Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a annoncé, hier, une augmentation du salaire minimum garanti qui interviendra avant la fin de l'année en cours lors d'une tripartite dont la date sera prochainement décidée. Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a annoncé, hier, une augmentation du salaire minimum garanti qui interviendra avant la fin de l'année en cours lors d'une tripartite dont la date sera prochainement décidée. Dans un discours qu‘il a prononcé, à l‘occasion du double événement de la célébration du 38e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et le 54e de la création de l‘Union générael des travailleurs algériens (UGTA) le président de la République a fait une multitude d‘annonces concernant le monde du travail et aussi présenté le bilan de toute les décisions prises dans le secteur durant la précédente décennie améliorant sensiblement le vécu des citoyens. «Si je suis encore là, je vous promets de faire évoluer encore le salaire de référence», dira-t-il dans une salle omnisport archicomble dans la ville d‘Arzew. Il promet également de consolider au niveau des différents régimes indemnitaires le statut général de la Fonction publique à travers la promulgation des statuts particuliers parachevés. Le Président a également plaidé pour le renforcement des entreprises nationales en introduisant des systèmes servant à «sauver celles qui sont actuellement au bord de la faillite». Il dévoilera ainsi son plan d‘action qu‘il compte mettre en œuvre durant le prochain quinquennat s‘il venait à être réélu pour un troisième mandat à la tête de l‘Etat. S‘agissant des entreprises publiques, et en attendant la finalisation de la nouvelle stratégie industrielle, le chef de l‘Etat affirme avoir enjoint le gouvernement de «s‘atteler à la mise à niveau des entreprises viables activant dans les secteurs porteurs». Les Algériens ne doivent plus «se contenter d‘investir dans des entreprises d‘eau gazeuse». Une raison pour laquelle les chantiers lancés jusqu‘à présent concernent, entre autres, les entreprises du bâtiment, des travaux publics, des ressources en eau et de l‘activité agricole. «Les décisions requises seront dégagées avant la fin de ce semestre et un fonds national d‘investissement sera institué avant la fin de ce mois», dira-t-il. Ce fonds s‘appuiera sur une réorganisation de la Banque algérienne de développement qui sera dotée par l‘Etat d‘un capital de 150 milliards de DA. Ce nouveau dispositif sera ainsi en mesure de financer, sur le moyen terme, des investissements majeurs pouvant atteindre un totale de 1.000 milliards de DA. Pour ce qui est de la petite et moyenne entreprise, M. Bouteflika rappelle avoir chargé le gouvernement d‘élaborer un véritable programme d‘appui rénové qui sera parachevé à la fin du semestre en cours. Ce programme portera, entre autres, sur la création de filiales bancaires pour financer le capital investissement ainsi que la réduction des délais d‘examen des dossiers de financement par les banques. Des banques qui sont invitées par M. Abdelaziz Bouteflika à «demeurer attentives à la réunion des conditions de viabilité des produits présentés». Il sera également question, dans ce programme, de la création et du développement au niveau de chaque wilaya d‘une instance d‘assistance et de conseil aux porteurs de projets d‘investissement. Le programme servira également à «la rationalisation des moyens et des mécanismes actuellement en place pour le soutien à la mise à niveau des entreprises, de sorte à en augmenter l‘efficacité et la portée». Le gouvernement a également été instruit d‘accorder une attention particulière au dossier de la promotion immobilière qui, affirme le chef de l‘Etat, s‘effectuera «en parallèle avec celle du logement social». Des projets qui ne pourront aboutir, insiste le Président Bouteflika, que «si le citoyen y participe». . Il invitera ainsi les citoyens à dénoncer les «abus en termes d‘acquisition de logements sociaux». «L‘Etat ne peut plus assurer des logements à des soi-disant nécessiteux qui finissent par revendre ou louer leur logement», dira encore le chef de l‘Etat. S. H. Dans un discours qu‘il a prononcé, à l‘occasion du double événement de la célébration du 38e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et le 54e de la création de l‘Union générael des travailleurs algériens (UGTA) le président de la République a fait une multitude d‘annonces concernant le monde du travail et aussi présenté le bilan de toute les décisions prises dans le secteur durant la précédente décennie améliorant sensiblement le vécu des citoyens. «Si je suis encore là, je vous promets de faire évoluer encore le salaire de référence», dira-t-il dans une salle omnisport archicomble dans la ville d‘Arzew. Il promet également de consolider au niveau des différents régimes indemnitaires le statut général de la Fonction publique à travers la promulgation des statuts particuliers parachevés. Le Président a également plaidé pour le renforcement des entreprises nationales en introduisant des systèmes servant à «sauver celles qui sont actuellement au bord de la faillite». Il dévoilera ainsi son plan d‘action qu‘il compte mettre en œuvre durant le prochain quinquennat s‘il venait à être réélu pour un troisième mandat à la tête de l‘Etat. S‘agissant des entreprises publiques, et en attendant la finalisation de la nouvelle stratégie industrielle, le chef de l‘Etat affirme avoir enjoint le gouvernement de «s‘atteler à la mise à niveau des entreprises viables activant dans les secteurs porteurs». Les Algériens ne doivent plus «se contenter d‘investir dans des entreprises d‘eau gazeuse». Une raison pour laquelle les chantiers lancés jusqu‘à présent concernent, entre autres, les entreprises du bâtiment, des travaux publics, des ressources en eau et de l‘activité agricole. «Les décisions requises seront dégagées avant la fin de ce semestre et un fonds national d‘investissement sera institué avant la fin de ce mois», dira-t-il. Ce fonds s‘appuiera sur une réorganisation de la Banque algérienne de développement qui sera dotée par l‘Etat d‘un capital de 150 milliards de DA. Ce nouveau dispositif sera ainsi en mesure de financer, sur le moyen terme, des investissements majeurs pouvant atteindre un totale de 1.000 milliards de DA. Pour ce qui est de la petite et moyenne entreprise, M. Bouteflika rappelle avoir chargé le gouvernement d‘élaborer un véritable programme d‘appui rénové qui sera parachevé à la fin du semestre en cours. Ce programme portera, entre autres, sur la création de filiales bancaires pour financer le capital investissement ainsi que la réduction des délais d‘examen des dossiers de financement par les banques. Des banques qui sont invitées par M. Abdelaziz Bouteflika à «demeurer attentives à la réunion des conditions de viabilité des produits présentés». Il sera également question, dans ce programme, de la création et du développement au niveau de chaque wilaya d‘une instance d‘assistance et de conseil aux porteurs de projets d‘investissement. Le programme servira également à «la rationalisation des moyens et des mécanismes actuellement en place pour le soutien à la mise à niveau des entreprises, de sorte à en augmenter l‘efficacité et la portée». Le gouvernement a également été instruit d‘accorder une attention particulière au dossier de la promotion immobilière qui, affirme le chef de l‘Etat, s‘effectuera «en parallèle avec celle du logement social». Des projets qui ne pourront aboutir, insiste le Président Bouteflika, que «si le citoyen y participe». . Il invitera ainsi les citoyens à dénoncer les «abus en termes d‘acquisition de logements sociaux». «L‘Etat ne peut plus assurer des logements à des soi-disant nécessiteux qui finissent par revendre ou louer leur logement», dira encore le chef de l‘Etat. S. H.