Demain 23 février, entre 12h00 et 13h00, les travailleurs de l'établissement public hospitalier Djilali Rahmouni (ex-clinique des Orangers) tiendront un sit-in au sein de cet établissement. Ils répondront à l'appel de la section syndicale, nouvellement créée, de cet EPH. En effet, selon M. Kamel Meziane, président de cette section syndicale affiliée au syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), ce sit-in est une action pour protester contre « le refus de la direction de l'établissement de reconnaître notre nouvelle structure syndicale en tant que partenaire social à part entière et dénoncer les manœuvres d'intimidation et de pression exercées sur les travailleurs affiliés à notre section. » Selon l'avis de protestation émis, cette section syndicale considère que la direction de l'établissement public hospitalier Djilali Rahmouni, n'a pas respecté la loi 14/90 régissant et réglementant l'activité syndicale et que toutes les voies du dialogue entre le représentant syndical et la tutelle sont refusées par cette dernière. « Nous voulons que notre tutelle, à savoir la direction, nous reconnaisse en tant que partenaire social à part entière du fait que nous remplissons toutes les conditions exigées par la loi. » a souligné M. Kamel Meziane lors d'un entretien téléphonique accordé à Midi Libre. Ainsi, selon ses explications, la section syndicale compte 143 adhérents. « Cela représente un peu plus de 20% du nombre total des employés comme exigé par la loi. Et ce, du fait que l'EPH comptabilisait, au 31 décembre 2008, 694 travailleurs » a précisé notre interlocuteur. De plus, a relevé le président de cette section syndicale, toute la procédure de création de ladite section syndicale a été respectée. En effet, le 21 décembre 2008, un procès verbal provisoire d'installation du bureau de cette section syndicale, composée de sept membres, a été établi et l'assemblée générale s'est tenue le 15 janvier 2009. « Malgré cela, des dépassements et des pressions sont exercées sur les représentants syndicaux » a affirmé M. Meziane. Aussi, un préavis de protestation a été déposé le 7 février dernier, et ce conformément à la loi 02/90 du 06 février 1990 relatif à la prévention des conflits dans les milieux de travail, au niveau des différentes instances concernées à savoir : l'Inspection du travail, la direction de la santé et de la population et l'inspection générale du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière. M. T. Demain 23 février, entre 12h00 et 13h00, les travailleurs de l'établissement public hospitalier Djilali Rahmouni (ex-clinique des Orangers) tiendront un sit-in au sein de cet établissement. Ils répondront à l'appel de la section syndicale, nouvellement créée, de cet EPH. En effet, selon M. Kamel Meziane, président de cette section syndicale affiliée au syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), ce sit-in est une action pour protester contre « le refus de la direction de l'établissement de reconnaître notre nouvelle structure syndicale en tant que partenaire social à part entière et dénoncer les manœuvres d'intimidation et de pression exercées sur les travailleurs affiliés à notre section. » Selon l'avis de protestation émis, cette section syndicale considère que la direction de l'établissement public hospitalier Djilali Rahmouni, n'a pas respecté la loi 14/90 régissant et réglementant l'activité syndicale et que toutes les voies du dialogue entre le représentant syndical et la tutelle sont refusées par cette dernière. « Nous voulons que notre tutelle, à savoir la direction, nous reconnaisse en tant que partenaire social à part entière du fait que nous remplissons toutes les conditions exigées par la loi. » a souligné M. Kamel Meziane lors d'un entretien téléphonique accordé à Midi Libre. Ainsi, selon ses explications, la section syndicale compte 143 adhérents. « Cela représente un peu plus de 20% du nombre total des employés comme exigé par la loi. Et ce, du fait que l'EPH comptabilisait, au 31 décembre 2008, 694 travailleurs » a précisé notre interlocuteur. De plus, a relevé le président de cette section syndicale, toute la procédure de création de ladite section syndicale a été respectée. En effet, le 21 décembre 2008, un procès verbal provisoire d'installation du bureau de cette section syndicale, composée de sept membres, a été établi et l'assemblée générale s'est tenue le 15 janvier 2009. « Malgré cela, des dépassements et des pressions sont exercées sur les représentants syndicaux » a affirmé M. Meziane. Aussi, un préavis de protestation a été déposé le 7 février dernier, et ce conformément à la loi 02/90 du 06 février 1990 relatif à la prévention des conflits dans les milieux de travail, au niveau des différentes instances concernées à savoir : l'Inspection du travail, la direction de la santé et de la population et l'inspection générale du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière. M. T.