Bavure, censure ou protection du consommateur ? La récente séance de travail tenue au siège de l'ONICL (Office nnational interprofessionnel des céréales et des légumineuses) par le comité technique souhaite normaliser les céréales, légumineuses et produits dérivés, couscous et pâtes alimentaires. Il s'agit entre autre, de la détermination de la vitesse de réhydratation. Cette norme détermine que l'humidité du couscous doit être comprise entre 9,00 et 12,50%. Ce projet de norme spécifie que la vitesse de réhydratation doit se faire après 7 minutes et que l'indice de gonflement doit être de 2,2 au bout de 30 minutes d'hydratation. Avant l'homologation de ces normes par le conseil supérieur interministériel de la qualité et de la productivité, ledit comit invite les représentants de l'ONICL et de la répression de fraude à réaliser une enquête auprès de la profession. Concernant la question de normaliser le secteur du couscous, remplir les conditions de L'ONICL est plus facile pour ceux qui sont industrialisés. Mais de là à imposer les mêmes mesures pour ceux qui tiennent à conserver les techniques traditionnelles, ce ne sera pas tache aisée, car un produit traditionnel est un aliment dont la production, la transformation s'obtiennent par l'alchimie de la cuisine-maison: ne dit-on pas que "c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes?" Toujours dans le projet de loi, le comité n'a pas jugé utile de différencier l'appellation du couscous industriel de celui artisanal. N'est-il pas souhaitable de trouver des produits qui portent sur l'étiquetage le label traditionnel et l'autre, industriel, afin de mieux informer le consommateur ? Il y a fort à parier que le label traditionnel révolutionnera le marché local et étranger.. Fabricants, industriels et consommateurs: bonne route ensemble et surtout bon appétit! Bavure, censure ou protection du consommateur ? La récente séance de travail tenue au siège de l'ONICL (Office nnational interprofessionnel des céréales et des légumineuses) par le comité technique souhaite normaliser les céréales, légumineuses et produits dérivés, couscous et pâtes alimentaires. Il s'agit entre autre, de la détermination de la vitesse de réhydratation. Cette norme détermine que l'humidité du couscous doit être comprise entre 9,00 et 12,50%. Ce projet de norme spécifie que la vitesse de réhydratation doit se faire après 7 minutes et que l'indice de gonflement doit être de 2,2 au bout de 30 minutes d'hydratation. Avant l'homologation de ces normes par le conseil supérieur interministériel de la qualité et de la productivité, ledit comit invite les représentants de l'ONICL et de la répression de fraude à réaliser une enquête auprès de la profession. Concernant la question de normaliser le secteur du couscous, remplir les conditions de L'ONICL est plus facile pour ceux qui sont industrialisés. Mais de là à imposer les mêmes mesures pour ceux qui tiennent à conserver les techniques traditionnelles, ce ne sera pas tache aisée, car un produit traditionnel est un aliment dont la production, la transformation s'obtiennent par l'alchimie de la cuisine-maison: ne dit-on pas que "c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes?" Toujours dans le projet de loi, le comité n'a pas jugé utile de différencier l'appellation du couscous industriel de celui artisanal. N'est-il pas souhaitable de trouver des produits qui portent sur l'étiquetage le label traditionnel et l'autre, industriel, afin de mieux informer le consommateur ? Il y a fort à parier que le label traditionnel révolutionnera le marché local et étranger.. Fabricants, industriels et consommateurs: bonne route ensemble et surtout bon appétit!