la presse, il a mis fin à toutes ces rumeurs. « En décidant, en toute liberté, de renoncer définitivement à ma carrière politique, j'ai estimé qu'il était temps que l'alternance se concrétise afin d'assurer un saut qualitatif à nos mœurs politiques et à la pratique de la démocratie, tant était loin de ma conception la notion de l'homme providentiel à laquelle je n'ai jamais cru », avait-il écrit. Le Front des forces socialiste s'inscrit dans la même logique. Karim Tabou, premier secrétaire du FFS, a déclaré jeudi dernier à Tigzirt que son parti n'était pas concerné par la prochaine élection présidentielle. Le FFS a définitivement tranché la question. Le parti de Hocine Aït Ahmed ne participera pas à l'élection présidentielle à venir. Donné pour quasi partant après que le Président de République eut satisfait à ses exigences concernant la présence d'observateurs internationaux, lors de la prochaine présidentielle, le Dr Saïd Sadi, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, réunit aujourd'hui son Conseil national en session extraordinaire pour trancher définitivement sur la question. Des débats qui risquent d'être houleux, tant cette problématique divise les membres de cette structure du parti. Mais avec cet argument convaincant, ll va, sans doute, s'empresser de saisir au vol la perche tendue par le Chef de l'Etat pour convaincre le Conseil national du RCD de le désigner candidat du parti pour cette échéance électorale. Pour Cheikh Saad Djaballah qui estime que son parti, El Islah, lui a été confisqué, il avoue simplement que l'élection ne signifie plus rien pour lui. Et cela, en attendant que d'autres candidats potentiels se prononcent. S. B.