Depuis avant-hier soir, la ville de Tizi-Ouzou connaît un vent violent qui a connu une augmentation de vitesse durant la matinée d'hier. Selon les services de la météo, le vent a atteint les 120 km/h. Cette situation a causé des dégâts matériels dans certaines localités de la wilaya. En effet, selon la cellule de communication de la protection civile, des tuiles ont été arrachées par le vent sur trois habitations du village Taksebt dans la commune d'Iflissen (daïra de Tigzirt). Au niveau de la cité la Tour de la nouvelle ville de Tizi-Ouzou, ce sont pas moins de tuiles mouchetées qui ont été arrachées. Par ailleurs, et toujours au niveau du chef-lieu de wilaya, et au niveau du carrefour Djurdjura, un panneau publicitaire est tombé sur une femme lui causant des blessures sans gravité. Elle a été évacuée par des citoyens au CHU de Tizi-Ouzou avant l'arrivée des éléments de la protection civile. Dans la localité d'Azazga, un arbre est tombé sur la RN bloquant la circulation pendant quelques heures avant que la protection civile n'intervienne pour dégager la route. En sus de cela des glissements de terrain ont été enregistrés dans certaines localités dont la commune de Boudjima sur la route qui mène vers le village Tarihant. Il y a plus d'une année de cela un énorme rocher est tombé sur le bord de la chaussée. Voyant qu'il ne bloquait pas la circulation il a été laissé sur place et ce week-end, un autre glissement de terrain l'a poussé sur la route et les véhicules ne disposaient que d'un étroit passage pour se déplacer. Dans la commune d'Aghribs, des glissements de terrain sont signalés dans plusieurs villages. Des citoyens ont saisi le P/APC pour leur venir en aide. Ce dernier s'est rendu dans la matinée d'hier aux villages touchés afin de rassurer la population et prendre les mesures nécessaires. Il est à rappeler que la wilaya de Tizi Ouzou connaît souvent des cas de glissements de terrain et le plus important est celui qui touche la ville de Ain El Hammam. Ainsi, trois bureaux d'études (deux français et un algérien) ont été engagés pour l'étude du problème. Depuis avant-hier soir, la ville de Tizi-Ouzou connaît un vent violent qui a connu une augmentation de vitesse durant la matinée d'hier. Selon les services de la météo, le vent a atteint les 120 km/h. Cette situation a causé des dégâts matériels dans certaines localités de la wilaya. En effet, selon la cellule de communication de la protection civile, des tuiles ont été arrachées par le vent sur trois habitations du village Taksebt dans la commune d'Iflissen (daïra de Tigzirt). Au niveau de la cité la Tour de la nouvelle ville de Tizi-Ouzou, ce sont pas moins de tuiles mouchetées qui ont été arrachées. Par ailleurs, et toujours au niveau du chef-lieu de wilaya, et au niveau du carrefour Djurdjura, un panneau publicitaire est tombé sur une femme lui causant des blessures sans gravité. Elle a été évacuée par des citoyens au CHU de Tizi-Ouzou avant l'arrivée des éléments de la protection civile. Dans la localité d'Azazga, un arbre est tombé sur la RN bloquant la circulation pendant quelques heures avant que la protection civile n'intervienne pour dégager la route. En sus de cela des glissements de terrain ont été enregistrés dans certaines localités dont la commune de Boudjima sur la route qui mène vers le village Tarihant. Il y a plus d'une année de cela un énorme rocher est tombé sur le bord de la chaussée. Voyant qu'il ne bloquait pas la circulation il a été laissé sur place et ce week-end, un autre glissement de terrain l'a poussé sur la route et les véhicules ne disposaient que d'un étroit passage pour se déplacer. Dans la commune d'Aghribs, des glissements de terrain sont signalés dans plusieurs villages. Des citoyens ont saisi le P/APC pour leur venir en aide. Ce dernier s'est rendu dans la matinée d'hier aux villages touchés afin de rassurer la population et prendre les mesures nécessaires. Il est à rappeler que la wilaya de Tizi Ouzou connaît souvent des cas de glissements de terrain et le plus important est celui qui touche la ville de Ain El Hammam. Ainsi, trois bureaux d'études (deux français et un algérien) ont été engagés pour l'étude du problème.